Devenir Entrepreneur en Ligne Aujourd’hui : 26 Raisons Indiscutables

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Haydée Bouscasse
Mis à jour le 19 septembre 2023
Tu souhaites devenir entrepreneur ? Voici la liste des 78 meilleurs idées de business en ligne de 2022 – la plus complète que tu trouveras sur le Net francophone. Clique sur ce lien pour l’obtenir au format PDF, c’est gratuit.

J’avais une très bonne amie.

Oui, j’avais…

Elle ne cessait de s’apitoyer sur son sort en me rabâchant :

« Je n’en peux plus de ce conformisme monotone. Mais j’ai beau vouloir quitter mon boulot de salarié, je n’y arrive pas. »

Les opportunités n’ont pourtant pas manqué. Sa boîte lui a même proposé plusieurs plans de départ.

Mais non, elle se planque…

Prétextant que la raison de se barrer lui fait toujours défaut, malgré ses lamentations perpétuelles.

Ma réponse ?

« Ce n’est pas une, mais 26 raisons que je vais te donner pour bouger tes fesses ma chérie. Alors, arrête de gémir, accroche-toi et vois tout ce que tu y gagneras. »

Sa réaction ?

Tu l’imagines bien puisque nous ne sommes plus amies…

Voilà pourquoi je fais un article de ma réponse que je tiens à lui dédicacer.

M’en voudras-tu autant qu’elle ?

Si oui, dommage. Car créer ton business en ligne sera peut-être la meilleure décision de ta vie. 

Souviens-toi des années 80…

Robot-Ouvrier

Aujourd’hui ce sont les cadres qui sont visés.

Alors, anticipe !

Commence donc par faire ce test : 7 signes qui montrent que tu n’es pas fait pour entreprendre.

Tu n’en cumules pas plus de trois ?

C’est jouable.

Mais sache que le meilleur moyen de commencer à entreprendre en ligne est de rentrer par la « petite porte » en offrant tes services en freelance.

Et si tu souhaite te lancer avec toutes les chances de réussite, je te conseille vivement de télécharger le Guide Ultime pour devenir freelance :

Maintenant, allons-y pour ces 26 raisons qui te feront gamberger.

1. Les risques sont faibles

« Si vous commencez avec rien et finissez avec rien, alors rien n’a été perdu. »
Michael Dunlop

Il y a 20 ans, si tu voulais…

  • Vendre un produit : tu avais besoin d’un local,
  • Offrir un service : tu avais besoin d’un bureau,
  • Te promouvoir : tu devais payer un espace de pub.

Commencer un business était cher, donc risqué.

Internet a changé la donne.

Fini les dizaines de milliers d’euros en com’ et biens immobiliers.

Au pire, tu lâcheras 50 ou 100€ à l’année pour un nom de domaine et un hébergement avec un site, et créeras tes pages pros sur les réseaux sociaux gratuitement.

Bien sûr, il faudra batailler au début.

J’ai commencé avec UN fan Facebook et UN abonné Twitter, sachant que c’était la même personne pour les 2… (Mon frère a eu pitié de moi à l’époque).

Après, à mes lecteurs qui me demandent :

« Comment commencer ? »

Je réponds qu’ils ne sont pas toujours obligés de se lancer immédiatement avec un blog…

Et s’il le veulent quand même, qu’ils soient juste conscients que cela demande de la régularité.

Mais c’est plutôt engageant quand tu sais que…

2. Tu travailles pour toi-même

En clair, tu n’as pas de patron.

Un boss qui assure est un leader, un accompagnateur, voire même un ami.

Mais un boss de merde, c’est l’enfer sur terre…

Patron

Dans tous les cas, travaille pour un patron et tous tes efforts lui seront dédiés.

Alors, imagine dans une grosse boîte où tu ne l’as sûrement jamais rencontré. Pas très motivant… À part la paye fixe qui te fait bouffer.

Maigre consolation comparée à ce que peut rapporter le développement de ta propre activité.

Mon exutoire face à cette situation ?

Je faisais constamment évoluer mon poste. Améliorant modes opératoires et outils de travail, prétextes à un apprentissage perpétuel.

Mais même ainsi la satisfaction était de courte durée :

En tant qu’entrepreneur, c’est ton projet qui prend du galon. Cela implique beaucoup de disciplines à maîtriser, mais c’est plutôt bon signe, car…

3. Il n’y a jamais de moment ennuyeux

Dans une entreprise, tu as un rôle unique. Tu fais UNE chose et tu la fas bien… Toute ta vie.

ça me rappelle ce comptable qui me disait :

« 30 ans que je fais ce boulot ! Alors tu sais moi… »

Traduction :

« Je suis efficace, mais qu’est-ce que je me fais chier ! »

Devenir entrepreneur en ligne c’est vivre l’inverse. Tu joues tous les rôles pour développer ton business. En une journée, tu seras designer, écrivain, codeur, vendeur, secrétaire et même agent d’entretien.

Haydée-avec-son-balais
Bah oui… Quelqu’un doit bien faire le ménage aussi.

Jouer autant de rôles est ardu, mais quoi de plus intéressant ?

4. Tu ne cesses jamais de te former

Car plus l’entrepreneur en ligne est à la page, plus il a de chances de réussir. Et pas uniquement en terme de compétences. Tu dois également taquiner pas mal d’outils.

De quoi occuper tes longues soirées d’hiver rien que pour choisir les bons logiciels.

Rome ne s’est pas fait en un jour. :)

Qui dit se former dit se remettre continuellement en question. Un véritable challenge pour certains.

Mais ce n’est pas tout ! Le jour où tu délégueras certains boulots, tu éviteras de te faire entuber.

Mieux vaut dire :

« Je connais le taf, alors pas d’entourloupe. »

Plutôt que :

« Je te laisse gérer, parce que moi je n’y connais rien… »

Et enfin, tu gardes ton esprit aiguisé !

Tony-tente-le-Chinois-avec-le-livre-Assimil-Le-chinois-sans-peine
En apprenant parfois des choses inattendues… Comme Tony avec le chinois.

Cela fait beaucoup de travail ?

Tant mieux !

Car c’est ainsi que…

5. Tu apprends l’autodiscipline

Plus de patron pour te remonter les bretelles (ça tombe bien, tu n’aimes pas ça.).

Mais plus de paye fixe pour te reposer sur tes lauriers. Et surtout une tonne de tâches à organiser.

Tu veux devenir entrepreneur en ligne ?

Travaille ta discipline ou tu es bon pour te planter et bouffer des patates toute l’année.

Par contre je te rassure…

6. Tu ne peux pas te faire virer

Bien plus facile pour gérer la pression de l’échec.

Tu échoues, tu recommences.

Et quand bien même, pas besoin de merder pour se faire évincer d’une grosse boîte. J’ai connu des patrons capables de virer à la pelle le mois suivant leur arrivée.

Pire encore, as-tu vu « La loi du marché » de Stéphane Brizé ?

…Ou comment des hypermarchés licencient de pauvres caissières pour 1 € en coupons de réduction ?

En pleine crise économique, nécessité fait loi. Les entreprises réduisent les coûts et sucrent des postes pour faire de belles économies.

Un robot donne un coup de pied au cul d'un cadre

Imagine le tableau pour les cadres avec la nouvelle vague d’automatisation…

Alors, gaffe si tu pète de travers.

En tant qu’entrepreneur en ligne, tu perds quelques clients, visiteurs ou followers, mais jamais ton taf.

Ton futur est entre tes mains.

Et si tout se passe bien avec ta boîte…

7. Tu n’es pas obligé de lâcher ton taf de salarié

Enfin, pas tout de suite. :)

Les plus grands businessmen n’ont pas fait jackpot du jour au lendemain. Certains ont même dû attendre quelques années pour vivre de leurs business en ligne.

Monter une boîte c’est construire un empire. N’oublie pas Rome.

Mais l’avantage, c’est que cette construction peut s’étaler dans le temps.

Tu peux donc combiner ton travail actuel avec ton projet de création.

Avant de quitter mon dernier emploi, je travaillais comme traductrice/rédactrice/webmaster en parallèle pour l’entreprise « Robuchon ».

Une opportunité pour faire mes armes.

Tu n’as pas le temps ?

Alors, laisse tomber ! Ou coupe dans tes loisirs.

Tony a bossé 2 ans avec moi en continuant à trimer dans l’administration.

Chaud de cumuler deux boulots, mais que veux-tu… nous n’avons rien sans rien.

Et une fois rodé…

8. Tu peux lâcher ton taf de salarié

Pas de grands discours ici :

Lisez plutôt mon article : 13 excellentes raisons de quitter son job.

Remarque que j’insiste sur le travail en amont avant d’en arriver là. On ne quitte pas son boulot sur un coup de tête parce que Haydée l’a dit. :)

C’est en cumulant emplois, tafs indépendants et Assedics que j’ai pu construire Travelplugin, mon blog puis Chèvre Chaud, mon premier service.

Aujourd’hui, je suis libre, car nous jugeons gagner assez d’argent pour continuer l’aventure et que nos autres business tournent bien.

Mais même calculé, le risque persiste, car les budgets sont encore serrés.

Enfin… Peu de chances que nous retournions trimer dans un job « normal » après avoir goûté à la liberté.

Alors, prends ton temps. Expérimente plusieurs pistes et…

9. Tu trouveras ta véritable vocation

Tu savais ce que tu voulais faire à 5 ans, OK.

Mais te voilà rendu à 25 ou 35, et tu es plus paumé qu’un poisson dans le désert.

Poisson-désert


En voilà un qui ne trouvera pas son chemin du premier coup… Voire pas du tout !

C’est con, parce qu’à l’école on te demande de trouver très vite une spécialisation.

Et hop ! Une orientation pour les 30 ans à venir.

Tu as peur de te planter de direction ? C’est légitime.

Devenir un entrepreneur touche-à-tout sera certainement une meilleure solution. La diversité des tâches est telle que c’est un moyen infaillible de trouver ta vocation.

Et pas celle imposée par la vie ou ton entourage.

10. Tu fais ce que tu aimes

Pas ce que tes parents aimeraient que tu fasses. Ni ce que l’école t’a dicté.

Tous influencés par des facteurs complètement hors réalité.

N’imagine pas que la génération précédente ou un organisme étatique arriéré puissent comprendre que…

11. Tu surfes sur une énorme transition économique

L’économie classique mondiale est particulièrement secouée. 20 ans de montée en puissance des technologies numériques et connectées, ça marque !

De nouvelles opportunités de business fleurissent et les entrepreneurs capitalisent.

Prends le peer to peer :

Le Bon Coin fut l’un des initiateurs de cette grande vague.

Je m’en suis servie tout l’été pour vendre ma vie de sédentaire.

Puis vint Airbnb, que je ne présente plus et que j’utilise régulièrement pour trouver un logement de passage dans tous les pays.

Aujourd’hui, les sites collaboratifs poussent comme des champignons !

Blablacar, Misterbnb, Boaterfly, Make It Travel et bien d’autres ont su prendre avec succès le tournant de l’économie basée sur l’échange entre particuliers.

Je veux bien échanger avec vous les garçons :)
Je veux bien échanger avec vous les garçons :)

Le dernier en date auquel j’ai eu recours : Costockage.

J’ai pu ainsi entreposer mes dernières affaires parisiennes dans un grenier pour 3 fois moins cher qu’avec une entreprise classique.

Ce modèle d’économie collaborative nous prouve une chose importante :

Le consommateur reprend le pouvoir.

Peut-être qu’un jour nous reviendrons au troc. Qui sait ?

Alors que certaines grosses entreprises luttent pour s’adapter, ces startups se taillent la part du lion. Bien que la plupart aient commencé dans un garage.

Et ce n’est que le début !

12. Internet n’en finit pas de se développer

plus de 54 % de la population mondiale y est maintenant connecté. Un chiffre en augmentation exponentielle.

Alors, imagine dans les 10 ans à venir. Les entrepreneurs en ligne sont en train de devenir les rois de la piste.

Tu veux en faire partie ? Nous sommes là pour t’y aider.

Beaucoup d’entreprises physiques ont mis du temps à réaliser l’enjeu crucial de l’investissement sur le Net.

C’est pourtant l’industrie la plus florissante du moment. Et le meilleur moyen de donner aux petits entrepreneurs autant de visibilité. Quelle que soit leur spécialité.

Tu aurais tort de l’ignorer !

Commence ton business en ligne dès aujourd’hui et bénéficie de l’envolée de cette croissance.

13. Cela t’aidera à créer ton réseau

Comment ?

Crée-toi d’abord une image sur le net.

Avec un blog professionnel traitant du sujet que tu maîtrises, par exemple.

Rien de tel pour te faire remarquer et constituer un réseau solide en rapport avec ton activité.

Réseaux sociaux, mails, visioconférences ou webinaires sont des vecteurs virtuels qui multiplieront tes possibilités de rencontres avec de nouvelles personnes.

Pratique pour l’entrepreneur en recherche perpétuelle de nouveaux clients, prospects et partenaires pour faire avancer son business.

Alors, reste crédible !

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Et n’inonde pas ton fil d’actu de « lolcats ».

Tu attireras davantage de gens sérieux, désireux de travailler avec toi.

Car l’entreprise en ligne…

14. C’est un marché d’employeurs monstrueux

Humaniance, Hopwork, Twago, Codeur,  Fiverr404works, WithdesignersGraphiste, Freelancer : le nombre plateformes mettant en relation employeurs et indépendants a littéralement explosé !

Et ça, ce n’est pas une bonne nouvelle pour les salariés… ni pour les freelances qui souhaitent se vendre à leur juste prix d’ailleurs (mais c’est un autre histoire).

Et si avec mon ton grave, je te disais :

« Le taux de chômage mondial est élevé. »

Je t’en apprends une bonne là…

Et avec pour concurrents des indépendants toujours plus nombreux, la place du CDI vaudra très cher et sera mal payée.

Entre un indépendant :

  • payé par à coup (facture et non pas salaire),
  • qui bosse de chez lui (pas de frais de structure),
  • qui ne glande pas devant la machine à café (à se plaindre des conditions de travail),

…et toi…

Qui crois-tu que l’employeur va choisir ?

Il est peut-être temps de t’inscrire sur l’une des plateformes que je viens de citer (juste pour débuter, hein). ;)

L’indépendant coûte moins cher et pose moins de problèmes.

Et ça, c’est une bonne nouvelle pour les petits entrepreneurs.

Nous bénéficions ainsi de travailleurs disponibles, même pour une heure de boulot.

Attention toutefois aux mauvaises expériences.

J’ai embauché un Serbe pour réaliser mon livre qui se trouve sur la page « construire votre autorité » de mon site Chèvre chaud.

Chèvre-Embarrassée-Landing

Ben ouais, ça coûte moins cher un Serbe.

Il se proclamait expert Indesign. Non seulement il avait des goûts de chiotte pour les couleurs, mais il était techniquement catastrophique.

Résultat : une semaine de perdue…

Aujourd’hui, mon graphiste est un ami, ou Tony. Tu comprends maintenant l’importance de « créer ton réseau » ?

15. Tu peux créer de l’emploi

Mon pote graphiste est bien content quand je lui demande un petit boulot.

Mes demandes ne sont pas mirobolantes, mais qui sait dans un avenir proche ?

Plus tu évolueres, plus tu auras besoin de monde. Et si tu réussis, peut-être que l’année prochaine tu commenceras à recruter.

Mais en attendant, pense déjà à faire rentrer de l’argent. Et en devenant entrepreneur en ligne…

16. Tu peux gagner des revenus passifs

L’affiliation du mois de septembre nous a rapporté :

  • 294 € pour la promo d’un livre
  • 60,45 € en achat de formation
  • 3,5 € pour un autre livre
  • 41,5 € de commission Amazon

Pas loin de 400 € au total alors que je ne touche plus au blog depuis 3 mois. Pas un article depuis le 1er juillet.

Vivre des fruits de l’affiliation, c’est un peu comme être rentier. Il suffit de mettre en place quelques astuces de vente sur votre site.

OK, « Il suffit » est un bien grand mot.

Un blog qui cartonne a le potentiel de gagner pas mal d’argent de cette façon, mais attends-vous à travailler dur pendant des années avant d’en vivre sans rien faire.

Faut pas rêver non plus.

Mais une fois cet objectif atteint tu scoreras même pendant votre sommeil.

Ou pendant ton trajet jusqu’au boulot. Si tu en as un ! Car quand tu es entrepreneur en ligne…

17. Tu ne te tapes jamais les heures de pointe

Aller au travail en même temps que tout le monde est une véritable connerie.

Embouteillages, transports en commun bondés, suicide sur les voies ferrées… (Encore un chanceux qui n’a plus à penser, mais qui retarde ton train).

Bref, tu perds ton temps en plus de ta patience.

Tu te vois faire ça jusqu’à tes 65-70 ans ?

Moi non.

L’entrepreneur en ligne voit ses matinées rimer avec tranquillité.

RDV Skype à 9h00 = Réveil à 8h40.

Pièce pour travailler sur les portables
10 mètres entre mon lit et mon bureau. :)

Tu préfères travailler hors domicile ? Tu choisiras des heures creusent pour rejoindre ton espace de coworking.

Ainsi, tu ne croiseras plus ces « chanceux » qui te font perdre des heures précieuses et…

18. Tu passes plus de temps avec tes proches

C’est d’autant plus vrai pour moi qu’avec Tony nous travaillons côte à côte depuis 2 ans.

Du coup, notre vie sociale ne se cantonne pas à quelques heures le soir avant de se coucher.

Et surtout, nous partageons un projet de vie commun indispensable à la cohésion de notre couple.

Bon, il y a aussi le revers de la médaille…

Tony à Kaohsiung sur le grand lac avec tigre et dragon
Parfois ça chauffe dur entre tigre et dragon !

Maintenant, imagine le bonheur de pouvoir consacrer ce temps à tes enfants.

Plus de crèche, plus de nourrice !

En dehors de tes heures de boulot bien sûr.

Il te sera plus facile de :

  • Gérer mercredis et vacances scolaires,
  • Dire « oui » aux sorties éducatives,
  • Récupérer ta petites têtes blondes à la sortie de 16h,
  • Ou de le faire manger le midi.

Car quand tu as du temps…

19. Tu cuisines plus souvent

Si cela te semble anodin, tu as tort !

La malbouffe est partout et notre santé irremplaçable.

Combien de personnes ai-je entendu dire ?

« Ma cantine est vraiment dégueulasse ! »

Un employé mange ce qu’on lui donne dans son resto d’entreprise. Basta.

Ah non, il peut se rabattre sur sandwicherie, grecque ou McDo.

Je sais, je l’ai vécu à plusieurs reprises.

Je fais maintenant mes propres repas, je profite de produits sains et je sais ce qu’il y a dans mon assiette. Plutôt sympa quand on habite en Asie.

Haydée en train de manger du calamar
Miam !

Car oui…

20. Tu peux voyager dans le monde entier

Et travailler de n’importe où tant que tu as une bonne connexion.

S’expatrier 6 mois par ici puis 6 mois par là : c’est ça être nomade digital.

Et c’est tout l’intérêt de monter son business en ligne pour être libre de ses mouvements.

Après 6 mois en Amérique latine et un an dans les Balkans, Taïwan est l’heureuse élue pour cette année.

Vue-sur-le-lac-et-la-statue-contrastée-avec-les-bâtiments-modernes
Kaohsiung est « temporairement » notre nouveau chez nous

Mais ne déménage pas trop souvent non plus : un déplacement peut demander plusieurs semaines d’acclimatation. Surtout quand tu cumules nouvelle culture et langue compliquée.

Faire 4 pays en un an a été l’une de nos erreurs l’an passé. Bien trop de stress pour gérer notre entreprise en changeant régulièrement de contrée.

Et puis nous aurions pu choisir…

21. Plus de soleil !

Déménager de France pour Taïwan un 15 septembre n’était pas un hasard.

Et c’est un bon choix. Excepté pour les typhons et petits tremblements de terre que nous avons eu le temps d’expérimenter.

Une broutille comparée à la rudesse de l’hiver parisien.

J’aurai donc profité d’un bel été français pour savourer ensuite la chaleur de l’Asie.

Un petit crochet par le Japon et je repasserai mi-mars dans notre beau pays, histoire d’honorer une obligation administrative.

Mais je repars aussi sec !

Où ça ?

Je ne sais pas encore, mais sûrement… AU SOLEIL !

Bon, pas trop quand même...

Bon, pas trop quand même…

Enfin, tout cela s’applique aux nomades numériques.

Recentrons donc cet avantage pour celui qui souhaite devenir entrepreneur en ligne.

Mise en situation simple :

Tu es en train de bosser chez toi, mais dehors le temps est superbe. Tellement magnifique que tu lâches ton taf pour profiter d’une ballade toute la journée.

Combien de fois un employé de bureau a t’il rêvé de pouvoir faire cela ?

Juste rêvé…

Car il regardera toujours ce soleil à travers la fenêtre de son bureau pour en sortir quand celui-ci aura disparu.

Conclusion : Vivent les horaires flexibles ! Car grâce à elles…

22. Tu écoutes ton corps pour devenir efficace

Quand il s’agit de bosser, chacun son heure.

Moi, c’est au réveil.

J’ai bien dit au réveil ! Pas le matin. Car je me lève uniquement quand je ne suis plus fatiguée. Sinon au revoir créativité, verve et productivité.

Travailler à heures fixes n’a rien de naturel. Un exemple :

Penses-tu déborder d’efficacité juste après ton déjeuner ? Non. La digestion aidant, tu finiras plutôt par procrastiner.

En tant qu’entrepreneur, finit la rigidité. Attends-toi à travailler à des horaires décalées : tes heures productives.

Au moment où j’écris cette ligne, il est 23h30, mais je me sens toujours prête à enchaîner.

Et après avoir travaillé tard, je profiterai d'un moment de détente.
Demain toute la journée, je profiterai d’un moment de détente bien mérité.

Une vie de salarié ne t’offre pas cette liberté.

Et quand le salaire fixe tombe tous les mois, travailler aux heures imposées te pousse facilement à batifoler.

Pas envie de taffer… Et si j’allais faire un petit tour sur le Net.

Te voilà derechef scotché aux réseaux sociaux, faisant nonchalamment défiler ton fil d’actualité. Le piège.

Tu n’es es plus efficace en rien !

En tant qu’entrepreneur en ligne, l’obligation de résultat te pousse au cul.

23. Cela te rend plus productif sur internet

Naviguer sur le web fait partie de ton travail. Lire, écrire, partager et commenter te permet de te perfectionner et de te faire connaître.

Tu ne consommes plus l’info, tu la crées.

Raison supplémentaire pour fuir articles people et vidéos buzz pour décérébrés. Il serait dommage de se cantonner à la lie d’internet quand autant de savoir est à ta portée.

Ainsi, tu priorises les meilleures données pour développer tes connaissances nécessaires à l’évolution de ton activité.

24. Ta croissance potentielle est illimitée

Tu penses être promu chaque année avec ton job de salarié ? Euh… Ça, c’était avant.

Mais supposons que ça l’est toujours :

Aucune chance pour autant de passer de secrétaire à patron rapidement. Ni tout au long d’une carrière d’ailleurs.

Enfin, tu peux toujours rêver.

Les entrepreneurs, eux, peuvent expérimenter des changements fulgurants en passant de 100 à 10 000 € quotidien en un claquement de doigts.

L’idée de savoir que ton business peut exploser du jour au lendemain rend l’expérience entrepreneuriale très séduisante.

J’attends toujours ce moment… Mais je ne désespère pas, car je fais tout pour !

Alors, que penses-tu de la lecture de ces 24 raisons ?

Belle aventure en perspective non ? Plus encore…

25. C’est particulièrement gratifiant

Il est difficile de définir ce qui nous satisfait dans la vie. Nous le savons au moment où nous le vivons.

Apprendre, expérimenter et batailler au quotidien me semblent être de bons ingrédients.

Bref, tout ce que l’aventure entrepreneuriale t’apporte.

Pas plus tard qu’hier, mon hôte taïwanaise me demandait si j’étais mariée. Je lui dis :

« Non… »

Très étonnée par ma réponse, elle me rétorqua :

« Je ne comprends pas. Ici, tout le monde se marie. Mais une chose est sûre : vous irradiez le bonheur ! »

Elle a failli me mettre la larme à l’œil la bougresse. :’)

Haydée près du Dabube en Serbie
Heureuse ? Oui !

Mon expérience me fait dire que les entrepreneurs semblent plus satisfaits de leur vie que les autres.

Un sentiment que je ressens également avec ceux qui sont encore loin d’avoir réussi.

Il y a définitivement quelque chose qui rapproche « travail pour soi » et « bonheur ».

Un rapport que j’appellerais : le contrôle de ta destinée.

Une valeur que l’entrepreneur en ligne peut largement partager, puisqu’au final…

26. Tu peux influencer le monde

Le salarié est un rouage de l’entreprise. Il produit et donne des résultats au niveau d’une chaîne parcellisée. Mais malheureusement, il ne marquera pas le monde avec sa touche personnelle.

Toi, l’entrepreneur en ligne, tu construis des business qui reflètent tes valeurs. Tu as sûrement même une mission sous-jacente qui t’anime.

Tes business amusent, informent et éduquent une audience fidèle qui n’est accessible que grâce à internet. À ton niveau respectable, tu façonnes le monde.

Alors, imagine le jour où tu atteinds des dizaines de milliers d’abonnés.

N’en fais pas un simple objectif, mais une réalité.

À toi : Quelle raison te motive le plus ?

Y en a-t-il une parmi ces 26 qui t’a sauté à la gueule en te faisant hurler intérieurement :

« Voilà pourquoi je rêve de devenir entrepreneur ! »

Dis-le-moi dans les commentaires.

Et si tu n’es pas encore un entrepreneur, voici mon ultime conseil pour le devenir :

Tu peux commencer dès aujourd’hui !

Chopez la bonne recette, et l’entrepreneuriat en ligne t’offrira des avantages qu’aucun autre style de travail ne pourra égaler.

Cela te fait peur ?

Rappelle-toi les sages paroles de Michael Jordan :

Je peux accepter l’échec, car tout le monde foire quelque chose dans sa vie. Mais je ne peux accepter de ne pas avoir essayé.

Haydée Bouscasse

À propos de l'auteur

Formatrice | J’aide les particuliers à se lancer en indépendant puis à développer leur activité pour en vivre à temps complet -- et les freelances à se positionner, trouver des clients, vendre et décupler leur Chiffre d'Affaires.
Infopreneuse | J’implémente les stratégies inbound marketing aussi bien pour mes propres business que pour mes clients PME et solopreneurs.
Experte IA | Je fais gagner du temps (une tonne !) aux freelances et web-entrepreneurs grâce à ChatGPT et DALL-E.

Accessoirement passionnée par la langue monténégrine et accro à mon vélo.

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  1. Bah encore un super article … Non seulement la plume mais aussi les bonnes idées, ça nous (en tout cas moi) conforte dans mon projet de freelance en ligne !
    UN GRAND MERCI :)

  2. Bonjour Haydée,

    Tout d’abord, merci pour tes franches paroles, ton style naturel et ton humour que j’aime beaucoup.

    Pour moi, ma raison principale d’être entrepreneur est la liberté géographique. Voyager quand, où et aussi longtemps que je le désire est mon objectif.

    A bientôt,

    1. Tu souhaites donc switcher en mode nomade digital Chaba ? ;)
      Avec l’anglais et l’espagnol courant, tu devrais bien t’en sortir. Mais je vois que tu as déjà pas mal voyagé.
      Je parle ces 2 langues également et au Portugal je m’en sors plutôt bien.
      Bravo pour ton site, c’est une très bonne idée de donner des cours en ligne. Tu es sur la bonne voie.
      Tiens moi au courant lorsque tu auras fait le grand saut.

  3. Bonjour Haydée ET bonjour à toute la communauté

    Tout d’abord merci pour ton article inspirant à souhait !
    Pour ma part sans avoir eu la chance de lire tes précédents articles, il y a un an je quittais mon job dans lequel j’étais installé depuis 8ans et où je ne m’épanouissais pas du tout … au bout de de quatre ans j’avais fait le tour de mon poste et demandant une évolution de carrière, mon ancien patron me repondit montrez moi de quoi vous êtes capable et vous serez récompensé !!!! Du coup bibi n’a pas chômé :
    -mise en place d’élection de délégué du personnel (une boîte de 50 salariés qui se plaisaient tout en ronchonnant avec un salaire de merde depuis 25ans pour la plus ancienne…Et où à ma grande surprise devenue délégué du personnel et à l’époque javais 26ans… )
    -mise en place boîte à idées en interne pour récolter les pour et les contres dans notre société
    -mise en place plan de formations pour les ouvriers de la boîte qui n’en n’avait jamais effectué aucune
    -nouvelle plateforme d’inventaire …. blabla bla..
    Pour finalement quatre plus tard je travaillais plus, la société faisait des bénéfices deux après tous nos efforts et le salaire de bibi n’avait pas bougé d’un poil…
    Du coup je suis parti ET me suis tournée du côté obscure en passant par lerrance et la colère … un matin, me suis réveillé de BONNE humeur et me voilà sur ton blog qui m’a redonné le goût du challenge !
    Alors merci encore de nous booster et nous mettre un bon coup de pied au cul quand cela est nécessaire :)

    1. Merci pour ton témoignage Pauline.

      Ton expérience ne m’étonne pas. J’avais tendance à agir comme toi dans les boîtes où j’ai travaillé sans jamais obtenir quoi que ce soit en retour (à part de fausses promesses). D’où ma décision de devenir mon propre patron.

      Il ne te reste plus qu’à lire la suite tant que cela te booste. Et surtout pour te lancer à ton tour. Je te le souhaite !

  4. Hello Haydée !

    je suis en plein dedans actuellement !

    Je suis en train de négocier avec mon employeur pour passer à temps partiel au 1er Janvier !

    Oui, mes Sites me demandent de plus en plus d’investissement au fil du temps et c’est vrai que, comme tu le dis, il est plus facile qu’il y a quelques années de franchir le pas.

    Cela fait un petit bout de temps que je te suis et ton style de vie me faisait envie…

    Alors je me jette à l’eau…;o)<

    Christophe.

    1. Bonne nouvelle Christophe,

      Tu auras beaucoup plus de temps devant toi pour faire grandir tes business. Je trouve cette solution de mi-temps pertinente pour commencer doucement sans stress.

      Et vu le nombre de visites que tu as sur ton blog… :
      https://pt.semrush.com/fr/info/sospc.name+(by+organic)
      https://www.similarweb.com/website/sospc.name#overview

      … avec des produits/services ciblés et une bonne stratégie marketing, je ne me fais aucun de soucis pour toi pour la suite.

      Bon week-end.

  5. Merci pour cet article très intéressant.

    Même s’il faudrait insister sur le fait que ce n’est pas facile.

    Juste une précision : les risques ne sont pas « faible ».

    Souvent, ceux qui se laissent partent de ce principe ou oublier que le temps utilisé est une ressource dépensée.

    Il faut donc comprendre ce fait, et aller le plus vite possible dans son business.

    Car le temps est notre seule ressource limitée.

    1. C’est vrai Teddy, pas facile de se lancer dans l’entrepreneuriat. Je n’ai pas insisté sur cet aspect dans l’article car j’en parle assez souvent dans d’autres plus orientés vers ces difficultés. A chaque billet son sujet.

      Concernant ta précision je comprends ta position. C’est pour cela que ma formation est axée sur le fait de monter son business en parallèle de son travail. Ainsi, le risque reste minime quand on se lance dans l’aventure. Bien sûre cela implique également de travailler à côté et donc de ne pas chaumer. Mais c’est plutôt une bonne chose si l’on tient à rentabiliser son temps au maximum car oui, c’est bien notre ressource la plus précieuse.

  6. Salut Haydée,
    Super article, comme d’hab!
    Pour moi ce serait la raison numéro 16. « Vous pouvez gagner des revenus passifs »
    Et pour la question de l’adaptation au pays, et l’inconvenient de toujours trouver ses marques en arrivant, je travaille sur un système de nomadisme en alternant les séjours sur les mêmes destinations. Toulouse/Chiang Mai dans mon cas, même si c’est Bangkok que je connais le mieux (sans m’interdire d’autres destinations ponctuellement)
    En tout cas, je voulais te dire que toi et Tony êtes dans la liste de mes toutes meilleures lectures sur le sujet de l’entrepreneuriat nomade francophone. Continuez comme ça, et souhaitez-moi la même chose que cette vie de rêvée que vous avez trouvée.
    Take care.
    Pascal

    1. Privilégier deux destinations principales pour vivre son nomadisme est effectivement très commode Pascal. Cela permet de retrouver régulièrement ses marques et de prendre le temps d’une adaptation plus profonde. Ton système risque donc d’avoir du succès.
      Je connais un entrepreneur que oscille entre son appart de Bangkok et son terrain au Costa Rica et j’ai l’impression qu’il le vit plutôt bien. :)

      Par notre part, nous n’avons pas encore l’envie de nous poser dans un lieux particulier. Nous sillonnons la planète, faisant 6 mois par-ci, 6 mois par-là en profitant simplement de chaque nouvelle découverte. D’autant que nous n’en sommes qu’au début et que le monde est vaste…
      Nous remarquons que chaque endroit a toujours son lot de bonnes et de mauvaises choses et cela nous aide à aller voir ailleurs même quand l’endroit nous enchante.

      Toulouse et Chiang Mai sont de très bon choix. Cela fait longtemps que Chiang Mai nous chauffe et nous pensons peut-être nous installer là-bas pour la période de mars à septembre 2016. Ce sera une bonne occasion de se rencontrer et peut-être auras-tu des plans sympas à nous proposer.

      Merci de ton soutien ! Et compte sur nous pour t’envoyer un max d’ondes positives pour ton entreprise. Je gage même que nous ferons mieux que cela en te donnant plein de nouveaux tips et de nouvelles idées avec nos articles à venir, que tu puisses vivre l’existence rêvée que tu as choisi.

  7. Bonjour Haydée !

    C’est un vrai plaisir de te lire, j’ai trouvé une vraie source d’inspiration en parcourant ton blog depuis 1 mois. C’est donc le premier article que je découvre « en temps réel » si on peut dire… Et quel article !

    Merci beaucoup :-)

    Il y a juste un détail que je ne comprends pas. Dans le point n°2 tu parles du niveau d’incompétence mais j’ai du mal à voir comment un indépendant peut éviter ce travers mieux qu’un salarié. Aucun doute qu’en travaillant pour soi on ne peut pas être promu à un poste qui ne nous convient pas, c’est certain ! Mais tu n’as pas le même risque de te retrouver à la tête d’une activité qui a « trop » grossi par rapport à ton niveau d’organisation, technique, comptable ou autre ?

    J’imagine qu’on évolue soi-même en même temps que son entreprise mais on a tous nos limites alors… voilà je m’interroge :-)

    Profitez bien de Taïwan !

    1. C’est une bonne question Grégory.
      Avant tout, je préfère préciser que j’avançais l’argument du principe de Peter pour mon exemple personnel passé. Je ne tenais pas à m’en servir pour mettre en avant le fait que l’indépendant évitera davantage ce travers que le salarié.

      Mais ce n’est pas faux malgré tout.
      Dans l’absolu, tant qu’un salarié est efficace il est promu. Jusqu’à tomber sur un poste qu’il ne maîtrisera pas parce qu’il aura atteint son niveau d’incompétence. Pour lui, le risque est alors de rester trop longtemps sur ce poste parce son employeur ne peut rien lui proposer d’autre et simplement parce qu’il ne veut pas perdre les avantages qui lui sont liés (nature, paye conséquente…). Il risque alors de s’enfermer dans une sorte de « placard ».

      L’entrepreneur peut effectivement se retrouver dans ce cas de figure avec une activité qui le dépasse, mais sa solution est plus simple : il peut déléguer les parties pour lesquelles il atteint son niveau d’incompétence. Après, il peut tout bonnement changer d’activité ou la limiter à son niveau de compétence, même si cela me paraît bien moins intelligent, car si l’activité a grossi, c’est qu’elle fonctionne bien et donc qu’elle rapporte.

      Merci pour ton retour ! Nous profitons un max. Et à bientôt. :)

  8. Ce que je retiens le plus, c’est la partie sur la productivité liée à notre rythme naturel : je suis plus efficace la nuit, je suis inspiré.
    Travailler au bureau signifie donc travailler à mes heures les moins productives (je commente cet excellent article à 2h28 du matin).

    Oh et excellent choix de méthode d’apprentissage du chinois Tony ! J’ai appris l’Allemand et l’Espagnol avec la méthode Assimil !

    1. Bienvenu dans le cercle des couche-tard Michael. Enfin, plutôt pour Tony.
      Car il m’arrive autant de bosser jusqu’à 4 heures du mat que de me lever à cette même heure pour enchaîner 3 ou 4 heures de travail avant de me recoucher. Quand ça bouillonne il faut que ça sorte, quelle que soit l’heure. Un excellente raison pour moi de profiter de l’entrepreneuriat en ligne.

      Nous avons retrouvé cette méthode Assimil planquée dans un carton de notre cave lors de la liquidation de nos affaires avant le grand départ. Le livre date de l’époque où j’habitais encore en Espagne. Un bouquin espagnol écrit en français enseignant le chinois… tout un programme. :)

      Enfin, cela prouve une chose : nous entreposons toutes sortes de trucs que nous les oublions bêtement pour en acheter de nouveaux quelques années plus tard. Cette liquidation nous l’aura démontré plusieurs fois.

  9. Chère Haydee,
    Cet été j’ai « osé » t’adresser une question suite à la lecture d’un de tes articles et… j’ai été véritablement hallucinée de recevoir un mail de ta part,dans lequel tu répondais personnellement à ma demande.
    Ça,déjà,c’est suffisamment rare pour mériter d’être relevé et,apprécié à sa juste valeur.

    Je n’ai pas découvert ton blog par hasard,c’est à dire que je suis tombée sur toi précisément parce que j’ai tapé sur mon clavier:
    « Tout quitter et partir »

    Tes écrits m’inspirent,m’encouragent,ils insufflent l’espoir de lendemains chantants.
    Merci!

    1. Quel adorable retour.
      Je mets effectivement un point d’honneur à répondre rapidement à toutes les personnes qui m’écrivent. D’autant plus motivant quand je ressens une grosse passion à travers leurs écrits. Ce fut le cas avec toi Francine.
      Et tu le prouves aujourd’hui ! Belle décision que l’aventure de cette tournée européenne. Une superbe expérience en perspective, parfaite pour ces lendemains chantants.
      Tiens nous au courant de ton avancement, cela nous fera très plaisir.

  10. Très chère Haydée,
    Je désire être véritablement productif sur le Net. Je vois qu’avec toi je vais y parvenir. Merci infiniment !
    José Fréjus

    1. De rien José. Reste motivé, c’est le plus important. Et sache que dans quelques temps je compte accompagner davantage les entrepreneurs online en herbe pour les aider à réussir.

    1. Et bien je ne peux que t’encourager sur cette voie JC. Et sachant que ta compagne, Alexandra, fait déjà un métier lui permettant de travailler partout dans le monde, (même s’il ne se pratique pas en ligne celui-là), tu as tout à gagner à faire de même. Entreprendre en ligne est une très bonne alternative. Courage !

  11. Ton article pourrai se résumer avec un vieux proverbe: ‘ceux qui veulent faire quelque chose trouvent des solutions, les autres trouvent des excuses’.
    Merci de nous montrer que des solutions existent! Et à nous d’arrêter de trouver des excuses…

    1. J’adore ce proverbe ! J’allais te demander s’il était chinois et je me suis dit : « Va donc voir sur Google faignante. » Cette phrase pleine de bon sens est donc une citation arabe. Du coup, j’ai remarqué que Bernard Weber en avait fait un vague plagia dans son livre « Les fourmis » le vilain. :)

      Enfin, si tout le monde pouvait penser comme toi ça nous éviterai d’autre expressions du style : « Les excuses sont faites pour s’en servir ». Proverbe Wallon celui-ci. J’aime beaucoup moins.

      Mais à la décharge des belges, l’origine des excuses vient du premier livre de la Bible :
      Quand, au commencement, le premier homme, Adam, eût commis l’indélicatesse de pousser Dieu hors de sa vie, le Seigneur est venu le trouver pour lui redemander des comptes. Adam a eu une excuse toute faite. Il a dit : C’est la femme que tu m’as donnée…! Dieu s’est tourné vers la femme et, elle aussi, a sorti une excuse comme si elle l’avait préparée depuis quinze jours. Elle a dit : C’est le serpent ! C’est là une preuve de la véracité de l’histoire d’Adam et Ève en ce sens que, sur le plan des excuses, nous sommes tous leurs fils et leurs filles tellement nous leur ressemblons. Et voilà pourquoi depuis lors plus personne n’est sans excuse.

      C’était l’instant culturel. :) Merci à toi de m’avoir inspiré cela Ariane.

  12. C’est toujours un plaisir de vous lire Haydée. Je suis un fan de votre blog et à force de lire vos articles sur le fait de quitter son job routinier et aller dans l’aventure de l’entrepreneuriat, une aventure qui me séduit depuis des années, m’a rendu conscience finale. Et là, c’est décidé, je vais me lancer dans une expérience sur le web. Merci Haydée.

    1. L’expérience web est déjà bien entamée avec votre site de chirurgie plastique d’après ce que je constate Aladin. Et qui sait, grâce à votre commentaire certains lecteurs nomades digitaux sauront où s’installer quelques mois pour se refaire faire un beauté à moindre coût. ;) En tout cas, merci pour ce gentil retour.

    1. J’espère que tu n’as pas les fesses trop rouges quand même Anthony, je m’en voudrais. ;)
      En tout cas, n’hésite pas à m’envoyer le lien vers ton site le jour où il sera opé. Nous sabrerons le champagne virtuel pour ton arrivée dans la communauté.

  13. Quel bon article après quelques mois d’absence. Cela fait à peu près deux mois que je suis ton blog (les anciens articles donc) et je m’y retrouver super bien ! Anciens hôteliers, mon mari et moi, nous avons tout quitté pour avoir plus de temps avec nos enfants et on a voyagé en Thailande en sac à dos, aux Etats-Unis en camping car pendant un an et au Costa Rica en faisant du volontariat d’enseignement d’anglais. On avait besoin d’une période de récupération.

    Depuis cette année, on se sentait prêt à entreprendre quelque chose de nouveau, mais pas question de rentrer en France. Du coup on est au Pérou du Nord, où Philippe fait du consulting (plutôt dur ici) et il vend des gâteaux, tartes et biscuits (ce qui mange plutôt bien). Il donne des cours d’anglais à l’université – tout cela paie note vie quotidienne à peu près.

    Et moi, j’ai commencé à monter un tour opérateur spécialisé dans le Nord du Pérou, donc tout par internet. J’ai dû demander de l’aide à un jeune homme pour l’optimisation du site, pour l’organisation du blog pour me faire connaître, d’apprendre des mots spécialisés jamais entendu avant… Comme je dis, j’apprends un nouveau metier et c’est génial. Je ne m’attends pas à des milliers de clients demain, mais je travaille dur tous les jours pour préparer un lancement plus grand pour début de l’année prochaine. L’idée serait justement de pouvoir continuer et grandir le tour opérateur, même si une des ces années la bougeotte nous reprend et on continue de voyager.

    Etre entrepreneur indépendant et en ligne, cela donne de la liberté. Mais j’adore comme tu le dis très bien, il y a du travail pour y arriver. Je pense que la génération de mes parents ne peut pas comprendre ces nouveaux metiers. Ils pensent toujours que je suis en vacances, leur ordinateur ne permet pas de charger mes pages, donc ils ne peuvent pas voir le travail accompli.

    Maintenant que tu es au Taiwan, tu vas écrire plus régulièrement ?
    Bon courage et bon séjour au Taiwan.
    A très bientôt,
    Martina

    1. Que de chemin parcouru Martina ! Je suis admirative.

      Ce sont des exemples comme le vôtre qui montrent à quel point la vie n’est pas figée à ce que l’on veut nous faire croire. D’autant plus avec des enfants. Alors bravo.
      Bravo aussi pour l’initiative de ce blog et pour avoir su déléguer et te faire aider par les bonnes personnes.

      Passer d’un 4 étoiles en Provence à l’aventure en Asie, Etats-Unis puis Amérique centrale et latine sont de sacrés changements. Surtout dans la région Amazonas qui ne doit pas être aussi facile à vivre que certaines contrées que vous avez visité auparavant. Je dis cela pour avoir un peu traîné mes guêtres dans ce coin du Pérou mais peut-être pas assez longtemps pour m’en faire une idée aussi précise que vous. J’en garde malgré tout de bons souvenirs.

      C’est vrai que beaucoup de personnes sont à mille lieux de comprendre la démarche et le travail titanesque des entrepreneurs en lignes. Croyant que ceux-ci sont en vacances perpétuelles. J’ai souvent eu droit à ce genre de remarques également… Mais à force, on s’y habitue. Dommage que de ton côté, cela vienne de tes parents.

      En tout cas, le coup de leur ordi(nosaure) m’a beaucoup faite rire, même si je ne devrais pas. L’image est assez rigolote d’autant plus qu’elle me rappelle ce dessin de Tony :
      Ordinosaure
      Bon, du coup tu n’as plus qu’à leur envoyer des photos papier. :)

      Maintenant que je consomme ma nouvelle vie, je compte effectivement republier régulièrement. Et nous aurons sûrement l’occasion de nous suivre respectivement.
      A bientôt et bon courage dans votre nouvelle entreprise.

  14. Etre libre de se coucher/se lever à n’importe quelle heure, pas avoir de patron, pas de transports, avoir du temps pour ses loisirs… c’est dur de revenir en arrière. Un point aussi important à signaler c’est ce que les autres pensent de vous, jalousie, incompréhension… pourtant j’essaye de convaincre un max de gens de se lancer.

    1. Jalousie et incompréhension… Effectivement, c’est un des revers de la médaille pour les entrepreneurs comme nous Mat. Et cela peut venir de juste à côté.

      On dit souvent que la famille est l’une des plus grosses barrières de notre réussite. Je n’ai pas à me plaindre de ce côté, mais Tony est en plein dedans. Il a dû laisser derrière lui certains membres de sa famille, incapables de comprendre ses choix ou trop jaloux pour l’encourager dans le bon sens.
      Le tout est de faire abstraction en se disant qu’ils comprendront un jour.

      Essayer de convaincre les autres de devenir entrepreneur en ligne est ardu, surtout si l’on ne prêche pas des convaincus. Mais beaucoup comprendrons avec le temps et les transformations économiques galopantes. Patience.

  15. Et bien je trouve que ces trois mois d’absence te réussissent à merveille ! Un super article tant dans la forme que l’humour (chapeau ton gif animé… et les autres photos) avec des vérités énoncées – Taïwan n’a qu’à bien se tenir !!! Je pense que tu as tout à fait raison de conseiller de rester quelques mois à un même endroit pour l’acclimatisation et aussi prendre le temps de visiter… Tu nous diras tout ce que tu vois de beau ? A bientôt de lire vos aventures à tous deux

    1. Coucou Haydée et Tony, contente d’avoir de vos news.

      Encore un article très dynamique qui donne envie de faire autre chose que des mondanités parisiennes…je vous envie!

      Et sinon, c’est comment la vie digitale de là-bas?

      A bientôt, grosses bisettes.
      Camcam

    2. Un gros bisou pour tes encouragements Camille ! La vie digitale est très mouvementée et c’est tant mieux. Ajoute à cela la découverte du pays et de son fonctionnement, et nous ne voyons plus le temps défiler.
      Une anecdote : il nous aura fallu 2 jours pour comprendre où nous procurer de l’eau correcte à boire sans acheter des bidons d’eau minérale hors de prix pour les critères du pays. Et une fois trouvé l’endroit, il a fallu savoir quel type d’eau choisir… en chinois. C’est folklo mais passionnant.
      Voilà l’endroit en question : Pompe à eau Taïwanaise
      Au début, nous avons cru à une pompe à essence, mais le liquide nous paraissait un peu trop transparent pour du sans plomb. Qu’ils sont con ces français…:D

    3. Oui Taty Chantal, à nous Taïwan ! Il est même fort possible que nous y restions plus longtemps que prévu si nous nous y plaisons vraiment. L’avenir le dira.

      3 mois d’absence pour se refaire une vie : voilà sûrement pourquoi cela me réussit si bien. Nous sommes enfin débarrassés de nos produits de consommation, appartements et autres fardeaux administratifs français autant que faire se peut. Du coup je me sens plus légère et encline à dépenser mon énergie au bon endroit.

      Pour l’instant je suis plus focalisée sur le pratique que sur le beau du pays, mais une fois rodée je donnerai les bons plans. ;)

  16. Super contente de vous retrouver.
    Et vous avez bien raison, car ici en Haute-Savoie, aujourd’hui temps de merde, grisaille, pluie, bref tout pour plaire (et j’aime seulement la chaleur et le soleil).
    Etant par-dessus le marché en pleine crise de la quarantaine – lol – je n’aspire qu’à devenir nomade digitale. J’y bosse depuis quelques années et j’étais sur le point de lâcher mes rêves il y a quelques jours, mais… ça revient, et plus encore en lisant ce génial article :)
    Malgré les difficultés financières que je traverse.

    J’aime toutes les raisons, mais j’ai un faible pour les points 20 et 21 : le top, pouvoir changer de pays régulièrement, sans être retenue par des contraintes (j’en ai pour l’instant et ça me plombe : des animaux pourtant bien mignons, un apparte et gros crédit sur le dos). C’est vraiment ce à quoi j’aspire.

    Merci pour les PDF ;)

    Alors, Taïwan c’est comment ? Je veux savoir moi !
    Biz à vous 2

    1. Yes Marjorie ! Effectivement, j’ai eu vent de la météo parisienne qui n’est pas mieux qu’en Haute Savoie. C’est une des raisons de notre installation à Taïwan : entre 20 et 35°C toute l’année.
      Le peu que nous avons découvert pour le moment nous plait beaucoup. Un mélange entre modernité et traditionnel qui n’est pas étranger à notre émerveillement quotidien. Sûrement ce mix d’influences chinoises, japonaises et occidentales.
      Les taïwanais sont hyper accueillants et toujours prêt à t’aider pour n’importe quoi, c’est incroyable. Un exemple : Nous allons à l’un des vieux marché du coin pour y acheter de la viande séchée et voilà que le vendeur nous demande notre numéro de téléphone pour une petite rencontre hors de son travail avec sa famille. Des situations similaires, nous avons vécu plusieurs en quelques jours seulement !

      Courage pour ta crise qui, je l’espère, ne sera que passagère. Tu as l’énergie nécessaire pour tenir bon et réaliser tes rêves. J’en suis persuadée. Et à moins que ton découragement d’il y a quelques jours ne soit dû à autre chose, tu n’a plus qu’à larguer les animaux :P et t’armer de patience pour ton crédit.

      Je sais à quel point il est difficile de lancer la machine pour devenir entrepreneur en ligne et réussir ses projets. C’est un problème récurrent pour beaucoup de mes lecteurs. Raison pour laquelle je souhaite mettre en place un aide concrète sur notre blog dans les mois à venir. Pas de la simple information via des articles mais une solution d’accompagnement solide. A suivre…

  17. Salut Haydée!
    Bonne reprise à Taïwan! Content de te lire. Je ne peux qu’adhérer à ces raisons et ma préférée reste le 6 mois par pays bien sûr
    À très bientôt!
    Murvin

    1. Merci Murvin, la reprise est bien entamée et ça bosse dur depuis notre repère Taïwanais.
      C’est vrai que 6 mois par pays est idéal, mais quand je vois le nombre de petites échoppes qui nous entourent et nous proposent des mets tous aussi hallucinants les uns que les autres, je me demande si nous n’allons pas rester 1 an ici !

  18. Hello !
    Ah mais quel bonheur de te lire à nouveau et de découvrir de nouveaux dessins toujours aussi… à croquer ! Moi la raison qui me parle le plus, c’est la liberté…
    C’est comment Taïwan ? Vous vous y plaisez ?

    1. Hello Nath’ ! Je confirme, la liberté reste également pour moi une des raisons principales.
      Après quelques semaines, nous pouvons dire que nous sommes bien à Taïwan. Notre appart est spacieux et notre hôte très cool. Elle nous a même prêté des vélo. Nous baragouinons déjà quelques mots de chinois et combiné à la vivacité d’esprit taïwanaise, nous parvenons très bien à nous faire comprendre (Ce n’est pas l’Albanie).
      Le temps est magnifique excepté ce petit typhon d’arrivée mais ce fut une expérience « sympa ». Bref, que du bonheur pour le moment.

      Bise et merci pour ta trouvaille de l’appli convertisseur XE Currency sur ton article : Top 5 des applis gratuites pour voyageurs à l’arrache. Très pratique !
      Tony te fait une grosse bise aussi pour le « à croquer ». ;)

  19. Eh bien, moi je suis convaincu !
    Cela fait bien longtemps que je ne suis plus salarié… Et bientôt diginomade, enfin.
    Merci pour cette liste et surtout ton style décapant et décalé. Ça fait plaisir !!

    1. Un plaisir partagé Olivier. J’avais déjà remarqué ton travail qui apporte sa pierre à l’édifice du « web intelligent ».
      Diginomade, voilà un terme auquel je n’avais pas pensé, ça sonne bien. Bienvenu dans cette petite communauté de nomades numériques qui ne va pas cesser de grandir dans les années à venir.

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