20 Erreurs Mortelles au Démarrage de son Business en Ligne (et Comment y Remédier)

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Pourquoi échoue-t-on ?

C’est le cas de beaucoup d’entrepreneurs.

Et c’est une vérité dont peu aiment parler.

Mais qu’est-ce qu’un échec au fond ?

  • Tu prends un risque.
  • Le risque ne produit pas de retour sur investissement.
  • Tu abandonnes et tu passes à autre chose.

Parfois ça ne paye pas, c’est inévitable dans l’entrepreneuriat.

Tony_après_chute

Et après, il n’y a pas mort d’homme dans le fait de se ramasser !

Non, ce qui tue c’est lorsque ton échec affecte la façon dont tu penses.

Lorsque l’échec devient « toi » plutôt que la situation, il est le tueur de tes espoirs et de tes rêves.

La peur de devenir un « échec ambulant » est plus destructrice que l’expérience même de l’échec (pleine d’enseignements).

Alors, plutôt que de te miner autour de cette idée en te disant :

J’suis qu’une merde…

Sache simplement analyser tes échecs pour en trouver les causes.

Et tu verras qu’ils ne découlent pas de ce que tu es, mais de tes erreurs.

Nous avons fait notre lot d’erreurs avec nos business, mais sans jamais nous décourager pour autant !

Nous les avons identifiées, décortiquées et corrigées. Et ça prend beaucoup de temps.

Voilà pourquoi je tiens à te mettre en garde contre ces 20 erreurs mortelles que tu feras sûrement au commencement de ton business en ligne – pour éviter de tuer ton entreprise dans l’œuf.

La mort et un tombeau

1. Ne jamais commencer

Andrew Fashion

« Commencez maintenant, pas demain. Demain est une excuse de perdant. » 

Andrew Fashion

Ne pas se lancer est probablement la plus grande erreur de toutes.

Ne sois pas de ceux qui parlent de monter des tonnes de projets pendant des années pour ne rien faire au final.

Pourquoi cette propension à l’inaction ?

Le doute, la peur…

Car il est plus facile de reculer devant les difficultés de ton futur parcours plutôt que de commencer (au point de ne jamais commencer).

Une belle manière d’assurer ta défaite.

Commencer un business en ligne n’est pas aisé. Cela demande un certain culot, de l’intelligence, du cœur, et avant tout, la volonté de te bousculer.

Mais tu verras, une fois lancé, incertitudes et réticences s’étioleront avec la pratique.

2. Choisir un sujet qui ne t’intéresse pas

Médaillon_Ji-Lee

« Faites de votre passion votre salaire. » 

Ji Lee

Quel que soit le domaine dans lequel tu décides de te lancer, tu auras besoin :

  • De profondes connaissances de ton sujet
  • De créativité
  • Et d’une inébranlable détermination

Des qualités bien plus faciles à développer si tu aimes vraiment ce que tu fais.

Mais il y aura toujours des concurrents plus passionnés que toi… Et comment rivaliser si l’écart entre ton amour du sujet et celui de tes concurrents est trop large ?

Tu ne feras pas le poids.

Tony fait du pole dance accompagné d'une pro
Je ne donnerai jamais de cours de pole dance par exemple. Pas mon truc…

Ton business ne doit pas nécessairement être ta passion première – ou le travail de ta vie (d’autant que la plupart d’entre nous en ont plusieurs).

Mais ne tente pas l’impossible en choisissant un domaine dont tu te fous, simplement parce qu’il est lucratif.

Passionné par ton sujet, la détermination ne sera pas un problème, la créativité coulera toute seule et ton influence sera plus facile à asseoir.

3. Perdre du temps à penser et ne pas assez agir

Médaillon_Thomas-Edison

« Le génie c’est un pour cent d’inspiration et quatre-vingt-dix-neuf pour cent de transpiration. »

Thomas Edison

Bien que dévoreur d’articles de blogs, féru de revues d’entrepreneurs et consommateur de formations, un de mes étudiants m’a avoué qu’il n’avait jamais lancé de business…

« Bien que » ou « à cause de » ?

Là est la question. Car si ton ratio entre penser et agir est inférieur à 80% d’action, repenses-y… Fais-en plus !

À trop lire et toujours chercher des idées, tu finis par ne rien faire.

Et comme disait « l’autre » : « La distance entre les rêves et la réalité s’appelle l’action ». Alors, assez rêvé, agis maintenant !

4. Ne pas résoudre de vrais problèmes ou besoins

Médaillon_Nicolas-Trublet

« Le bonheur consiste dans la juste proportion des désirs et des besoins avec les moyens de les satisfaire. »

Nicolas Charles Joseph Trublet

Parfois, les gens sont tellement emballés par leur idée qu’ils en oublient de vérifier la réalité du terrain…

Fin 1990, le marché du mobile est en pleine effervescence et les opérateurs se battent pour chopper des abonnés. Mais avec la technologie de l’époque, la couverture d’émission reste très limitée.

C’est alors que Motorola lance le projet Iridium pour tenter de couvrir le monde entier. Grande innovation !

L’équipe de direction est enthousiaste à l’idée de créer de la valeur pour ses clients. Elle investit 7 milliards de dollars et envoie 88 satellites en orbite.

Réseau en place, Motorola commence à vendre ses services :

  • Des appareils combinés à 3 000$ pièce et peu pratiques.
Motorola_Iridium
Oui, c’est gros…
  • Des frais d’appel incroyablement élevés.

Mais les utilisateurs sont contents de pouvoir communiquer partout dans le monde…

Enfin, jusqu’à ce que, la nouveauté passée, ils se rendent compte que téléphoner du désert ou d’une ville isolée de Sibérie n’est pas un besoin si important.

Trop tard pour Motorola.

Les prévisions de vente ne sont jamais atteintes et ils continuent à payer l’entretien des satellites 200 millions de dollars par mois !

Motorola a investi dans ce que ses gestionnaires voyaient comme une innovation prometteuse alors qu’il n’y avait pas de besoin réel à satisfaire ni de problème à résoudre.

En 1999, le projet Iridium fait faillite.

Moralité :

Les entreprises qui essuient des échecs sont généralement celles qui tentent de résoudre un problème dont tout le monde se fout.

Et c’est de loin l’erreur la plus commune des startups.

Personne ne t’achète ? Ne cherche pas plus d’audience, détecte plutôt un problème concret ou réponds à un besoin réel.

En résolvant un problème suffisamment important, tu crées de la valeur. Condition sine qua non pour une entreprise prospère et rentable.

Tu n’auras plus besoin d’aller à la pèche aux clients et tu pourras te concentrer davantage sur ta visibilité.

5. Ne pas vraiment écouter tes clients

Médaillon_Auguste-Detoeuf

« Ne vous plaignez jamais du client à caractère difficile car il est la source de vos progrès. »

Auguste Detoeuf

Comment sais-tu si le problème que tu résolves est suffisamment important ?

Écoute tes futurs clients… VRAIMENT !

N’écoute pas seulement ceux qui valident ton idée, mais également ceux qui te demandent un remboursement ou qui achètent ton produit mais ne l’utilisent pas.

Mieux encore, écoute ceux qui te disent qu’ils n’achèteront pas ton produit et essaye de comprendre pourquoi.

Tu n’as pas toutes les réponses. Eux si. Et puis…

Le client a toujours raison.

Singe_oreilles_bouchées

Alors, ne fais pas comme certain, écoute-les.

Car sans client, tu n’as pas de business.

6. Ne pas tester ni collecter de faits

Médaillon_André-Gide

« Il y a ce que l’on sait et il y a ce que l’on ignore. Entre deux, ce que l’on suppose. »

André Gide

Faire confiance à ton intuition est une bonne chose. Mais tu dois savoir le faire au moment opportun.

Nous comptons trop souvent sur notre intuition (par paresse ou négligence) au lieu de tester et collecter des faits.

Tu veux une démonstration simple ?

Regarde l’image ci-dessous :

Comparaison_tables

Laquelle de ces deux tables est la plus facile à passer à travers une porte étroite ?

Ton intuition te dira que c’est celle de gauche.

Une personne avisée ne sera pas aussi confiante et prendra une règle pour mesurer les deux tables avant de donner sa réponse.

Et elle remarquera de façon surprenante qu’elles sont égales en taille et en forme !

Comparaison_tables

Tout est une question de perception…

Tu comprends maintenant l’importance d’écouter ses clients et prospects ?

7. Vouloir satisfaire tout le monde

Médaillon_Bill-Cosby

« Je ne connais pas la clé du succès, mais la clé de l’échec est d’essayer de satisfaire tout le monde. »

Bill Cosby

Difficile à comprendre ? Prenons un exemple concret :

Une femme de 50 ans désire perdre un peu de poids. Elle recherche des cours de fitness dans une salle proche de chez elle et tombe sur deux annonces :

  1. Séances de fitness mixtes pour tous âges et tous niveaux. Dépensez-vous à fond tous ensemble.
  2. Séances de fitness spéciales femmes actives. Perdez du poids et regagnez en santé avec un programme sur mesure.

Laquelle va-t-elle choisir ? Facile. :)

Écouter tout le monde c’est bien. Vouloir plaire à tout le monde c’est naze. Car au final, tu n’attireres plus personne.

Pourquoi vas-tu chez un ophtalmo plutôt que chez ton généraliste pour soigner tes yeux ?

Parce qu’il est spécialisé dans une niche qui satisfait ton besoin spécifique.

fausses lunettes effet "yeux"

Et puis ça évite les mauvaises surprises…

Vouloir satisfaire tout le monde c’est élargir sa cible au point de devenir trop généraliste et ne résonner avec personne.

8. Attendre trop longtemps pour lancer ton produit ou service

Médaillon_Mario-Andretti

« Si tout est sous contrôle, vous n’allez pas assez vite. »

Mario Andretti

Un de nos lecteurs nous écrivait récemment :

J’ai attendu 5 longues années que tout soit parfait pour construire un projet concret. Quand je l’ai enfin lancé, j’ai regretté d’avoir attendu si longtemps !

Dur… Nous n’avons pas été aussi lents, Dieu merci, mais nous sommes passés par là.

Lorsque tu commences à bloguer ou podcaster pour construire ton audience, tu peux vite te retrouver coincé dans le cercle vicieux de la perpétuelle création de contenus…

Sans jamais offrir quoi que ce soit à vendre.

Pour quelles raisons ?

  • Certains attendent d’avoir une taille d’audience « magique » : 1000 inscrits, 10 000 visites, etc.
  • Certains ne trouvent pas le temps de bloguer ou de faire des vidéos tout en construisant un produit en même temps.

Un vrai challenge et un piège fatal !

Tête de squelette

N’attends pas trop longtemps

Par contre, si c’est un problème de procrastination, applique les bonnes méthodes pour t’en débarrasser.

9. Ne pas te focaliser sur un seul objectif

Médaillon_Henry-Ford2

« Les obstacles sont ces choses que vous voyez lorsque vous perdez votre objectif de vue. »

Henry Ford.

Internet est une mine intarissable de possibilités de business. Tout ce qu’il te faut c’est une bonne idée et la passion. Construis un site autour de cela et en quelques mois tu pourrais avoir une vraie entreprise entre tes mains.

Mais curieusement, l’abondance de possibilités conduit de nombreux entrepreneurs en ligne à l’échec.

Comment ? En finissant par essayer de poursuivre trop de buts en même temps.

  • Ils commencent plusieurs blogs
  • Promulguent de nombreux programmes d’affiliation
  • Créent des mini sites web pour AdSense
  • Offrent des services de consultation, etc.

Conséquence : ils font des tas de trucs moyens, voire médiocres, dans chacune de leurs activités.

Tu veux créer quelque chose de puissant ?

Concentre tous tes efforts sur cette unique chose ! C’est une vérité applicable à beaucoup de domaines dans la vie.

Pense à la lumière :

Disperse-la en faisceaux lumineux et elle sera faible. Concentre les faisceaux en un seul point et elle deviendra très puissante, si puissante qu’elle sera capable de couper l’acier !

Laser

Le marché en ligne est un monde à lui seul. Avec des milliers de blogs dans chaque niche, des centaines de sites dans tous les segments et des dizaines d’entreprises en ligne offrant des services similaires.

Pour être rentable, tu dois être excellent dans ce que tu fais. Un résultat uniquement possible en te concentrant tel un laser sur un objectif unique.

Mais cela ne veut pas dire que tu dois te cantonner à un projet pour le restant de ta vie.

En développant ton business efficacement, au bout d’un temps, tu le rendras à peu près autonome. Tu seras alors en mesure de prendre du recul et de poursuivre de nouvelles idées.

10. N’avoir aucune mission

Médaillon_Simon-Sinek

Les gens ne vous achètent pas ce que vous faites, mais la raison pour laquelle vous le faites.

Simon Sinek

Tu connais sûrement Chipotle Mexican Grill, le fast-food intègre… (Oui, oui, ça existe.)

Dans un secteur où l’élevage intensif et la course au rendement sont rois, Chipotle moralise son activité en la rendant moins impactante pour l’environnement.

  • La chaîne a banni de ses menus les animaux élevés en batterie, gavés d’antibiotiques et ne voyant jamais la lumière du jour.
  • Elle favorise autant que possible l’agriculture biologique ; pour le reste, ce sont des fermes familiales et des productions locales.

Là est sa mission !

En se concentrant sur le « Pourquoi » :

Pourquoi existe-t-elle au-delà de servir ses clients.

…plutôt que sur le « Quoi » :

Ce qu’elle fait réellement.

Elle nous persuade d’aller dans son sens et d’acheter chez elle plutôt que chez la concurrence.

Mieux encore, elle nous donne envie d’être ses ambassadeurs, fiers de prôner de nobles valeurs.

[youtube]https://youtu.be/lUtnas5ScSE?t=92[/youtube]

En tant qu’entrepreneur, tu dois identifier ta mission.

Quelque chose en quoi les gens veulent adhérer, qu’ils peuvent promouvoir en t’achetant.

C’est l’un des 7 fondements expliqués dans notre guide Fini les Business Pénibles, pour aider les entrepreneurs à sortir du lot.

11. N’avoir ni charisme ni personnalité

Médaillon_Jay-Danzie

Votre sourire est votre logo, votre personnalité est votre carte de visite, ce que ressentent les personnes après une expérience avec vous devient votre image de marque.

Jay Danzie

Sur la plupart des marchés, les clients ont l’embarras du choix.

Si ton business a de la concurrence, tu dois donner à tes clients potentiels une raison de choisir ton offre plutôt qu’une autre.

Et pas avec des phrases impersonnelles du style :

  • Je vous délivre un contenu de qualité adapté à vos attentes.
  • Je vous certifie de faire tout le nécessaire pour vous mener au succès.

Combien de nouveaux entrepreneurs sautent sur un sujet populaire, ne faisant qu’imiter ou copier ce que les entrepreneurs à succès font déjà ?

J’imagine qu’ils pensent :

Si ça fonctionne pour eux, ça fonctionnera pour moi.

Mais mets-toi maintenant à la place des lecteurs ou des clients. En trouvant ton site, ils se demanderont :

Pourquoi prendre la peine de passer autant de temps chez lui et de lui acheter ?

Tu dois leur apporter une réponse claire et rapide avant qu’ils ne se fassent la malle ailleurs.

Tu ne peux pas espérer développer ton audience en étant la pâle copie d’un autre site plus connu, même si tu proposes quelque chose de mieux au final.

Chat-lion-color

Être mieux ne suffit plus, tu dois être différent !

Et quand quelqu’un te demandera pourquoi ton site ou produit mérite son attention, ta réponse sera plus objective et facile à comprendre.

12. Confondre ton blog avec ton business

Médaillon_Haydée

« Répétez après moi : un blog n’est pas un business, un blog n’est pas un business. »

Haydée Bouscasse

Un blog est une plateforme incroyable pour partager tes idées, te connecter aux autres et gagner du public (entre autres).

Un blog est l’interface de communication privilégiée de ton entreprise.

Et il en va de même pour ton podcast, ta chaine YouTube ou toute autre interface te permettant de publier des contenus gratuits.

Donner du contenu gratuit n’est pas un business. C’est une façon de construire ton influence.

Et ne compte pas obtenir parrainages et publicités rémunérées directement de cette influence. Tu auras besoin d’un plan plus direct pour gagner un revenu avec ton blog ou ton podcast.

13. Ne pas te créer de liste d’email

Médaillon_Pat-Flynn

« L’argent n’est pas la liste en elle-même. Tout dépend de ce que vous en faites. »

Pat Flynn

Voilà qui est plus clair que la litanie habituelle des entrepreneurs assurant que :

L’argent est dans la liste.

Mais si tu veux lancer une entreprise en ligne qui tourne, tu auras besoin de récolter un max d’emails.

Ainsi, tu convertiras tes visiteurs en abonnés et à terme, tes abonnés en clients.

Sans cela, tes chances de vendre sont restreintes. Alors, construis ton audience grâce à cette liste.

14. Essayer de tout faire par toi-même

Médaillon_Henry-Ford1

« Venir ensemble est un commencement, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est un succès. »

Henry Ford

Très difficiles d’apprendre à déléguer ton travail quand tu es entrepreneur.

Faire tout toi-même te permet de contrôler les moindres détails de l’exécution de ton business (de la qualité aux délais).

Et lorsque tu délégues, beaucoup d’incertitudes entrent en jeu.

Mais tu ne pourras pas construire une véritable entreprise seul éternellement.

Equipe_gagnante

Tu dois t’entourer de bons partenaires

Au bout d’un temps, il y aura trop choses à faire pour une seule personne, même si elle travaille dur à l’aide de ses multicompétentes.

Sache reconnaître et accepter tes limites…

Ou travailler trop dur et trop longtemps aura un impact négatif sur tes revenus.

Voilà pourquoi déléguer est essentiel.

Tu vas me dire :

Tu me demandes de commencer à embaucher des gens ?

Pas du tout (même si j’espère qu’un jour tes projets en ligne seront si avancés qu’ils auront besoin d’employés à plein temps).

Mais n’allons pas trop vite. Commence par demander de l’aide en « one shot » en fonction de tes besoins.

Troque ton expertise contre celle des autres ou dépense un peu d’argent si tu es obligé de le faire. Cela te fera économiser beaucoup de temps ; temps que tu utiliseras pour faire ce que tu fais le mieux.

Deuxième point important :

Tu as besoin de soutien !

Tu dois t’entourer d’entrepreneurs de ton niveau et d’autres avec plus d’expérience (un mentor par exemple).

Plus tu seras connecté à eux, plus tu seras à l’aise dans ta quête. Tu te sentiras moins fou ou esseulé et tu te rendras compte que nous sommes tous confrontés aux mêmes obstacles.

15. Ne pas assez dépenser

Médaillon_Helmut-Schmidt

« Les investissements d’aujourd’hui sont les profits de demain et les emplois d’après-demain. »

Helmut Schmidt

Une fois ton business lancé, tu envisages de commencer un blog ou un site pour communiquer.

Arrivé là, tu auras sûrement besoin d’investir un peu.

Les nouvelles technologies et les outils du web 2.0 ont cassé les coûts de mise en place et de gestion des entreprises. Mais cela ne signifie pas « zéro investissement »…

Possible, mais risqué.

Et ceux qui ne jurent que par le gratuit après le lancement de leur business finissent souvent par échouer.

Echouer

Prenons l’exemple de la création d’un blog, un des moyens de publication les plus simples et les moins chers du Web.

Pourquoi ne pas :

  • Acheter un nom de domaine disponible.
  • Obtenir un hébergement pour 5 € par mois.
  • Charger un thème WordPress gratuit.
  • Et commencer à écrire.

Simple en théorie, tu pourrais le faire. Mais que de temps et de compétences pour qu’un tel blog soit rentable.

Pourquoi ?

  • Difficile de trouver de bons noms de domaine percutants encore disponibles.
  • Un thème WordPress gratuit fera ressembler ton site à des milliers d’autres, dur pour communiquer ta personnalité et gagner en crédibilité.
  • Écrire un article pour atteindre la première page des moteurs de recherche demande du temps et un don de rédaction important.
  • Un hébergement web pas cher ne pourra pas assumer une grosse charge de trafic. Pas bon pour ton serveur…

Avec un minimum d’investissement, tu pourrais :

  • Acheter un beau domaine pour ton blog.
  • Trouver un designer pour ton logo et la personnalisation de ton thème WordPress.
  • Obtenir un service d’hébergement Web décent.

Et tout cela pour moins de 400 € !

Un petit investissement pour une grosse différence de qualité afin de développer ton blog et te démarquer des autres.

Tu vois, il ne s’agit pas d’investir des dizaines de milliers d’euros en développement, logicielles ou consulting (extrême inverse).

Nous parlons d’investir le strict minimum afin de disposer d’une interface professionnelle pour atteindre tes objectifs – et non travailler contre eux.

16. Trop dépenser

Médaillon_Leonardo-DiCaprio

« Je suis le pire radin de la terre. Je fais des économies, je prête rarement de l’argent, j’investis pour mes vieux jours. On ne sait jamais, ma carrière pourrait s’arrêter demain. »

Leonardo Di Caprio

Certes, trop dépenser est moins fréquent que l’inverse, mais cela arrive.

Notamment avec ceux ayant des revenus issus d’autres canaux :

  • Les entrepreneurs hors ligne qui se lancent sur le net.
  • Les salariés avec de grosses économies.
  • Les startups ayant levé des fonds de sociétés à capital-risque.

En quoi avoir trop d’argent peut t’amener sur une mauvaise pente ?

Picsou en ski sur de l'or

Sauf pour Picsou…

L’argent nous rend bêtes et fainéants.

Trop d’argent implique trop de confort :

  • Tu embauches sans raison valable.
  • Tu investis dans des campagnes marketing qui n’améliorent pas le fond de ton business.
  • Tu ne travailles pas assez dur pour trouver davantage de clients…

Quand l’argent viendra à manquer (et cela arrivera), Tu te retrouveras incapable de faire rouler ton business correctement par tes propres moyens.

Lorsque l’argent est limité :

  • Tu bouges davantage ton cul.
  • Tu fais avancer les choses aussi vite et efficacement que possible.
  • Tu es plus créatif pour atteindre tes utilisateurs et promouvoir tes services.
  • Tu redoubles d’efforts pour assurer chaque vente.

Alors, si tu as de l’oseille, limite-toi !

17. Éviter la concurrence

Médaillon_Wayne-Calloway

« Rien ne focalise autant l’esprit que la vue permanente d’un concurrent qui peut vous balayer du marché. »

Wayne Calloway

Certains pensent que le secret pour bâtir un business prospère ou faire beaucoup d’argent est de trouver un marché sans concurrence…

Faux !

Il existe bien des possibilités inexploitées, mais il est très difficile de les dénicher. Et attendre d’en trouver une n’est pas envisageable.

Là où il y a un besoin connu et un business model viable, il y a quasiment toujours des entreprises ou des personnes déjà sur la brèche.

Et puis même si tu trouves un marché sans concurrence (ou que tu en crées un), très vite, d’autres entreprises se jetteront dessus à leur tour.

Alors, si tu ne peux pas éviter la concurrence, que dois-tu faire ?

Bats-la ! Telle est la règle. Tu dois battre tes concurrents.

Tony Founs et Haydée Bouscasse en train de se battre pour un baton

Et c’est à celui qui ne lâchera rien.

La théorie de « l’avantage du précurseur » défendue par de nombreux universitaires dit que :

La première entreprise qui investit un marché ou une niche gagne la majorité des parts de ce marché et sera en mesure de défendre sa position de leader face aux nouveaux entrants…

Mais y a-t-il des preuves de cela à l’appui ? Pas assez…

  • Google n’a pas été le premier moteur de recherche.
  • Ebay n’a pas été le premier site de ventes aux enchères en ligne.
  • Amazon n’a pas été la première librairie en ligne.
  • MySpace et Facebook sont entrés sur le marché du réseau social de nombreuses années après le pionnier, Classmates.com.

Dans la plupart des cas et en particulier sur Internet, être le premier sur un marché n’est pas synonyme de réussite.

18. Tenter de réinventer la roue

Médaillon_Pablo-Picasso

« Les bons artistes copient, les grands artistes volent. »

Pablo Picasso

Non, Picasso n’encourageait pas les autres peintres à voler le travail de leurs confrères.

Il voulait simplement dire que les grands peintres ont besoin d’aller au-delà de l’imitation. Ils doivent être en mesure d’identifier, de comprendre et d’intégrer les traits et techniques des meilleurs peintres.

Bien sûr, le peintre aura encore besoin de développer son propre style.

Mais négliger les progrès qu’ont apportés les plus grands dans sa branche serait stupide.

Idem pour les business en ligne :

Réinventer la roue pour chaque aspect de ton business ne t’aidera pas à atteindre le succès.

Evolution des ampoules

A-t-on remplacé l’électricité pour innover de l’ampoule incandescente au LED ?

Voilà l’intérêt d’analyser la concurrence, d’identifier ce qu’elle est en train de faire et de comprendre comment elle le fait pour l’intégrer à ton propre business.

Évidemment, tu auras toujours besoin d’innover pour prospérer, mais cela reste une stratégie complémentaire.

Bref, les entreprises qui réussissent intègrent les meilleures pratiques de leur marché et innovent en même temps.

Imaginons que tu veuilles construire une boutique en ligne de chaussures de sport :

Développer la mise en page du magasin et créer ton processus de vente à partir de rien te prendra beaucoup de temps et d’énergie pour un résultat incertain.

Analyse plutôt comment les magasins de chaussures en ligne organisent leurs produits et gère leur processus d’achat pour l’adapter à tes propres exigences.

Cela te donne un point de départ solide qui ne t’empêchera pas d’innover par la suite pour rester en haut du panier avec tes concurrents.

19. Être inflexible

Médaillon_Inconnu

« Si le plan A ne fonctionne pas, il reste encore 25 lettres dans l’alphabet. »

Inconnu

Avoir une vision ferme et claire de tes objectifs et les tenir est essentiel.

Mais il est tout aussi important de ne pas devenir inflexible concernant la manière dont tu vas les atteindre.

Ta vision c’est le « quoi ». Elle doit être solide comme le roc.

Le « comment » représente les différentes stratégies et plans d’action que tu vas utiliser pour réaliser cette vision. Ils doivent être flexibles et conçus pour évoluer le long de ton parcours.

Prends l’exemple de l’industrie du disque dur.

  • 130 entreprises y sont présentes entre 1976 à 1996
  • En 1997, elles ne sont plus que 20 en activité.

85 % ont échoué par manque de flexibilité dans la façon de poursuivre leur vision.

Au début, toutes vendaient des disques durs 14 pouces pour des ordinateurs centraux. Les deux paramètres importants étaient :

  • La capacité du disque.
  • Le coût par mégaoctet.
Evolution_Disques_durs_en_60_ans

Puis, début 1980, les disques durs 8 pouces sont créés. Plus petit mais plus chers et avec moins de capacité.

Faute de demande, la plupart des entreprises du marché restèrent malgré tout sur le 14 pouces.

D’autres, comme Quantum, sont allés chercher des clients potentiels pour les 8 pouces et ont trouvé preneur chez les producteurs d’ordinateurs portables tels que HP.

(Capacité de disque moindre et coût plus élevé par mégaoctet en échange d’une taille réduite.)

Evolution de la taille des disque dur

Taille des disques durs entre 1971 et 2011

Après quelques années, les portables dominèrent le marché pour supplanter les ordinateurs centraux.

Trop tard pour les producteurs de disques 14 pouces qui firent presque tous faillite…

Trop rigides, ils n’étaient pas prêts à innover ni à explorer de nouvelles utilisations de leurs produits existants.

20. Ne pas finir ce que tu as commencé

Plaute

« Il est plus facile de commencer que de finir. »

Plaute

Les gens qui manquent de focalisation ont généralement du mal à finir ce qu’ils ont commencé. Deux erreurs souvent liées.

Pense à ton ami(e) qui commence toujours un nouveau régime pour y renoncer une semaine plus tard… Dur d’atteindre ses objectifs de perte de poids dans ce cas.

C’est le même problème avec ton business.

Les entrepreneurs qui ne peuvent pas finir ce qu’ils commencent n’iront jamais bien loin.

Commencer plusieurs projets en même temps t’empêche de finaliser la plupart. Et même si tu parviens à rester concentré sur un seul, encore te faut-il le terminer.

Tony Founs en train de boire un cocktail au chocolat

Sauf si ton projet est de finir un cocktail chocolat, chantilly, bacon… affreux !

Supposons que tu veuilles gagner ta vie en aidant les entreprises à chopper des clients par le biais des médias sociaux.

1. Tu crées un blog mettant en avant ton expertise des médias sociaux et tu te constitues une audience.

Tu écris quotidiennement des articles de qualité, mais baisses de régime après quelques semaines pour abandonner au bout de deux mois.

2. Tu te dis alors qu’écrire et publier un livre gratuit sur le marketing des médias sociaux pourrait générer un buzz et attirer de nouveaux clients.

Tu commences donc à écrire, mais les mots cessent de couler au bout de dix pages et tu décides de reporter cette idée à plus tard.

3. Enfin, tu décides de lancer une campagne de pub au coût par clic sur Google AdSense. Tu en achetes pour 50 € pour finir par ne pas analyser les mots clés qui convertissent le mieux, combien de clients la campagne a rapporté ou quel retour sur investissement tu as obtenu…

Comme tu l’as maintenant deviné, tu as tout faux !

Ton entreprise aura de très faibles chances de réussir parce que tu ne termines pas ce que tu commences.

Et maintenant ?

J’espère que ces 20 erreurs mortelles ne le seront plus pour toi après avoir lu ce pavé. ;)

Internet est en plein essor avec des tonnes d’opportunités. Et ceux qui commenceront aujourd’hui sont ceux qui récolteront les meilleurs fruits demain.

Le tout est de se lancer avec la bonne méthode.

  • Que tu souhaites créer un business pour compléter ton salaire ou construire une grosse entreprise pour générer un revenu à six chiffres.
  • Que tu vives en France, en Malaisie ou au Brésil.
  • Que tu sois un technicien astucieux ou simplement un nouvel utilisateur d’outils connectés.

Ce qui importe le plus est de savoir si tu as ou non le désir de réussir – et si tu es prêt à faire ce qu’il faut pour.

Cela implique aussi de nombreuses erreurs. Mais…

Médaillon_Theodore-Roosevelt

« Le seul homme à ne jamais faire d’erreur est celui qui ne fait rien. »

Theodore Roosevelt

Alors, n’aies pas peur d’en faire !

Et si tu en as fait d’autres, fais profiter de ton expérience à tout le monde dans les commentaires.

Tony Founs

À propos de l'auteur

Formateur | J’aide les particuliers à se lancer en indépendant puis à développer leur activité pour en vivre à temps complet -- et les freelances à se positionner, trouver des clients, vendre et décupler leur Chiffre d'Affaires.
Freelance | Content marketer, copywriter, graphiste, illustrateur, concepteur de cours en ligne, webdesigner (WordPress, Thrive Theme, DIVI)… Bref, couteau suisse ultime du business en ligne au service des PME et solopreneurs.

Accessoirement passionné de géopolitique et accro à la crypto.

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  1. Salut Tony,

    Je tiens à dire WOW. Cet article a du te demander un boulot énorme entre l’écriture, les illustrations, les citations … Mais tout ce travail vaut la peine : c’est une superbe pièce de contenu que je viens de finir de lire.

    Alors merci. Pour la peine, je vais partager ça avec mon audience sur Twitter :)

    Pour quelqu’un qui commence à lancer son blog et à se faire connaitre, les erreurs que tu présentes me parlent beaucoup. Sérieusement, elles sont toutes importantes : que ce soit la 1 à ne jamais se lancer ou la 13 de ne pas créer de mailing list, tout en passant par la 3 qui est de ne pas assez passer à l’action, ton post est une véritable mine d’informations.

    Merci encore à toi et à Haydée pour toute la valeur que vous pouvez apporter via Travel Plugin. Je vous dis à plus tard,

    Théo

    1. En effet, ce fut du boulot Théo. Sympa de l’avoir remarqué. Le fait que tu connaisses aussi bien l’exercice que moi n’y est pas étranger. J’ai lu ton article invité sur Trafficmania et il a toutes les qualités dont tu parles ici.
      Nous le savons tous les deux : les articles « fast food » ne font pas long feu sur la toile. Il vaut bien mieux publier une fois par mois en étoffant, donnant beaucoup de pratique, d’émotions et de preuves à l’appui de nos affirmations (entre autres) que d’enchaîner un billet quotidien qui passera inaperçu tant son contenu est pauvre.

      Sinon, je vois que c’est lancé de ton côté et que tu constitues déjà ta mailing list avec un cadeau utile. Vivement tes premiers articles. A suivre…

  2. Bonjour,

    lorsque je suis arrivé sur le marché du travail, mon premier patron m’a dit une phrase que je garde toujours en tête :

    ‘ un client qui se plaint est un client fidélisable ‘.

    Christophe. :o)<

    1. Vrai Christophe.
      Et un client qui se plaint est également une opportunité en or d’améliorer ses services.
      Raison supplémentaire pour l’écouter très attentivement. :)

  3. Je reconnais en mon âme et conscience avoir fauté sur les items 6, 7, 8, 9, 12, 14, 16, 20.
    Je le regrette et je ne veux plus recommencer, alors je viens vers toi tonton Tony pour m’aider à ne plus fauter.

    1. Salut Elie,

      Tu as téléchargé le PDF ? Car tu y trouveras les résolutions à chacune des erreurs au démarrage d’un business. En espérant que cela t’aide. :)

  4. Merci Tony :)

    Pour répondre à ta question, concrètement j’ai eu un client au téléphone mais je crois m’être laissée submergée dans mes explications mais le contact est bien passé : je vais retenir cela pour l’instant.

    C’est justement ces formules qui sont très difficiles à proposer, je ne suis pas assez claire et j’avoue avoir beaucoup de mal avec tout ce qui est relatif à la fixation d’un prix : j’ai abonnement et forfait ! Pas facile (je te jure) de trouver la bonne formule ! Je relis, je corrige, je mets en forme des mots pour créer des ebooks…

    Mais je suis motivée ! Je me suis donnée une année pour trouver l’équilibre et faire le choix définitif de ne faire que cela ! Je croise les doigts très fort à m’en rogner les jointures :)

    Votre écoute à tous les deux est déjà très profitable, qui sait… je deviendrais peut être une de vos élèves.

    1. Et bien, je vois que tout est déjà bien réfléchi Anne-Catherine.
      Etant dans l’écriture freelance depuis pas mal de temps, je sais qu’en général 30€ de l’heure est un prix raisonnable pour ceux qui débutent dans le métier. En partant de cette base (qui peut éventuellement être un bon étalon) tu peux essayer de caler tes prix en fonction du temps que tu passes à réaliser tes différents boulots.

      Concernant ton client, si le contact est passé c’est le plus important. La confiance avant tout ! Même s’il a décelé que tu n’étais pas encore au point niveau négociation (ou explications). Une chose importante est de toujours faire court une fois que tu as déterminé les besoins exacts de tes clients. Donne-leurs uniquement les bénéfices qu’ils tireront de ton offre. Ils ne veulent pas savoir comment tu feras mais uniquement ce qu’ils auront comme résultat final.

      Pour ce qui est de notre formation, suite aux nombreux retours de nos lecteurs, nous avons décidé de l’orienter exclusivement autour des métiers freelances. Ce qui remet également en cause l’orientation de notre cours gratuit qui parle encore trop de produit à notre goût. Du coup, nous sommes en train de tout revoir pour adapter l’ensemble au freelancing. Tu auras l’occasion de découvrir son programme d’ici peu pour en avoir une idée précise. A suivre… :)

      Bon courage !

  5. Rohhh là là je suis mauvaise moi !
    Va falloir que je révise tout de fond en comble sans faire une chute sans fin !
    Écoutez trop de gens c’est mon défaut et ça freine des quatre fers du coup.
    On peut se lancer et se tromper… C’est mon cas ou pas.
    Indécision est mon deuxième prénom.
    Cet article est top en tout cas merci :)

    1. Je comprends très bien ce problème d’indécision Anne-Catherine. Mais si cela peut te rassurer, nous passons tous par là. Le tout est de s’en rendre compte à temps et de corriger le tir avant de s’investir corps et âme dans une mauvaise direction.
      D’après ce que m’a dit Haydée, tu es dans l’écriture et ton idée de forfait est excellente. Qu’as-tu réalisé concrètement pour le moment ?

      En tout cas, ne te sens pas submergée par le nombre d’erreurs que tu as pu faire jusque-là. Prends-les une à une pour les rectifier dans l’ordre de tes priorités. Le plus important pour le moment est d’écouter attentivement les besoins de tes clients pour leur proposer ensuite un service spécifique adapté à leurs objectifs sans qu’ils aient à réfléchir (même quelques minutes). Pour qu’ils te disent simplement : « Ok, c’est exactement ça dont j’ai besoin. ».
      Petit conseil pour réussir cela : Propose leurs 2 ou 3 formules assez détaillées et adaptées à leur cas pour qu’il aient juste à te dire : « Celle-là ! »

    1. Ah… Il ne te reste plus qu’à prendre chaque point un par un pour faire baisser ta note. ;)
      L’avantage c’est que tu ne pourras que t’améliorer avec le temps.

    1. C’est toujours aussi sympa de recevoir tes encouragements Martina.
      Si ces articles analysent si bien les soucis de chacun, c’est que nous vivons tous les mêmes galères d’entrepreneurs. Du coup, nous nous comprenons et ça fait du bien !
      J’espère que votre agence fonctionne comme il faut de votre côté. En tout cas je vois que ça avance toujours sur le site. Cool. :)

  6. Hello,

    Un très chouette article. Je vais me le garder en mémo pour revenir dessus régulièrement.

    La plupart des gens pleins d’idées ont un problème avec la focalisation.

    Je conseille donc de considérer chaque étape comme un projet à part entière.

    Et pour la procrastination, toujours commencer par ce qui nous plaît le plus, ça donne de l’énergie. :)

    À bientôt bises

    1. Hey Sophie ! Merci. :)
      Dur de se focaliser, surtout quand tu dois jongler avec tant de domaines en même temps pour ton business en ligne : construction de produit, marketing et promotion, écritures diverses, mise en forme des articles, Community management, mailing et j’en passe… (tu connais)

      Entièrement d’accord pour prendre chacune de ces phases comme un projet bien distinct afin de ne pas se noyer. Ainsi, chaque jour est fait de petites victoires.
      Question procrastination, je préfère m’obliger à faire le boulot le plus difficile en premier car j’ai l’esprit plus clair à cet instant précis. Mais cela peut malgré tout être un truc plaisant, plus motivant pour se lancer, je te l’accorde.

      A+ des bises aussi !

    1. C’est gentil Pascal. D’autant plus pour cet article qui m’aura pris beaucoup de temps et de recherches pour les exemples.
      Merci !

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