11 Business en Ligne pour Travailler de n’Importe où dans le Monde en 2023

Business en ligne de coach qui m'aide à distance à travers mon ordinateur portable.
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Ce sont bien plus que des business en ligne pour travailler de n’importe où que je te détaille ici.

  • Business model du Web
  • Modèles d’entreprises en ligne
  • Méthodes pour gagner de l’argent sur internet…

Appelle-les comme tu veux.

L’important, c’est qu’à eux seuls, ils regroupent 99% des idées de business en ligne que tu peux exercer.

C’est la toute première étape pour t’orienter vers l’activité qui te convient.

Alors, lis attentivement chaque partie pour comprendre ce que chacun de ces 11 types de business en ligne impliquent pour toi..

Et fais ton choix.

La seconde étape ?

Télécharge mon Guide des 105 idées de business en ligne de 2023. Tu y trouveras le détail des meilleures activités du Web à commencer dès aujourd’hui, avec des exemples concrets pour t’inspirer :

Mais n’allons pas trop vite…

Commence par comprendre ce que chacun de ces 11 types de business en ligne impliquent pour toi.

Et pour t’y aider, j’ai évalué chacun d’entre eux sur la base de 3 critères :

  • Apprentissage: à quel point le boulot est compliqué.

Plus la note est élevée, plus tu auras besoin de compétences pour réussir dans le domaine… ou plus elles seront difficiles à maîtriser.

  • Temps: à quel point le boulot est long avant de porter ses fruits.

Plus la note est élevée, plus tu devras investir de temps pour obtenir des revenus décents.

  • Gain: à quel point le boulot rapporte.

Plus la note est élevée, plus ce business en ligne sera capable de te rapporter des revenus conséquents.

Bien sûr, ces évaluations restent subjectives.

Car elles sont juste basées sur mes 10 années d’expérience et celles des (nombreux) Web-entrepreneurs que je côtoie…

Mais ce n’est pas une liste basique pondue par un rédacteur Web lambda pour apporter du trafic à un gros site avec des mots-clés.

C’est du vécu, du concret – et sans langue de bois.

Et dans la dernière partie, tu trouveras un graphique qui te donnera une vue d’ensemble de ces 11 + 1 business en ligne classés selon leur rapport gain/difficulté.

Un simple coup d’œil qui te permettra d’embrasser la réalité de l’entrepreneuriat en ligne.

Clique sur la partie correspondante pour l’atteindre directement :


sommaire
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11 business en ligne à commencer dès aujourd’hui

Je me rappelle ces moments où je travaillais de chez moi pour une grosse firme.

Je me demandais à quoi pouvaient bien servir ces déplacements quotidiens pour bosser.

Me lever (très) tôt, me préparer, me taper 2 à 3 heures de transport dans la journée et faire bonne figure, pour finalement comptabiliser 4 heures de travail effectif…

Alors que mon entreprise me permettait de bosser à domicile.

C’était en 2007.

Vise l’IBM collector avec lequel je télétravaillais déjà sans problème.

Pourquoi me gêner ?

Peut-être parce que les autres employés me regardaient d’un mauvais œil. Ils pensaient certainement que je glandais à la maison.

Pour la plupart, travailler c’était d’abord se transposer de leur lit au bureau en mode zombi. Puis se réveiller lentement à la machine à café.

Tandis que je dépotais beaucoup plus et bien mieux à la maison.

Mais pour faire quoi ?

Credit manager, consultante fonctionnelle, contrôleuse de gestion ? Autant de métiers qui ne m’ont pas transcendée.

Sans compter mon envie de voyager qui me démangeait de plus en plus.

Puis j’ai eu la chance de discuter avec des Web-entrepreneurs qui travaillaient d’un peu partout dans le monde. Les premiers nomades digitaux.

Leurs activités étaient alléchantes – leur lifestyle encore plus…

J’en rêvais !

Alors, je me suis lancée.

Mais à l’époque, personne ne m’a expliqué par quel business en ligne commencer, quels étaient les risques, ou simplement comment débuter…

Résultat :

J’ai testé 6 des 11 business en ligne que tu vas voir ici.

Et j’ai perdu du temps – beaucoup de temps ! – avant de gagner ma vie en ligne avec les activités qui me comblent aujourd’hui.

C’est l’une des raisons d’être de cet article : te faire gagner du temps en évitant mes erreurs.

Je ne vais donc pas être tendre avec tous ces business.

Après, à toi de choisir.

Mais tu ne pourras pas dire que tu ne savais pas. ;)

1. Freelance (artisan du Web)

  • Apprentissage : 3/5
  • Temps : 1/5
  • Gain : 3/5
En pleine mission freelance à Bucarest.

Freelance… mais d’où vient ce nom ?

Cela remonte a plus de 300 ans ! Freelance signifiait : « soldat à louer » – du temps ou les mercenaires avaient encore des lances.

De « free lances » en anglais, le terme est devenu « francs-lanciers » dans la traduction française d’Ivanhoé (en 1835). Puis il a évolué au fil du temps.

Bon, je ne suis pas là pour te faire un cours d’histoire… mais l’anecdote est amusante.

Car aujourd’hui, le freelance est un peu le mercenaire de l’internet.

C’est un travailleur indépendant, à la fois patron et employé de sa propre boîte, qui met ses compétences à disposition de ses clients (majoritairement des entreprises) pour réaliser certaines tâches à leur place.

Et dans une multitude de domaines :

  • Rédaction Web
  • Traduction
  • Webdesign
  • Graphisme
  • Programmation
  • Réseaux sociaux
  • Vidéo
  • Audio
  • Technologies de l’information
  • Communication
  • Marketing, etc.

Pour une tonne de métiers freelances que je te détaille un par un dans cet article.

Bref, si tu disposes d’assez de compétences pour vendre tes services (ou si tu souhaites en apprendre une pour te lancer), ce business en ligne est le meilleur moyen de débuter.

  1. C’est le plus rapide : pas besoin de site internet ni d’audience pour commencer.
  2. C’est le moins coûteux : aucun investissement de départ n’est nécessaire – en dehors de l’achat de quelques outils numériques pour certains.
  3. Tu peux travailler de chez toi (ou de n’importe où dans le monde) immédiatement.
  4. Tu peux démarrer en parallèle de ton travail pour faire tes armes.
  5. Et à terme, tu pourras vivre de ton métier à plein temps – avec un revenu confortable.

Voilà pourquoi j’oriente tous les débutants vers ce business en ligne pour se lancer dans l’entrepreneuriat.

Ça te branche ?

OK.

Mais attention ! Ça a beau être le business model le plus simple, savoir vendre ses services est un art qui s’apprend !

Surtout si tu veux réussir à gagner assez d’argent sur le long terme.

Alors, si tu veux connaître le Système pour préparer ton service (la majorité des freelances ne font pas ce travail… et échouent), construire tes offres, et te lancer le plus simplement du monde sans te submerger – même si tu pars de zéro et que tu n’y connais rien – télécharge notre Guide Ultime pour se lancer en freelance :

Suis ce guide pas-à-pas et tu te donneras toutes les chances de gagner des revenus au bout de quelques semaines.

Les inconvénients du freelance ?

Tu as beau être « entrepreneur », tu commenceras par troquer ton temps contre de l’argent avant d’être payé pour la valeur que tu apportes (seconde étape des freelances).

Nous passons tous par là.

Et tu devras t’adapter aux demandes de tes clients. Sachant que certains se prendront pour tes patrons – alors, gaffe à ne pas rentrer dans leur jeu !

Exemples de freelances

Kalagan est un webmaster nomade digital.

Il travaille pour ses clients depuis le Mexique et d’autres pays d’Amérique latine – à distance donc, et sans aucun souci.

Tony et moi sommes (entre autres) content marketeurs et copywriters.

Nos business en freelance représentent 50% de notre chiffre d’affaires annuel. Et ils nous ont permis de travailler tout en voyageant dans le monde entier ces 9 dernières années.

2. Infopreneur

  • Apprentissage : 4/5
  • Temps : 3/5
  • Gain : 4/5

C’est sans conteste mon business en ligne préféré.

Le principe est simple : tu vends des produits numériques que tu crées toi-même.

Généralement, ce sont des produits d’informations :

  • Ebooks
  • Fichiers audio
  • Vidéos ou webinaires
  • Modèles (templates)
  • Checklists
  • Cartes mentales (heuristiques)
  • Infographies, etc.

Tant que tu as les compétences pour les créer, les idées ne manquent pas…

Mais allons plus loin avec LE produit numérique le plus rentable :

Le cours en ligne (gain : 5/5).

Imagine que tu es vraiment calé dans un domaine ou que tu es capable de résoudre le plus grand problème d’un groupe de personnes.

Tu peux créer une série de vidéos ou d’emails autour de ton savoir ou de ta solution pour la vendre assez rapidement – et en automatique.

Habituellement, les cours en ligne se vendent entre 49€ et plusieurs milliers euros.

Mais attention !

Les cours haut de gamme (et donc les plus chers) prennent beaucoup de temps à produire.

Par exemple, lorsque nous avons créé 1k1mois – notre Cours Premium pour convertir ses compétences en revenus récurrents – nous avons consacré plus d’un an à ses recherches, son ébauche, ses tests, sa création et sa conception en ligne.

Malgré tout, les cours en ligne impliquent un risque minimum – bien plus faible que la création de produits physiques. Ils sont très rentables et faciles à faire évoluer (« scalable » comme disent les anglo-saxons).

Sans compter que si tu assures, tu pourras toucher des milliers de personnes dans la sphère francophone et en vivre à plein temps de n’importe où.

Notre cours en ligne 1k1mois représente 50% de nos revenus aujourd’hui. Et nous comptons bien en créer d’autres pour aider notre communauté.

Bref, je ne te recommanderai jamais assez ce business en ligne.

Après, comme je tiens à rester transparente avec toi, voici un article qui casse le mythe de l’infopreneur millionnaire. A relativiser, certes, mais il a le mérite de ne pas encenser ce business model à outrance – comme le font la plupart des infopreneurs vendeurs de pelle.

Et si tu souhaites démarrer une entreprise en ligne capable de passer de 0 à +50000€, télécharge le Guide Ultime pour lancer un business en ligne rentable.

Tu apprendras comment mettre en place les 3 Systèmes essentiels pour créer un flot continu de trafic, d’abonnés et, plus important, d’acheteurs !

3. Coach en ligne

  • Apprentissage : 3/5
  • Temps: 1/5
  • Gain : 3/5

Avec le freelancing, c’est le second moyen le plus rapide de commencer à gagner de l’argent en ligne.

Surprenant ?

Oui, parce que beaucoup de personnes m’écrivent en me disant qu’elles souhaitent créer leur produit d’information en ligne, et finalement…

À force de communiquer avec leurs prospects, ceux-ci leur envoient des messages en disant :

« Hey, j’adore ce que tu fais. Proposes-tu des séances de coaching ? »

Tony et moi y avons droit régulièrement.

Mais alors, pourquoi commencer par le coaching plutôt que par un cours ou une formation en ligne ?

Eh bien pour 4 raisons :

  • Tu n’as pas besoin de créer un site internet ni d’avoir une grosse audience pour coacher les gens.
  • Tu peux gagner de l’argent rapidement – et tu peux facturer des prix élevés pour un suivi individuel approfondi, ou pour des coachings de groupe.
  • Ton boulot consiste essentiellement à faire beaucoup de recherches pour tes clients. Tu en apprendras donc énormément sur leurs peurs, leurs désirs et leurs objections profondes. Autant d’infos que tu pourras utiliser pour créer des infoproduits.
  • C’est le moyen idéal d’obtenir d’excellents témoignages qui te permettront de vendre de futurs cours en ligne.

Pour résumer la bonne stratégie :

1. Tu débutes en tant que coach en ligne pour toucher quelques clients.

Certes, cela te demandera d’effectuer un travail régulier, mais si tu suis les étapes du Système dont je parlais plus haut pour les freelances, tu pourras facturer des tarifs élevés.

Car, oui, un coach en ligne vend ses services de la même manière que les freelances (et les consultant).

Et si tu es toujours à bloc après cela…

Récupère mon cours gratuit pour commencer à gagner ta vie en freelance. Il te permettra d’aller plus loin pour trouver des clients et commencer à être payé :

2. Tu passes au cours en ligne pour toucher un plus large public qui te fera gagner de bons revenus en automatique.

Un gros travail de départ, j’en conviens, mais avec peu de maintenance par la suite.

Évidemment, qui dit large public dit développer ton audience sur internet. Travail que tu ne dois surtout pas négliger…

Après, rien ne t’empêche d’allier coaching et cours en ligne avec ton business.

4. Consultant en ligne

  • Apprentissage : 5/5
  • Temps: 3/5
  • Gain : 4/5

Tu vas peut-être me demander :

« Mais quelle est la différence entre coaching et consulting ? »

Bonne question !

Car beaucoup de coachs se disent consultants (à tort) pour se faire mousser.

Bah oui… consultant, ça fait classe.

Alors, soyons clairs :

  • Le coach accompagne les particuliers pour les aider à trouver des solutions à leurs problèmes.
  • Le consultant accompagne les entreprises pour les aider à améliorer leurs performances.

Aaaah ! Là, c’est limpide.

Sur le marché du travail « classique », les consultants sont presque toujours d’anciens dirigeants ou cadres supérieurs bardés de diplômes.

Pourquoi ?

Parce que la France ne jure que par les diplômes et qu’une entreprise veut les « meilleurs » conseillers. Donc, les plus diplômés.

Bon, j’exagère un peu. L’expérience pèse aussi dans la balance.

Alors, considère ceci…

Quel que soit ton domaine de compétence sur le Web (acquis en autodidacte ou pas), tu commences ton business en ligne en tant qu’artisan du Web.

Plus tu bosses avec des clients et plus tu prends de l’expérience – jusqu’au moment où tu craques le code.

C’est-à-dire ?

Eh bien, jusqu’au moment où tu as parfaitement intégré ton processus de travail et que tu es capable de répliquer tes résultats à l’échelle de n’importe quelle boîte.

Ainsi, tu pourras faire ta transition.

Par exemple :

  • De référenceur freelance, tu passeras à consultant SEO
  • De rédacteur Web, tu passeras à consultant en content marketing
  • De créateur de boutiques en ligne, tu passeras à consultant e-commerce, etc.

Bien sûr, il faudra prouver ta valeur à tes prospects.

Comment ?

En liant tes actions à tes résultats…

Et c’est là que les témoignages de tes anciens clients entrent en jeu.

En montrant ces preuves à tes prospects dans une proposition commerciale en béton (dont tu trouveras mon modèle à recopier ici), tu auras toutes les chances de remporter des missions.

Bref, n’envisage ce business en ligne qu’à partir d’un certain niveau d’expérience.

5. E-commerce

  • Apprentissage : 4/5
  • Temps : 4/5
  • Gain : 2/5

Pas de secret ici.

Il s’agit de vendre des produits physiques par le biais de :

  • Ton site boutique personnel
  • Une plateforme de type Etsy, Ebay ou Amazon

Je me méfie de ce business en ligne, car la majorité du temps, les marges bénéficiaires sont extrêmement faibles.

Oui, je sais que tu trouveras des tonnes « d’experts » et de formations qui te diront le contraire…

Alors, comprends-moi bien :

Je ne dis pas qu’il n’y a rien à gagner dans ce domaine. Certains en vivent à temps plein.

Mais je préfère les marges qu’offre la vente de produits en ligne.

Et plus important encore, les produits physiques impliquent beaucoup de paramètres sur lesquels tu n’as pas un contrôle total :

  • Gestion des stocks
  • Problèmes de casse ou de perte à l’envoi
  • Rupture de stock des fournisseurs, etc.

Sans compter que tes marges peuvent fondre comme neige au soleil avec :

  • L’augmentation des prix fournisseurs – si tu fais de l’achat/revente
  • Les commissions des plateformes
  • Ou les coûts additionnels (création et maintenance de ton site, frais d’envoi, marketing, dépenses pour ta visibilité, etc.)

La grande mode du moment, c’est le dropshipping.

Le principe ?

Le client achète un produit sur le catalogue de ton site e-commerce, mais tu ne t’occupes ni de la logistique, ni du stock, ni de l’expédition du produit.

Ta seule mission est de transmettre la commande au fournisseur du produit. Celui-ci s’occupe de tout le reste, et tu prends ta commission au passage.

Oui, ça à l’air alléchant dit comme ça.

Mais ne t’y trompe pas !

En plus des inconvénients de l’e-commerce classique, ce système te donnera encore moins de contrôle sur ton business.

Et tu devras éviter les nombreuses arnaques associées au dropshipping au moment de trouver les bons fournisseurs et produits.

Bien sûr, tu peux tenter ta chance en parallèle de ton job et voir si l’e-commerce te convient pour faire quelques revenus complémentaires – voire plus si affinité.

Mais personnellement, ce business model ne m’intéresse pas.

6. Affiliation

  • Apprentissage : 3/5
  • Temps : 3/5
  • Gain : 2/5

Tu n’as jamais entendu parler de l’affiliation ?

OK. Alors, voici un exemple de son fonctionnement…

Un blogueur rédige un article où il donne son avis sur : « Mon compte en banque préféré. »

À la fin de l’article, il donne un lien à ses lecteurs pour : « Ouvrir votre compte en banque ici. »

C’est un lien d’affiliation.

Si tu cliques dessus et que tu ouvres ton compte, la banque versera une commission à ce blogueur – sans que tu payes plus cher l’ouverture de ton compte.

Des programmes d’affiliation comme cet exemple, il y en existe des milliers ! Autant pour les produits physiques que pour les produits numériques (et même les services).

Les commissions peuvent osciller entre 5 et 40% du prix total du produit (voire 70% pour certains).

Et là, tu comprends qu’au fil du temps, cela peut représenter une belle manne financière pour le vendeur en affiliation.

Lors de mes premières années avec Travelplugin, j’ai fait de l’affiliation. Pour une assurance de voyage, pour des livres numériques (via Amazon et quelques infopreneurs de confiance), ou encore pour un service de remboursement de billets d’avion.

En fait, j’en ai fait assez peu…

J’imaginais que mes lecteurs penseraient que je recommandais n’importe quel truc uniquement pour gagner de l’argent.

Mais j’étais dans l’erreur !

Mes lecteurs me font confiance (et ils ont raison). ;)

Ils savaient donc que je leur recommandais des produits de qualité, que j’avais moi-même testés. Et ils s’inscrivaient.

Bref, cela me faisait gagner quelques centaines d’euros chaque mois – en mettant simplement un lien dans mes articles.

Pourquoi je n’ai pas persisté avec ce business en ligne ?

D’abord parce que ce n’est pas mon business model.

Je préfère mon travail en freelance et créer mes propres infoproduits.

Ensuite, vivre de l’affiliation est un travail à part entière qui demande beaucoup de temps et d’organisation :

  1. Tu dois trouver des annonceurs régulièrement, traiter et négocier avec eux.
  2. Tu dois écrire des articles sur les produits que tu vends – ce qui ne me laissait pas assez d’indépendance éditoriale à mon goût.
  3. Les taux de clics finissent toujours par baisser – ce qui t’oblige à redoubler d’efforts pour promotionner tes liens.

Et bien sûr, tu dois pouvoir toucher une grosse audience pour espérer convertir une petite part de tes lecteurs en clients.

Bref, j’ai vite compris que ce n’était pas un super plan sur le long terme.

Enfin, pour moi…

Car le business en ligne qui suit est la preuve que cela peut bien fonctionner.

7. Sites de niche

  • Apprentissage : 5/5
  • Temps: 4/5
  • Gain : 3/5 (4/5 pour les tueurs)

Les personnes qui pratiquent cette activité aiment avant tout écrire et créer des sites Web, mais pas que…

Car il faut un panel de compétences très large.

Un site de niche est un site commercial qui traite d’une thématique hyper spécialisée – et bénéficie donc d’une petite audience très ciblée.

En clair, tu crées un site basé sur un mot-clé spécifique qui génère :

  • Un petit nombre de recherches mensuelles sur Google – mais suffisantes !
  • Peu de concurrence
  • Une offre commerciale attractive

Par exemple :

  • Produits de beauté bio pour homme
  • Vêtement d’hiver pour chien
  • Méditation Vipassana

Chaque site touche un public restreint, mais extrêmement intéressé par ta thématique et donc, fortement enclin à acheter les produits ou services que tu vends dessus – la plupart du temps en affiliation.

Eh oui ! Nous en revenons à l’affiliation, mais pas uniquement…

Car un blogueur de niche peut aussi faire des partenariats, du sponsoring ou de la publicité pour gagner de l’argent avec son site.

Certains spécialistes des sites de niche peuvent gérer jusqu’à 70 sites en même temps !

Oui, c’est de l’organisation.

Chaque site leur rapporte quelques centaines d’euros par mois (voire plus), et le tour est joué.

Bien sûr, c’est plus facile à dire qu’à faire…

Outre le grand nombre de compétences techniques que tu dois maîtriser (création de sites, gestion de blog, marketing, SEO, SEA, publicité, etc.), trouver des idées de micro-niches rentables et garder un trafic régulier sans te faire pénaliser par Google – qui privilégie les sites d’autorité – n’est pas une mince affaire aujourd’hui.

Nous ne sommes plus en 2010.

Alors, prépare-toi à investir beaucoup de temps et d’énergie pour gagner ta vie avec ce business en ligne.

8. Publicité en ligne

  • Apprentissage : 4/5
  • Temps: 4/5
  • Gain : 3/5
Clavier d'ordinateur portable avec le logo AdSense et 4 billets de 50€.

Voilà un business en ligne aussi vieux qu’internet.

Nous voyons tous passer des publicités. Généralement dans les barres latérales ou les post footers des sites Web.

Alors, comment gagner de l’argent avec la publicité ?

En théorie, c’est assez simple.

Tu dédies des espaces sur ton site pour y afficher des pubs de produits et services d’annonceurs (eh oui, il te faut un site…).

Puis, tu y insères :

  • Des bannières – le plus courant
  • Des habillages publicitaires
  • Des pubs interstitielles – pages qui s’affichent lors d’une transition
  • Des contenus sponsorisés
  • Ou des pop-up – le moins recommandé aujourd’hui

La régie publicitaire la plus connue et la mieux rémunérée reste Google AdSense qui te paye au coût par clic (CPC). En clair, à chaque fois que quelqu’un clique sur ta pub, tu gagnes un petit peu d’argent.

Quelques centimes, hein. Ne t’emballe pas trop. ;)

Après, il existe d’autres manières d’être rémunéré :

  • CPM – où tu es payé pour chaque millier d’affichages
  • CPA – où tu es payé pour chaque action ou vente
  • CPL – où tu es payé pour chaque acquisition de prospect

Adsense ne te proposera pas forcément toutes ces formules…

Tu devras donc te diriger vers des alternatives à Adsense pour diversifier les méthodes et les annonceurs. Surtout si tu disposes d’un site spécialisé ou trop « borderline » pour Google.

Maintenant, soyons clairs.

Gagner sa vie avec ce business en ligne n’est pas à la portée de tout le monde.

Pourquoi ?

Parce qu’il te faudra ÉNORMÉMENT de trafic sur ton site pour dégager un revenu décent. Genre 50 millions de visiteurs par mois !

Oui, c’est beaucoup.

Sans compter que :

  • Google paye de moins en moins bien en CPC
  • L’explosion des bloqueurs de pub a fait chuter les taux de clics
  • Beaucoup de visiteurs évitent soigneusement ces pubs

Bah oui… ce n’est pas comme s’ils étaient obligés de se taper les spots de pub TV à la mi-temps d’un match de foot. Haha !

Bref, encore un business en ligne qui ne m’intéresse pas.

Déjà parce que je passerais plus de temps à optimiser mes taux de clics sur les annonces qu’à rédiger des contenus de qualité.

Et puis, ces pubs seraient bien trop intrusives sur mon site, et auraient tendance à distraire mes lecteurs.

Mais encore une fois, à toi de voir si le filon te branche. Avec un site de niche, pourquoi pas…

9. Influenceur

  • Apprentissage : 2/5
  • Temps: 5/5
  • Gain : 3/5 – (5/5 pour les tueurs)

Tu veux devenir une star du Web ?

OK, mais choisis ce business en ligne uniquement si tu es prêt à étaler ta vie au grand jour… ou du moins, ce que tu veux bien montrer. ;)

L’objectif ici est de créer un max de contenu dans ta spécialité :

  • Gaming
  • Beauté
  • Sport
  • Mode homme
  • Voyages
  • Lifestyle

Puis tu le diffuses sur tes réseaux sociaux (ou sur un blog), en mettant bien en avant ta personnalité.

Oui, tu devras être très fort en « personal branding » pour créer une communauté fidèle autour de toi.

L’idéal ?

Si tu demandes à tes followers de se jeter du haut d’une falaise, ils le feront.

Naaaan, j’déconne !

Quoique…

Ensuite, rapproche-toi des grandes marques, des entreprises d’équipement, ou d’autres boîtes qui vendent des produits et services liés au type de contenu que tu partages pour faire des partenariats et des placements produits.

Une bonne manière de te faire un peu d’argent en parallèle de ton travail pour commencer.

Aujourd’hui, les influenceurs sont devenus incontournables au sein des stratégies de communication des grandes marques.

Bien sûr, plus tu auras d’abonnés et de notoriété, plus tu auras de chances d’être approché par ces marques, agences et annonceurs.

Ce n’est donc pas donné à n’importe qui.

Mais si tu parviens à te démarquer, tu pourras gagner ta vie avec cette activité.

L’un des meilleurs exemples de plateforme adaptée aux influenceurs est Instagram.

Avec de bonnes compétences en marketing et des centaines de milliers d’abonnés, certains influenceurs peuvent facturer entre 500 et 5 000€ par publication (voire plus !).

Eh oui, les influenceurs ont de beaux jours devant eux. Sachant qu’ils pourront également réussir en tant que consultants.

Exemples d’influenceurs

Caroline Receveur > Son compte Instagram

Stéphanie Durant > Son compte Instagram

Kenza Sadoun El Glaoui > Son compte Pinterest

10. Youtubeur

  • Apprentissage : 3/5
  • Temps: 5/5
  • Gain : 2/5 – (5/5 pour les tueurs)

Si tu te sens à l’aise pour enseigner tes compétences, divertir ou informer devant une caméra, ce choix pourrait bien te combler.

Car, oui, passer du temps sur Youtube est toujours un business en ligne d’actualité.

Enfin… tant que tu ne te fais pas démonétiser ou censurer. Mais tu n’es pas complotiste ? N’est-ce pas ? Ahah !

Dans ce cas, tu devras créer des contenus vidéo divertissants – et de valeur – pour développer ton nombre d’abonnés sur ta chaine.

Et après une inscription au programme partenaire Youtube, tes vidéos commenceront à générer des revenus substantiels à partir de toutes les publicités affichées dessus.

Bon, tu ne choisis pas le style de pubs que YouTube met sur tes vidéos. Alors, attends-toi parfois à quelques surprises.

Certains te diront que de nombreux Youtubeurs gagnent des millions chaque année.

Peut-être pour un Norman, un Cyprien ou un Squeezie…

Mais je vais encore jouer ma relou.

(Tu commences à être habitué.)

À moins de 2€ les 1000 vues (dans le meilleur des cas !), tu gagneras ton premier million au bout de 500 millions de vues…

Alors, ne t’emballe pas trop. Sachant que le coût par mille (CPM) dépend de nombreux paramètres et que tu peux facilement tomber à 1€/1000 vues, voire moins.

C’est pourquoi beaucoup de Youtubeurs demandent des contributions à leur communauté via des plateformes de financement participatif comme Tipeee, Utip ou Patreon pour arrondir les fins de mois.

Un dernier détail : pense à investir dans une caméra et un microphone de compétition, car la qualité de tes productions vidéo affectera énormément ton audience.

Exemples de Youtubeurs

Benjamin Brillaud > Sa chaine YouTube : Nota Bene

Hugo Travers > Sa chaine YouTube : Hugo décrypte

Nicolas Olivier > Sa chaine YouTube : Tout le monde peut faire de la musique !

11. Podcasteur

  • Apprentissage : 3/5
  • Temps: 4/5
  • Gain : 2/5

C’est un business en ligne parfait si tu aimes faire des recherches, parler à un public et raconter des histoires.

Depuis quelques années, le paysage du podcast français se développe énormément.

Et même s’il est dominé par les professionnels du son, de la radio et du journalisme, de plus en plus de personnes se lancent dans cette aventure pour gagner des revenus complémentaires.

Certains ont même abandonné leur job pour en vivre à plein temps. Tu en retrouveras une partie sur Podcasteo.

Si tu te sens capable de fédérer une audience régulière autour d’un sujet spécifique, le podcast peut être une idée de business en ligne gratifiante.

Cependant, le podcasting a encore du mal à trouver un business model précis :

  • Paiement par abonnement
  • Financement par des régies publicitaires
  • Sponsoring d’entreprises
  • Financement participatif…

Voilà les moyens actuels que tu peux mixer pour monétiser ton podcast.

Naturellement, si tu disposes déjà d’une audience en ligne grâce à un site internet, celui-ci t’aidera à décoller. Car le monde du podcast indépendant n’est pas encore très visible.

Pour t’aider à te lancer dans cette activité, lis cet article assez riche de PodcastInsights.

Exemples de podcasteurs indépendants

Patrick Beja > Son site internet

Louis-Guillaume Kan-Lacas > Son site internet

Clémentine Galey > Son site internet

12. Logiciels SaaS (bonus)

  • Apprentissage : 5/5
  • Temps: 5/5
  • Gain : 5/5

Pourquoi je mets ce business en ligne en bonus ?

Parce qu’il n’est sûrement pas à ta portée aujourd’hui… ou alors, je ne sais pas ce que tu fais ici.

Mais il est toujours bon de savoir qu’il existe.

SaaS signifie : Software as a service – Logiciel en tant que service.

Pour faire simple, tu crées un logiciel à usage commercial, sauf que celui-ci ne s’installe pas sur l’ordinateur de tes clients.

Il est hébergé sur un serveur distant – tout comme un site internet classique – et tu fais payer son utilisation sous forme d’abonnement.

Tu ne le sais peut-être pas, mais tu utilises sûrement plusieurs logiciels SaaS régulièrement. Par exemple :

  • Google G Suite
  • Microsoft Office 365
  • Dropbox
  • Zoom
  • Slack

C’est de loin le business en ligne existant le plus rentable du moment.

Mais tu n’imagines pas le nombre de Web-entrepreneurs qui se sont cassé les dents en essayant d’en créer un.

Pourquoi ?

Parce qu’il te faut :

  1. Une idée de logiciel qui répond au besoin urgent d’assez d’entreprises (ou de gens) pour le rentabiliser à long terme.
  2. Une tonne de compétences techniques – ou un bon développeur – pour le concevoir.
  3. Un suivi et une maintenance régulière pour faire évoluer ton logiciel afin qu’il réponde aux exigences de tes clients.
  4. Et, bien sûr, assez de visibilité et d’audience pour le vendre.

Oui… ce n’est pas gagné.

Alors, si tu débutes dans l’entrepreneuriat, je ne te conseille surtout pas de commencer par ça !

Mais qui sait, pour un futur pas si lointain ?

Et une fois que ton logiciel génère assez d’abonnements, tu n’as plus qu’à ramasser tes gains, tout en l’entretenant tranquillement.

Comment exploiter cette liste de business en ligne ?

Comme rien n’est plus parlant qu’une vue d’ensemble, voici le graphique qui reprend tous ces business en ligne :

Explications…

  • Pour les gains :

Plus le business est haut, plus il peut te rapporter d’argent.

Certains pros me diront que leur business rapporte plus que je le laisse supposer sur le graphique. Comme YouTubeur, influenceur ou e-commerce. Peut-être pour eux… mais leurs gains ne sont pas représentatifs de la majorité.

Après, s’ils veulent me faire changer d’avis (avec quelques preuves à l’appui) nous pouvons en parler dans les commentaires. Et je suis prête à actualiser mon graphique s’ils ont raison. :)

  • Pour la difficulté :

J’ai combiné l’apprentissage, le temps et l’investissement financier que chaque business implique pour réussir.

Plus le business est à droite, plus il est difficile à lancer – et à pérenniser.

  • Pour les pastilles vertes :

Ce sont les business vers lesquels t’orienter lorsque tu débutes. Car leur rapport difficulté/gain est (de loin) le plus intéressant.

Logique…

Un coach en ligne n’a besoin que de sa boite mail, de son téléphone et d’un outil comme Skype ou Zoom pour accompagner ses clients.

Pour le freelance, tout dépend de son domaine :

Un rédacteur Web n’aura besoin que de Word et de sa boite mail.

Tandis qu’un spécialiste du Big Data devra maîtriser tout un panel de compétences et d’outils très pointus pour travailler avec ses clients (R, Python, SQL, Excel, Acces, etc.). Sans compter les outils collaboratifs.

Les difficultés et les gains varieront donc selon l’activité vers laquelle tu t’orientes.

Et nous y voilà !

Quelle idée de business spécifique vas-tu choisir ?

Il y en a tellement…

Eh bien, c’est le moment de télécharger mon Guide des 105 meilleures idées de business en ligne de 2023. Ne te casse pas la tête à chercher ailleurs, elles sont toutes là. Et une grande partie de cette liste est orientée freelance.

Par exemple, rien que pour la rédaction Web, tu découvriras 13 activités en ligne qui ont fait leurs preuves – et que tu peux démarrer en parallèle de ton travail.

Entre ton prénom et ton mail pour récupérer ton Guide en PDF :

Maintenant…

Tu as sûrement remarqué qu’Infopreneur est bicolore sur mon graphique.

Pourquoi ?

Parce que ce business regroupe des idées très différentes.

Par exemple :

Si tu crées des ebooks, la difficulté ne sera pas très élevée. Mais ne t’attends pas à gagner une fortune avec ça.

Tandis que créer un cours en ligne avec PDF, vidéos et audios te demandera un travail technique important – et des compétences supplémentaires pour le concevoir et l’héberger en ligne (sauf si utilises une plateforme de formation en ligne).

Mais ton potentiel de gains sera décuplé.

Le gain et la difficulté dépendent donc du produit d’information que tu vends.

La meilleure stratégie pour lancer ton premier business en ligne et le faire évoluer

Pour conclure, voici ce que je te recommande :

  • Tu te sens capable d’apporter une solution au problème spécifique d’un groupe de gens ?

Deviens coach en ligne.

  • Tu maîtrises une compétence pour effectuer une tâche précise au profit des entreprises ?

Deviens freelance.

  • Tu n’as rien de tout cela ?

Trouve l’idée de business qui t’attire le plus dans mon Guide Ultime… et forme-toi !

Ensuite, pratique ton activité, affine tes compétences, ajoutes-en de nouvelles au fur et à mesure.

Arrivé à ce stade, tu pourras :

  • Passer de coach à infopreneur pour enseigner ta solution en automatique à un grand nombre de personnes en même temps.
  • Passer de freelance à consultant pour augmenter tes tarifs – et tes revenus.

Et pour tous les autres business en lignes recensés plus haut ?

Rien ne t’empêche d’en lancer un tout de suite si tu disposes du temps et des compétences nécessaires.

Autrement, attends de te dégager des revenus suffisants avec ta première activité. Et une fois que tu auras augmenté tes tarifs, tu disposeras de plus de temps pour tenter l’aventure.

Bien sûr, tous ces conseils sont à relativiser, car pour une même activité, certains gagneront de l’argent bien plus vite que d’autres – et bien plus que d’autres.

L’entrepreneuriat n’est pas une science exacte.

Et nous ne sommes pas tous égaux face au succès.

Mais ne fais pas comme moi à mes débuts. Donne-toi toutes les chances de gagner des revenus rapidement en commençant par le plus simple.

Puis développe ton business au fur et à mesure.

Vois grand – OK – mais ne te submerge pas d’entrée.

Alors, quel business en ligne vas-tu choisir ?

Dis-moi tout dans les commentaires. Pose les questions qui te brûlent les lèvres.

Je réponds toujours.

Signature d'Haydée Bouscasse

À propos de l'auteur

Formatrice | J’aide les particuliers à se lancer en indépendant puis à développer leur activité pour en vivre à temps complet -- et les freelances à se positionner, trouver des clients, vendre et décupler leur Chiffre d'Affaires.
Infopreneuse | J’implémente les stratégies inbound marketing aussi bien pour mes propres business que pour mes clients PME et solopreneurs.
Experte IA | Je fais gagner du temps (une tonne !) aux freelances et web-entrepreneurs grâce à ChatGPT et DALL-E.

Accessoirement passionnée par la langue monténégrine et accro à mon vélo.

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  1. Coucou tout le monde, merci pour le partage. C’est la première fois que je passe sur le blog et j’avoue que son contenu est très intéressant !
    Bonne continuation, on se revoit sur d’autres astuces !
    Stéphanie

  2. Salut Haydee,

    sympa cet article mais je te signale qu’il est impossible de télécharger ton Guide des 78 idées de business en ligne pour 2021 car on arrive sur une page d’erreur…Dommage

    1. Hello Georges, je viens seulement de voir ton commentaire car je n’ai pas reçu de notification…
      Je viens de tester l’accès au Guide et tout fonctionne correctement. Mais peut-être que ce n’était pas le cas le 17 mars, car j’ai fait beaucoup de manipulations sur le blog. Bref, si tu ne l’as pas encore récupéré, tu peux à nouveau tenter le coup. Tu devrais pouvoir y accéder.
      En tout cas, merci de m’avoir prévenue. C’est cool ! :)

  3. C’est toujours un plaisir de lire les articles d’Haydée et Tony, surtout quand on est en plein doute sur sa propre micro entreprise et que l’on stagne !
    Merci de redonner de l’espoir en parlant de la réalité des choses :-)

    1. Merci à toi Séverine, c’est gentil !
      Garde le cap avec ton activité, courage ! Ton site met bien en valeur tes services, ta personnalité, et je vois que tu as de très bons témoignages.
      Après, pour ton blog, tu peux éventuellement communiquer davantage sur l’écriture d’articles pour l’e-commerce plutôt que sur la vie d’une entrepreneuse. Cela intéressera plus tes prospects et tu pourras te placer sur des mots-clés plus stratégiques. Mon bon… on sait à quel point le référencement est difficile sur Google aujourd’hui. ;)

  4. Salut a vous je m’appelle Atte Roger je Cherche a travaillé en ligne je veux m’intégrer dans votre groupe dans le travail en ligne et j’ai besoin de votre aide

  5. merci pour tous ses articles qui nous boostes pour trouvez notre voix via internet
    et comme j’ai découvert ce lien allors je tiens à le partager avec vous
    merci

    1. Ah… Désolée Lana mais nous ne sommes pas très branchés boutiques en ligne. Nous parlons surtout de business en freelance et d’infopreneuriat. Après, je suis sûre que tu trouveras ton bonheur sur d’autres sites spécialisés dans le domaine. Bon courage !

  6. C’est tout simplement genial. Vous dites et faites ce qu’il faut pour atteindre l’independance financiere. Je comprends ainsi mieux ce qu’est l’esclavage. Je voudrais m’abonner tout de suite.

  7. Bonsoir, cet article est très intéressant et me motive un peu plus dans mon objectif de créer une activité rentable sur internet. Ton article est la goûte d’eau qui me manquait pour renverser la vase. Et ton ebook sera accompagné d’un autre que j’ai acheté il y a quelques semaines de cela pour m’aider dans la perspective d’avoir un revenu sur le net.
    Au revoir à bientôt

  8. Me concernant, je considère que l’affiliate marketing est le plus gros scam de ces dernières décennies.
    C’est une perte de temps immense qui m’a rapporté… 0.
    Ouais, même pas un centime, depuis Mars 2018!
    Je suis complètement écœuré et je crois que je vais bientôt fermer mon site, ça n’a aucun intérêt!
    Je pense que seuls ceux qui sont financés par des grands groupes peuvent réussir. Le commun des mortels n’a pas un centime à gagner avec les blogs.

    Je vais peut-être suivre ton conseil sur les « copywriters », mais si ça aussi ça ne marche pas, je crois que je laisserais définitivement tomber internet et j’irais chercher un « vrai » métier, plutôt.

  9. Bonjour (ou Bonsoir) Haydée,

    Votre ton, comme votre prénom, sont singuliers; et très appréciables! Il en est de même pour l’éthique (précieuse) que vous affichez, et affirmez.

    Votre personnalité doit être captivante…

    Je vais parcourir votre blog, depuis mon lieu d’exil; qui semble prometteur! Et peut-être même y trouver quelque inspiration; ou mieux, un modus operandi fiable.

    Je n’ai que peu de disponibilités. Pourtant, je dois pouvoir « repousser les frontières »; et aller au-delà. D’autant plus que mon site, bien qu’existant depuis de nombreuses années, peine à resté à minima émergé.

    Bonne continuation. Et peut-être à très bientôt.

    Yan

    1. Hello Yan,
      Je te réponds un peu tard car je finalise mes démarches pour m’installer plus longuement en Serbie. Donc, mise en parenthèse du nomadisme numérique. Voilà qui fera plaisir à Kiowa (à qui tu as très bien répondu d’ailleurs).

      Je suis allée consulter ton site et je suis impressionnée par ton parcours. Difficile de rebondir sur toutes tes connaissances et spécialités ! Mais ta page d’accueil les présente assez bien pour qu’une profane comme moi n’ait pas à te poser de questions supplémentaires. Voilà un très bon point !

      Malgré tout, beaucoup de sites comme le tien peinent à maintenir une visibilité digne de la qualité de leurs contenus sur le Net. Malheureusement, c’est un « problème » récurrent chez de nombreux indépendants qui vouent leur temps et leur énergie au bien-être d’autrui, mais au détriment de leur communication/marketing en ligne… que ce soit par manque de temps, de connaissances ou simplement parce que cette pratique leur semble incompatible avec le caractère éthique de leurs activités.

      Après, vu tes nombreuses interventions par le biais des canaux traditionnels (télé, radio, séminaires), je soupçonne qu’internet ne représente qu’une petite corde à l’arc de ta reconnaissance.

      Quoi qu’il en soit, si tu souhaites me poser quelques questions pour optimiser la communication de ton site, je serais ravi d’y répondre afin de t’aider à repousser ces fameuses frontières.

      PS : Ton écrin de verdure guadeloupéen est très beau !

  10. Je m’intéresse beaucoup au travail en ligne
    J’ai envie d’améliorer mon niveau de vie
    Je m’y connais un peu en infographie, vidéo et son
    J’ai quelques notions sur la photographie
    Je « maîtrise  » le traitement de texte, PowerPoint et excel
    Je parle l’arabe, le francais et je m’en sors un peu en anglais
    Qu’est ce que vous pouvez me conseiller
    Merci

  11. je trouve votre parcours inspirant , vraiment !! ,par contre presque tout le monde ne savent pas ou s’orienter ..par exemple moi je vis en Algérie et je veux faire rédactrice ici chez nous il n’y a quasiment pas ce genre de travail la preuve je connais aucun site ni lieu ou autre , en tout cas bon courage

  12. Bonjour Haydée, j’ai lu votre article avec beaucoup d’intérêt, et j’en ai été telement enrichis.

    Vous parler de pouvoir travailler n’importe ou dans le monde et c’est très encourageant, ce pendant, depuis près de 4ans je pense à me lancer ce que j’appelle le online business, mais je n’y trouve pas encore mon compte, une fois j’ai trouvé un travail en France mais j’ai dû arreter parce que le client ne parvenais pas à me payer vu qu’il exigeait un payement via paypal qui n’est pas encore opérationnel (en payement) dans mon pays.

    Aussi voudrais-je savoir, à votre avis peut on évoluer dans l’entreprenariat en ligne à partir de l’Afrique, est-ce les clients européens et americains eraient facilement confiance pour confier leurs travaux aux webentrepeneurs africains.

    De plus dans notre contexte en Afrique, et au Cameroun pr »cisement où je vis, le concept de services en ligne n’est pas encore assez intégré, encore moins le télétravail. Une expertise dans un domaine online, quelque soit l’empleur reste encore sousestimé, et pas prise au serieux, si bien que s’il faut espérer vivre d’une activité pareille il faudrait peut- penser à conquerir les clients d’autres cultures. Dans ce contexte quels conseils nous donneriez vous?

    1. Salut Letemi,

      Inscris-toi ici avant toute chose pour suivre mon cours gratuit, c’est un outil indispensable pour commencer à monter son business en partant d’une idée profitable. Tu y trouveras toutes les ressources pour savoir à qui t’adresser et quels mots utiliser (scripts prêts à l’emploi). Le cours se compose de 7 leçons et de cahiers d’exercices à faire à la maison pour suivre la bonne démarche et gagner de l’argent rapidement.

      Il n’y a pas de raisons que les clients européens ne fassent pas confiance au webentrepreneurs africains. Le principal est de leur donner confiance en utilisant une approche stratégique et en rendant par la suite un travail de qualité, bien entendu.

      Bon courage et si tu as des questions au fil des leçons n’hésite pas !

  13. Hello !
    Je confirme qu’il n’est pas difficile de devenir rédacteur web SEO à partir du moment où l’on sait écrire (trop de candidats font des fautes d’orthographe ou de grammaire malheureusement).
    Pour ma part je suis rédactrice web freelance, je travaille sur une vieille bécane achetée 250 € il y a 4 ans et je gagne beaucoup mieux ma vie que lorsque j’étais salariée (sans parler de ma qualité de vie qui a radicalement changé !).
    Je conseille vraiment ce job à tous ceux qui aime écrire et qui son en quête d’indépendance !

  14. Bonjour

    Comme certaines, certains d’entre vous, j’ai souvent essuyé les plâtres dans des activités qui m’ont mangé du temps et de l’argent.
    Je suis d’accord avec Haydée, créer un job sur Internet ne s’improvise pas.

    Par contre si l’on est entouré d’une équipe active et solidaire, on a toutes les chances d’y arriver assez vite.

    Je fais partie d’une équipe (un club) qui fonctionne comme cela.

    Le travail à faire ne comporte pas de vente directe, et toute la logistique est assurée par les créateurs du concept.

    Vous trouverez ci-dessous un lien pour visionner une vidéo qui n’est ni ennuyeuse, ni tapageuse, ni trop longue, comme c’est souvent le cas !

    business-cle-en-main.com/big/info.php?c=BIG1150

    A bientôt,

    Jean Claude

    1. Même si je suis d’accord avec tes affirmations de départ, je trouve que l’approche et les mots de ta page de promotion vont à l’encontre de mon éthique et de ce que je prône dans mes articles Jean-Claude :

      – Construisez votre « empire » (c’est un peu fort non ?)
      – Des revenus « automatiques » et croissants (rien n’est automatique, tout demande du travail)
      – Même sans compétences (sans compétences nous n’obtenons rien)
      – Business Internet Gagnant (dans la gamme de beaucoup de formations racoleuses du marché aujourd’hui)

      Voilà un marketing faisant dans le « sensationnel » sans preuves réelles de ton expertise. Et que dire du côté « mystérieux » qui nous oblige à te donner notre email pour voir ta vidéo afin d’en « savoir plus »…

      Une dernière chose : il n’y a aucune photo, aucune présentation des membres de ton club ni de leur histoire ou de leurs compétences. Pas même un petit conseil éducatif, un bénéfice réel pour le lecteur ou une indication sur ce qu’est concrètement ton concept.

      Bref, c’est le prototype même du mauvais exemple de marketing que je présenterais aux étudiants de mon cours premium.

      Je pense que des modifications s’imposent… Désolée d’être aussi sincère mais c’est pour t’aider que je te dis tout cela.

  15. j’aimerais savoir comment tu joindre les publicitaire ou les sites qui veulent utilisés ta page FB ou IG pour faire de la pub. Ensuite je voudrais savoir comment s’auront-ils que t’a de vrai followers et non des followers booster

  16. bonjour;

    depuis que j’ai lu votre article, je suis aller chercher un peu sur internet; genre trouver un travail tout en restons chez soi , travailler a la maison et tout j ai déposer des cv un peu partout, et voilà qu’on m appelle depuis la France me disons que qu’il veulent bien me faire une offre, mon français Orale est bon mon écrit est mauvais, je vis en Algérie, j avais un salaire de 300 euro par mois ce qui est pas mal ici ,et voila qui me propose 750 euro, assurer et tout , mon travail est simple je réponds au tel pour les gens qui connaissance pas l’entreprise, je donne des infos , heures d ouverture , adresse , les formations enfin tout ce qui est bon de savoir, pour l invité a venir directement sur place ; j avoue que faut le vouloir, parce que des fois on as quand même envie de sortir genre pas que la nuit, mais bon on as pas tout ce qu’on veux dans la vie
    merci a toi Haydée Bouscasse et je te souhaite prospérité et beaucoup d’argent, ;),

  17. Bonjour
    salut Haydée merci pour ton site merveilleux

    j’ai pratiqué ça dans ma carriere
    depuis 2003 jusqu’à 2006 j ai travaillé dans des societés et vous connaissez le moyen de transport dans un pays comme le maroc une partie de ma consentration vas dans la fatigue à arrivé à temps au job
    j ai repense la question et je me suis mis independant dans un BET TCHNIQUE
    L’appartement de mon travail et aussi amenage en bureau

    tres cordialement

  18. Salut Haydée,

    Je voulais un petit renseignement, il y a peu de temps mon médecin m’a expliqué que vu l’état de ma santé je ne pourrais plus continuer de travailler dans mon métier ainsi que dans tout ce qui est manutention, du coup je suis un peu perdue car j’ai connu et vécu que pour se métier étant ma passion. Cela fait quelques mois que je cherche à trouver un autre domaine, qui me passionnerais et qui me permette de travailler de mon domicile (pas d’emploi dans les environs) et pourquoi pas d’un autre endroit étant donné que j’aime voyager.

    Je n’ai pas un niveau de formation élevé, mais pourquoi pas faire une formation. Peux-tu me conseillé?

    1. Salut Julie

      Le cours gratuit que je propose sur 7 jours t’aidera à te lancer. Tu définiras tes centres d’intérêt et tes points forts. Ce qui t’amènera vers une idée de business à exploiter. Puis tu trouveras toutes les astuces pour que cette idée soit profitable.
      Tu as donc fait la bonne démarche en t’inscrivant à ce cours.

      C’est en faisant les exercices un peu chaque jour que tu trouveras un autre domaine dans lequel travailler. Et pose-moi des questions (en répondant aux mails des leçons) si nécessaire. :)

  19. Bonjour. Article très intéressant avec beaucoup d’infos utiles.

    La partie qui m’intéresse le plus dans votre article c’est le business sur la vente de formations, conseils, ebook… d’après un blogeur actif dans ce domaine, il fait des vidéos et rédige des articles, d’après lui, ce business rapporterais beaucoup d’argent plus de 10.000 eur par mois voir 30.000 eur ! J’ai vraiment du mal à le croire quand il parle de ces sommes d’argent que lui même prétend gagner. J’ai rarqué qu’il parle à chaque vidéo de son propre gain pour vendre ses formations et ebooks. Mais comment est ce possible de gagner autant d’argent sur un mois ? C’est du délir. Pour ma part, je ne le crois pas. C’est un très bon parleur et il donne vraiment de bons conseils mais les sommes qu’il cite me parait exagéré tout simplement!

    Il s’agit de Théophile Eliet.

    Qu’en pensez vous ? Faut il le croire quand il parle de ses grosses sommes d’argent ?

    1. Hello Ilyas.

      Gagner 10 à 30.000 € par mois avec des formations en ligne n’est pas impossible. Mais comme tu as pu le lire dans mon article, cela demande beaucoup d’investissement et de travail. Sans parler des nombreuses compétences dont tu dois disposer pour y parvenir (Techniques, webmarketing, business, écriture, vidéo, webdesign, etc.).
      Ce business n’est donc pas à la portée de tout le monde et prend des années avant de pouvoir être vraiment rentable. Surtout lorsque tu travailles seul.

      Je ne connais pas Théophile Eliet. Du coup, je ne peux pas juger si ses formations sont efficaces ou si ses affirmations sont réelles.

      Par contre, si certains te proposent des formations « faciles » capables de te faire gagner de grosses sommes en quelques semaines avec peu de travail, alors sois sûr que tu as affaire à des vendeurs de rêve. Lancer un business n’est pas facile et prend du temps.

      Un indice qui pourrait t’aider à te faire une idée plus précise de l’honnêteté d’un formateur est de vérifier s’il dispose de beaucoup de témoignages solides prouvant la réussites de ses étudiants. Tu peux même aller jusqu’à contacter ceux-ci pour leur demander leur avis (s’ils ont laissé leurs nom et prénom dans leur témoignage, bien sûr).

      Dans le cas de Théophile, tu peux également le contacter directement pour lui demander davantage de renseignements. Pose simplement les bonnes questions. Par exemple :

      – En combien de temps puis-je gagner 10.000 € par mois avec ta formation ?
      – Combien d’heures de travail quotidien ?
      – Avec quels moyens exactement ?
      – Dois-je payer des logiciels onéreux et de la publicité en plus de ta formation pour réussir ?

      Et suivant les réponses que tu obtiendras tu sauras dans quelle mesure il est honnête avec toi.

      N’hésite pas si tu as d’autres questions.

  20. J’aime beaucoup votre site. Merci pour ces idées de business en ligne. J’aimerai me lancer dans la création de site internet pour ma part.

  21. Bonjour

    Ayant un bon orthographe et assez douée en rédaction, je me demandais comment démarrer en tant que rédacteur média-sociaux???

    Il faut absoluement que je puisse retravailler mais je ne le peux plus en dehors de chez moi

    Merci de votre réponse

    Dause Natacha

    1. Bonjour Natacha,

      Tout business en freelance démarre de la même manière stratégique. Je te conseille donc de lire et d’appliquer les étapes de cet article pour commencer https://slayne.fr/les-etapes-pour-lancer-ton-business-en-freelance-tout-en-travaillant-a-temps-complet/.

      Puis d’ici une semaine, je sors un mini-cours gratuit sur 5 jours pour « trouver l’idée profitable ». Car c’est par là qu’il faut démarrer.

      Je reviendrai dans les commentaires pour poster le lien vers ce nouveau cours.

  22. Fonsoir je suis Franck Justin,

    Je suis un jeune camerounais je maîtrise bien l’outil internet et l’ordinateur, je suis étudiant en 2e année de science économique et pour m’aider à payer mes cours, je fais un stage chez AXA Cameroun et je voudrais travailler sur internet.
    Je serai un bon candidat.
    J’espère faire partit de l’équipe.
    Bien à vous.
    Franck

  23. Hello,
    Interessant « article », même si pour ma part, ce genre de boulot ne me fait pas vraiment « rever », mais j’aime toujours voyager autant que possible et à petit budget si possible (à vélo, tente, bivouac, stop and co); En fait ton article porte bien son nom je trouve, comme en parlait Yves; C’est vraiment « du business », c’est à dire avant tout l’envie de « se faire du fric », sans forcément etre « passionné » par un métier ou une activité;
    Le virtuel résume bien cette société factice qui est en train de tuer la planète-nature; Des vendeurs d’illusions, et de futilités; Et les vrais métiers, ceux dont l’activité passionne, les métiers manuels ou artisanaux, ou ceux qui nourrissent les gens (jardiniers,etc), bref tous les boulots vraiment utiles, vrais et vitaux, sont souvent en voie de disparition, et bientot les gens n’auront plus que des ordis (mais des produits toxiques dans leurs assiettes), c’est d’ailleurs une situation deja assez proche de la réalité; Triste chose de se dire que de nos jours, les gens pensent avant tout à gagner de l’argent (qui ne vaut rien par « essence »), plutot qu’à faire une vraie activité, qui reste independante aussi, honnete et utile; De plus je trouve qu’utiliser, ou plutot « galvauser-usurper » le terme Nomade, pour parler de nomades-digitaux, est un peu une injure envers les vrais nomades, ceux qui marchent, voguent ou chevauchent les plaines, qui eux aussi disparaissent au « profit » de la rapacité de cette société moderne pechnologique »; (non je n’ai pas fait de faute au dernier mot ;)) De plus, eux se deplace(aient) par leurs propres moyens, et non à coups de cartes bancaires et de transports hyperpolluants, avions and, qui asphixient la terre et vont surement disparaitrent de toute façon, quand il ne restera plus une goutte de pétrole ; Ma réflection n’est pas une critique de ton post ou activité personnelle en particulier, mais une réflexion generale sur cette société « déconnectée » de la réalité, celle de la terre et de la vie, au profit de connexions « en ligne », cablées sur l’irréel et la vie en plastique; Mais, je reconnais que la quête d’independance, sous toutes ses formes reste bien meilleure qu’un salariat moutonnier dans un système oppresseur et liberticide; Bonne continuation en tous cas !

    1. Colère compréhensible, et légitime, lorsque l’on voit ce qu’il advient des nomades, la façon aussi dont ils sont (mal) traités; ici ou ailleurs.

      Et ce besoin quasi viscérale qu’on les « gens des villes » de vouloir à tout prix les sédentariser; avec tous les effets destructeurs qu’il y a sur leurs modes de vie, leurs traditions et cultures, et même leur santé!

      Des nomades qui, depuis des temps immémoriaux, peuplent (ou peuplaient) les grands espaces; certains se nommant eux-mêmes « les fils du vent » (dans les déserts)… Et en étaient aussi les gardiens…

      Mais que peuvent y comprendre « les gens des villes », à ce besoin de liberté? Eux qui sont captifs de leurs peurs, existentielles, et autres dictats? Dont ce « nouveau Veau d’Or » qu’est devenu l’argent, et la matérialité…

      Le terme de « nomade » vient aussi de « nomadiser »: vivre sans lieu fixe, en se déplaçant. Naguère, dans les villes de France et d’ailleurs, les clochards (actuellement SDF) aussi étaient appelé, avec mépris, « nomades ».

      Pourtant, les très estimés « Compagnons du devoir » ne sont-ils pas eux aussi, quelque part, des nomades? Au moins le temps de leur « parcours » d’apprentissage…

      Cependant, on parle également d’une « évolution des sédentaires vers des formes de vie nomade » [CRNTL]. Phénomène qui a succédé à la naissance du mouvement des néo-ruraux (retour des citadins, parfois ex-ruraux, vers les campagnes); et qui se perpétue.

      Reste à souhaiter que tous ces « nouveau nomades », ou « néo-nomades », le plus souvent issus de l’Occident, soient attentifs aux traditions et cultures qu’ils rencontrent; et aillent réellement, mais avec humilité, avec intelligence, à leur rencontre.

      Une forme aussi peut-être d’un retour aux sources: l’humanité n’avait-elle pas commencé par nomadiser (chasseurs, cueilleurs), avant de se fixer dans les campagnes, et peupler; puis dans les bourgs.

      Certains ont perdu leur liberté, parfois ancestrale. D’autres la découvre, ou redécouvre. Ainsi va l’évolution du temps, et de l’histoire des sociétés humaines.

  24. Bonjour Haydée,

    Je cherche du boulot depuis 2010, et j’ai fait beaucoup de petits jobs dans plusieurs domaines, comme le marketing, l’audit stratégique (c’est ma formation), commercial ,audit informatique (marketing), communication, etc; ça fait rire beaucoup de personnes c’est vrai.

    Hier je me suis demandé ce que je pouvais faire avec toutes ces expériences… Et ce matin j’ai décidée pour la première fois de regarder comment le faire autrement, c’est à dire, par le Net, car j’étais à bout hier.

    Et le premier site sur lequel je tombe c’est le tien, wouaouhh ! ça m’a donné envie de continuer.

    J’ai besoin d’aide pour créer un blog me rapportant assez car être une mère seule en Afrique, c’est un parcours du combattant.
    Je ne peux pas me permettre le luxe du désespoir.

    Je te le demande comme un service, j’ai besoin d’aide pour créer un blog si possible.

    Miguelle

  25. Bonjour,
    Le point 9 est intéressant, merci de le souligner. En faisant beaucoup cela en tant qu’employé (MailChimp, CRM, Google Apps etc…), je me disais que ce type de support serait vendable à mi-temps. Je vais regarder cela de plus près.
    Bonne continuation
    Fabrice

  26. Bonjour Haydée,

    Félicitations pour ton succès et la création, avec ton partenaire, de votre vie de rêves…

    Une question que je me pose et que tu connais sans doute bien : qu’en est-il du statut légal d’une personne qui génère ses revenus via internet en habitant à l’étranger ?

    Faut-il être indépendant avec un numéro de TVA et payer ses impôts dans son pays d’origine ? Peut-on, comme expat, vivre d’internet sans être déclaré comme indépendant (si on n’est pas salarié s’entend) ?

    Quid pour les transferts et circulation d’argent : avez-vous conservé vos comptes bancaires dans votre pays d’origine puis ouvrez-vous chaque fois un compte dans les nouveaux pays ?

    (Si ces dernières questions sont indiscrètes, mes excuses – peut-être as-tu des pistes/liens à me recommander pour débroussailler le terrain).

    Comme tu l’auras compris, j’en suis au point zéro… Mon rêve est simple : m’installer dans un petit village d’Asie et vivre là – mais les permis de travail y sont sésame sacrés et liés à de grosses firmes internationales, pas du tout ma tasse de thé.

    Quelques lumières à partager ?

    Cheers & plein de bonnes choses !

    1. Pour le moment, nous avons le statut d’auto-entrepreneur Eli. Je ne suis donc pas une grande spécialiste en fiscalité, vaste domaine épineux.
      Je ne génère pas encore des sommes assez importantes pour envisager d’autres solutions. Mais elles existent.

      Tes questions sous-entendent que tu veux fuir le système d’imposition confiscatoire français qui empêche d’entreprendre sereinement et t’installer à l’étranger. Je ne te blâme pas, mais c’est assez long à mettre en place. Car on ne parle plus ici de simple optimisation fiscale, mais d’expatriation personnelle et entrepreneuriale. Deux problèmes qui ne se règlent pas toujours ensemble dans le même pays.

      Problème 1 :
      Le Visa. Tu peux faire des « visas run » toute ta vie ou trouver des solutions alternatives telles que le « visa Thaïlande Élite » valable 5 ans, mais ayant un coût non négligeable. C’est le problème majeur à régler avant le reste.

      Problème 2 :
      La résidence fiscale de ton entreprise. Créer une entreprise avec une optimisation fiscale totale. C’est le principe des entreprises offshore domiciliées dans les paradis fiscaux. Il y en a beaucoup, mais les plus avantageux aujourd’hui sont Hong Kong et Dubaï, car ils ne sont pas considérés comme tels. Donc zéro impôts sur ta société.

      Problème 3 :
      Ta résidence fiscale personnelle. La partie la plus pointue. Tu dois créer un écran de fumée vis-à-vis de ton pays d’accueil pour lui filer un bout de gras à manger pour tes impôts sur le revenu. Cela doit rester contrôlé et acceptable par rapport à ce que tu aurais dû payer en France.

      Renseigne-toi davantage sur « la méthode des 5 drapeaux » (five flags). Vois sur le Net, il y a beaucoup d’infos concernant cette technique.

      Si tu penses ne pas générer assez de revenus pour tout cela, garde ton statut français et ne déclare pas tout en espérant ne jamais te taper de redressement fiscal. C’est un risque. ;)

      Problème de la banque :
      Pour le moment nous avons opté pour une banque en ligne française. Lis cet article sur les banques qui t’aiguillera énormément dans le choix de ta banque. Pour notre part c’est le compte « Nickel ».

      Vu que nous déménageons tous les 6 mois dans un pays différent, nous n’allons pas ouvrir de compte en banque local à chaque fois. Mais à ton niveau, il sera évidemment important d’avoir aussi un compte en banque dans le pays où tu t’installeras.

      Enfin, pour payer moins cher nos transferts à l’international, nous utilisons l’outil Transfertwise (Paypal te vole avec ses commissions). Télécharge notre PDF : les 12 outils pour un business en ligne productif, nous en parlons dedans.

      Tout ce que je te propose ici ne sont que des pistes. Maintenant à toi d’approfondir et de choisir le plus adapté à tes besoins.

    2. Hello Haydée,

      Mes excuses pour la réaction tardive – j’ai été aspirée par plusieurs tâches et ne reviens par ici que maintenant.

      Un grand merci à toi pour ces précieux éléments… !

      Je ne pense en effet pas générer de revenus très importants, néanmoins je me renseignerai sur la « méthode des 5 drapeaux ». Je dois vraiment tirer au clair ces histoires de fiscalité, auxquelles je n’entends (et ne goûte) pas grand-chose.

      Je m’interroge surtout sur la zone grise *légale* que constitue le travail par Internet, spécifiquement lorsque l’on est expat. Et sur la résidence fiscale d’une entreprise existant sur le Net… Je ne compte pas domicilier ma petite société dans un paradis fiscal, et comme je résiderai dans le pays d’accueil plus de la moitié de l’année en principe, je pense que ma résidence fiscale sera d’office là-bas.

      Ehm, comme je disais, tout cela est encore à tirer au clair. ^_^

      Pour la banque, en effet je devrai ouvrir un compte là-bas. Je lirai avec intérêt l’article que tu me recommandes.

      Merci pour l’info sur Transfertwise ! J’ignorais que Paypal pratiquait des commissions excessives. Je vais me renseigner plus avant, et lire votre PDF. ;-)

      Pour ce qui est du Visa, je cherche à éviter les « run ad vitam » – trop coûteux, tant financièrement que nerveusement, en tout cas pour moi. Dans un tout premier temps, je devrai mettre en place un Visa renouvelable tous les 6 mois. Ensuite…

      Encore merci pour ta réponse et pour ton aide Haydée. J’ai du pain sur la planche et quelques gros chantiers devant moi :D Heureusement, je suis motivée.

      Bonne continuation à vous deux, et – toujours – plein de belles choses !

  27. Bonsoir Haydée,

    Et merci beaucoup pour cet article très intéressant.

    Je me posais juste une question: Sais-tu quel type de métier on peut faire lorsqu’on est dans le droit, et que l’on souhaite devenir nomade digital ?

    Bonne soirée !!

    1. Bonjour Vérandi,

      Peu importe le sujet, au final :

      – tu peux faire du coaching sur un thème précis autour du droit (monte un blog et créer une page « Coaching »).
      – tu peux écrire un livre (ebook) en fonction d’une demande réelle sur le marché (à toi de faire des recherches au préalable),
      – tu peux être juriste en ligne (avec ton propre site/blog d’info pour ta visibilité),
      – tu peux donner des cours (toujours niché bien entendu), en trouvant un sujet mal abordé sur le net et devenir la référence.
      – tu peux vendre des produits en affiliation (mais c’est ce qui te rapportera le moins d’argent).

      En d’autres termes, trouve une niche (un thème précis) et choisi le format dans lequel tu souhaites le transmettre. Et si tu souhaites être nomade digital, ton produit/service, devra forcément être virtuel.

      J’espère t’avoir aiguillé correctement.

  28. Salut Haydée,
    Je réside au Cameroun et je recherche un emploi. Peux-tu m’en trouver chez toi ou dans un de tes sites en ligne ?
    Dis moi ce que je dois faire qui pourra me rapporter.
    Merci.

  29. Arf, je me suis fait avoir aussi avec le repartage ^^

    Bon, c’est un moindre mal, c’est un contenu ever-green, et j’avais pas eu l’occasion de le lire.

    L’article donne pleins de pistes interessantes, on peut même coupler plusieurs activités :

    Redacteur SEO- Copywriter – traducteur.

    Podcaster – blogueur – artisan du web.

    Me concernant je tente le combo :

    Blogueur – Agent de Relocation.

    Car, être nomade (digital ou non) ou expat c’est bien. Les gens aiment toujours aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs.

    Mais si on peut les aider sur place pour s’installer, cela évite du stress et de la déception parfois.

    1. L’article est même proposé sous forme de PDF maintenant dans l’article, Sylvain :)

      C’est bien comme métier « Agent de relocation », je pars vivre à Taïwan, et pour l’instant à part demander à mes hôtes Airbnb, je n’ai aucune idée de la manière dont nous allons logé, c’est un de nos petits stress (combien de temps nous allons mettre pour trouver, quel prix, etc.) car nous restons un an à Kaohsiung.

      Tu as raison, on peut tout à fait combiner plusieurs métiers, c’est d’ailleurs souvent le cas.

      En terme de métier, nous couvrons le contenu sous plusieurs formes : écrits, dessins & illustrations; et le côté technique, la créative suite (PDF, livre 3D, livre blanc etc.).

  30. Je me suis fait avoir, j’ai cru que l’article était d’aujourd’hui comme vous l’avez partagé sur Facebook. Mais ça fait toujours du bien de réviser :) Alors, déjà rentrés en France ? Pas trop dur le retour ?

    Votre blog m’inspire beaucoup en tout cas ! Je reviens de 9 mois de voyage en mode wwoofing et je compte me lancer dans la traduction pour être plus libre pour le prochain et ne pas être obligé de rentrer en France. Bon allez, je me mets au boulot. Au plaisir de vous lire !

    1. Un re-partage n’est jamais de trop Lucas :). Les réseaux sont là pour ça… pourtant je ne repartage pas assez souvent à mon goût.

      Eh non, toujours pas rentrés ! Mais figures-toi que c’est pour bientôt : dans 3 petites semaines. Et puis nous ne restons que 2 mois (tout l’été) avant de nous installer aux Philippines pour « je ne sais pas encore combien de temps… »

      9 mois de Wwoofing, la vache, c’est pas mal ça ! Tu as dû apprendre un paquet de choses.
      Bon courage pour tes projets de traduction. Quelle sera la langue traduite à propos ?

  31. Article très intéressant, comme d’habitude.

    En revanche, retomber sur un lien vers le « livre blanc » (si on peut appeler ça comme ça ?) du blog Roadcalls que j’ai acheté suite à vos conseils sur votre SUPER livre blanc (qui lui mérite amplement de s’y attarder et est en plus gratuit) me titille à nouveau de poster un commentaire.

    Je crois que je n’ai jamais dépensé de l’argent aussi inutilement qu’avec l’achat de ce livre bourré de conseils qui n’en sont franchement pas. Une vraie déception et je me retiens vraiment de parler d’arnaque. Attirer l’acheteur avec des termes aussi valorisants pour un produit aussi décevant relève pour moi du marchandage de tapis. Il y a tellement mieux gratuitement sur la toile alors quand on demande 10 $ (dans mes souvenirs) pour du contenu, on a plutôt intérêt à offrir du haut niveau de qualité non ?

    Je comprends bien l’intérêt financier de partager ce livre blanc sur Travel Plugin, mais pourquoi avoir choisi de vous affilier avec ce blogueur ? Vu le travail de qualité que vous abattez sur Travel Plugin je trouve cela vraiment dommage de vous lier à un partenaire qui pourrait avoir une répercussion négative sur votre image. À moins que je sois la seule (sincèrement ? j’ai du mal à y croire) à trouver ce livre blanc complètement à côté de la plaque.

    1. Ah…

      Je suis vraiment désolée que tu aies trouvé le livre de Roadcalls si mauvais de ton côté Camille. Sans être aussi catégorique que toi, je me sens malgré tout obligée d’acquiescer à certaines de tes remarques concernant notre choix dans ce partenariat avec lui.

      Celui-ci date de 2013 lorsque nous étions encore bien jeunes dans le milieu. À l’époque ce livre collait davantage avec notre ligne éditoriale et nous n’étions pas aussi critiques quant au contenu de tels livres.

      Alors effectivement, si quelqu’un comme toi trouve que cette affiliation peut avoir des répercussions négatives sur notre image, je pense que d’autres, aussi avisés, se feront la même remarque.

      Et comme mon souci principal est de garder une qualité exemplaire sur mon blog, je retire donc ce lien de l’article comme je l’ai déjà fait d’autres billets précédemment.

      Merci pour ta franchise.

  32. 11 types de Business intéressant et certes rentables ! Mais bon, je suis tout de même un peu déçu. « Rho, pourquoi » vas-tu me dire ? Tout simplement parce qu’en cliquant sur cet article, je m’attendais plutôt à une liste de thématiques de blogs, ou d’idées sur lesquelles construire un site internet ;)

    Tout simplement parce que je suis actuellement en train de réfléchir au thème du prochain site internet que je vais ouvrir.

    Mais ça reste un plaisir de te lire ! :)

    A bientôt

    1. Le titre n’était pas assez explicite, Hugo « 11 business en ligne » ?

      Beaucoup de personnes ont un business en ligne mais pas de blogs, à tort d’ailleurs puisqu’il est le meilleur support de communication actuel.

      En réalité, dans cet article (pour compléter mes dires du coup) je recommande d’accompagner chaque métier d’un blog. Je fais d’ailleurs les éloges du blog dans cet article : 51 arguments qui prouvent que tenir u blog en 2015 est obligatoire.

      Je suis curieuse de connaître ton prochain blog :)

  33. coucou à tous et à Haydée !

    Ton blog est super ! Franchement la société véhicule pas mal de propos négatifs concernant le métier en ligne comme dégradant et sans avenir surtout en auto entrepreneuriat !!! Elle vote uniquement pour les métiers comme médecin, fonctionnaire, banquier, avocat . c’est vraiment triste!

  34. Bonjour Haydée,

    Je trouve cet article très intéressant, mais je me pose des questions concernant le métier de podcaster et copywriter.

    1) Comment peut-on monétiser des podcasts? Connaîtrais-tu des exemples français (blog)?

    2) J’ai vu que le métier de copywriter était très développé aux Etats-Unis avec quelques sites phares comme copywriting.com. Mais je n’ai jamais entendu parlé de ce métier en France. Est-ce que c’est l’équivalent du rédacteur web ici?

    Connais des exemples Français (blog)? Sais-tu comment ils ont commencé?

    Merci d’avance.
    M.

    1. Salut Mary,

      Désolée pour ce retard, je finalisais l’article de demain. ;)

      La monétisation du podcast passe par une inscription payante sur i-tunes par exemple. Je t’invite à lire cet article qui détaille la monétisation du podcaster fou John Lee Dumas dont je parle dans l’article : http://www.forbes.com/sites/cherylsnappconner/2014/07/02/how-to-podcast-for-profit-2m-sales-in-year-2-with-entrepreneur-on-fire-john-dumas/

      Un autre exemple : Patt Flynn de http://www.smartpassiveincome.com qui cartonne également en ce moment.

      A vrai dire je suis la blogosphère anglosaxone, et je n’écoute que de l’anglais, sans doute parce que je suis irlandaise du côté de ma mère, c’est donc tout naturel pour moi.

      Oui en France, il existe des blogs de rédaction, par exemple :
      http://www.morganesifantus.com
      http://www.writerforever.com
      http://www.ericredaction.org

      Mais ce sont également des sites de stratégie de contenu, incluant le copywriting comme http://www.markentive.fr par exemple.
      Pour en savoir plus sur eux, il vaut mieux que tu ailles sur leur site.
      J’espère avoir répondu à tes questions.

  35. Salut Haydée,
    Si j’ai bien compris, sans m’en rendre compte je suis une « podcasteuse » ;-) Pas sûre que ça rapporte un jour de quoi faire vivre le foyer mais ça nous fait bien rire pour le moment… Ce qui est déjà pas mal !
    Merci pour cet article, j’adore ta façon d’écrire.
    En ce moment, avec la reprise du boulot, les stats du blog s’en ressentent : comme tu dis, tout ça prend beaucoup de temps…Mais si on arrive à passer du statut « amateur » à « professionnel », c’est la vie de rêve ! Au boulot ! (mais devant une bière ;-) )

    1. Merci Julie,

      Pour cela il faut de l’entraînement alors peut-être que tu n’es pas encore au stade de gagner de l’argent par ce biais. :)
      Ah oui blogueur pro c’est un vrai métier ! Ce n’est pas pour rien que nous sommes 2 à pleins temps maintenant. Mais tout comme toi beaucoup de changements et de déménagement ont fait que nous avons un peu abandonné le blog depuis 3 semaines, mais ça y est nous sommes enfin installés pour quelques mois en Bulgarie dans la campagne, près de Sofia, dans une petite maison où l’on va pouvoir enfin dépoter !
      Bon courage à toi pour la suite, je te souhaite de passer au stade professionnel rapidement, il va falloir bloguer au bureau :p !

  36. En tant que professionnel qui propose des vol en montgolfières, je savoure comme vous la possibilité de pouvoir travailler de façon nomade (gestion des planning, meilleure relation client…). Je suis basé en Ardèche et dans ma région comme en France de façon plus générique je pense, le télétravail reste encore peu développé.
    J’essaye de le développer dans mon entreprise,et les résultats même si ils sont encore précoces, semblent porter leurs fruits. Je pense qu’un temps de rodage est nécessaire. Qui sais, bientôt je pourrait peut être travailler en plein vol dans l’une de mes montgolfières ;).

    1. Bonjour Ardeche Montgolfieres,

      Merci pour votre retour d’expérience, nous en avons bien besoin en France. Les mentalités sont difficiles à changer à ce niveau. Mais je ne vois pas d’autre futur à l’horizon, alors allons-y pour le rodage, et le plus vite le mieux. :)

      Si vous trouvez internet dans les airs pourquoi pas travailler en plein vol !

  37. Salut Haydée,

    Tu as raison les entreprises françaises sont un peu à la traîne en ce qui concerne le télétravail, ce n’est pas du tout dans les mœurs. Le grand Groupe dans lequel je travaille vient juste de mettre en place le télétravail (1 jour par semaine) pour une de ses filiales et encore c’est un test d’un an. Les gens ont été très réceptifs, une grande majorité a voulu participer.

    Enfin, c’est déjà un début. Changer le façon de travailler des gens n’est pas chose facile.

    A bientôt,

    Nadège

    1. En effet, bonne nouvelle !
      Et si en plus les gens ont adhéré de suite c’est qu’il y a un véritable changement des mentalités en ce moment à ce sujet.
      En espérant maintenant que les autres entreprises suivent l’exemple.

  38. Salut Haydée,

    Je profite de mes vacances pour venir faire un tour sur ton blog que je n’avais pas visité depuis un moment (shame on me). Je trouve vraiment tes articles tops. Celui ci donne un panorama assez intéressant du business online et j’aime bien l’idée des trois critères à chaque fois.

    Ca va surement redonner pas mal d’espoir aux gens qui en ont marre de leur vie « planplan » et qui rêvent de travailler en ligne !

    A bientôt,

    Nadège

    1. Salut Nadège,

      C’est l’avenir de toute façon. Enfin, c’est même déjà le présent ! Il faut en parler pour remuer un peu les foules.

      Sais-tu que les français sont très en retard si l’on parle de travail en ligne, de télétravail ?
      Je me demande d’ailleurs pourquoi nous sommes toujours loin derrière les pays anglosaxons malgré notre pays soi-disant moderne.

      En tout cas merci pour les compliments, c’est très sympa ! J’espère que tu profites bien de tes vacances.

    1. J’aurai du ?

      En effet il y a pleins d’autres métiers que l’on peut faire de partout dans le monde. Ici c’est n’est qu’un avant goût.

      D’ailleurs parmi ceux cités ci-dessus, il y en a un que je vais bientôt mettre en place, mais je ne pouvais pas tout mettre.
      Les commentaires sont fait pour ça. Merci alors d’avoir rajouté ces 2 là Mat.

      Une autre liste verra bientôt le jour comme je le mentionne dans l’article.

  39. Une bonne liste de boulots possible !

    Mais une chose est sure ! L’investissement au niveau temps et surtout l’apprentissage représente une part énorme de travail.

    Peu de gens s’en rendent compte quand on dit que l’on tient un blog. 5 minutes une fois par semaine, c’est le temps qu’ils pensent que je passe dessus :)

    Très loin de la réalité

    1. Tu m’étonnes Manu.
      Lorsque je débutais, nombreux sont ceux qui aimaient blaguer sur ma nouvelle activité, en montrant bien que ce n’était pas bien sérieux. Alors que je bossais comme un bœuf !

      Bref, le temps et les mentalités changent, et j’ai bien l’impression que les gens réalisent de plus en plus la palette de connaissances et le temps qu’il faut y consacrer.

      Bon allez, je me remet à mes 5 min de boulot ;)

  40. Salut Haydée et merci pour la mention. Cette photo « kalaganesque » me fera toujours sourire.

    Pour compléter ton article, voici une liste publiée sur le site de Corinne (Vie Nomade), traduction d’un article de 2009 de Corbette Barr, nomade digital américain avec l’heure. Il a sondé 94 nomades digitaux et a recensé les métiers qu’ils exerçaient : http://www.vie-nomade.com/2009/activites-professionnelles/

    Tu verras qu’il est possible de gagner sa liberté géographique dans beaucoup de domaines.

    PS : tu me mets la pression pour la nouvelle version de Kalagan.fr, c’est bien ! J’espère que ce sera prêt pour octobre, car en ce moment, je suis en vacances :)

    1. J’y ai pensé en l’écrivant Kalagan, en espérant que je ne m’avançais pas trop au sujet de ton site.

      L’article de Corinne est plus que bienvenue ici, il montre que ce phénomène est loin d’être nouveau puisqu’il a été écrit il y a quelques années. Je m’en inspirerai du coup pour mon 2ème article où je listerai des jobs en ligne plus insolites.

      Je cite ici une phrase de Corinne qui prouve que la technologie d’aujourd’hui nous permet d’adapter un style de vie nomade à nos métiers existants :

      « Internet est à mon sens à considérer comme une extension à la plupart des métiers de service traditionnels: il permet de toucher n’importe qui, n’importe où, à partir de n’importe quel endroit.« 

  41. Bonsoir Haydée,

    J’ai lu attentivement vos conseils. Je suis fascinée par tout ce que vous savez.
    Je crois que je vais reprendre à tête reposée tous vos conseils.
    Je me dis qu’à mon âge, je peux encore me lancer un nouveau défi. Lequel, je ne sais pas mais il suffit de chercher.
    Je trouve cela génial toutes ces possibilités offertes aux jeunes et à mon avis cela va encore évoluer.
    Bon courage à vous et à bientôt

    1. Bonjour Monique,

      Les avancées technologiques n’ont pas fini de nous surprendre. Il va falloir s’adapter ! Et vite.

      Cela me fait penser à un article que j’avais écris il y a quelques mois au sujet du « futur du blogging » :
      http://www.webmarketing-com.com/2014/02/27/22304-le-futur-du-blogging que je vous invite tous à lire.

      Ces « 7 orientations du blogging en 2020 » aborde les monétisations probables, les supports futuristes, l’évolution des mentalités, et j’en passe. Bref, un article qui peut nous aider à y voir plus clair sur cette évolution que tu évoques.

  42. C’est pas mal en 2 ans d’en être arrivé là je trouve étant donné la concurrence dans le secteur du blogging. Bonne continuation, ps: je suis passé ici à la suite de ton message sur G+

    1. Bonjour Weboost,

      Si le blog a décollé assez vite, c’est certainement du à l’angle choisi.

      Lorsque je l’ai lancé il y a deux ans, j’ai noté que la blogosphère voyage souffrait d’un manque de compétences informatiques, il était donc de mon devoir d’aider les voyageurs à faire un blog de qualité tout en leur expliquant avec des mots adaptés à leur niveau.

      Le blog était donc orienté « blogging voyage » au départ, il était donc plus niché que le sujet plus classique du « blogging » en général.

      Aujourd’hui je me suis ré-orientée. Et je niche encore plus. C’est une des clés du succès du blogging d’aujourd’hui.

      Le blog prend la tournure du « nomadisme digital », c’est à dire « comment monter son entreprise en ligne et l’emmener avec soi ». C’est un thème encore assez peu abordé sur la toile française, et je souhaite aujourd’hui de par mes expériences en faire part à tous ces gens qui souhaitent faire la même chose que moi.

      Je suis actuellement à Budapest, et dans 5 mois environ je pars vivre à Sofia. Puis en Juin 2015 je reviens à Paris, dans l’espoir de repartir à nouveau avec mes business en ligne vers d’autres contrés.

      A bientôt, et merci d’être passé par ici. :)

  43. Merci pour ton article mais le titre fait vraiment marketing vendeur de rêves.
    « business en ligne pour travailler de n’importe où dans le monde dès aujourd’hui »
    Comme si dès aujourd’hui chacun pouvait acquérir les compétences pour travailler en ligne et ganger sa vie dès la fin de la journée.
    On parle de business plutôt que de métier, ça fait plus dynamique. C’est plus accrocheur pour le salarié qui se dit marre de bosser pour un patron, je veux monter « un business » (sa suggère plus l’argent et réussite que travail ou métier?)
    C’est sure le titre fait rêver mais la réalité est bien différente.
    On dirait que sous prétexte qu’on travaille en ligne, ils n’y a plus besoin de réelles compétences, ou de formation, ni de faire d’études puisqu’on travaille en ligne.
    On s’improvise expert dans un domaine, ou même plusieurs puis on conseil à son tour les autres pour qu’ils fassent de même.
    En gros j’apprends à faire un quiche sur internet et demain je propose ma recette de quiche en ligne!?
    Je ne dis pas que les solutions dont tu parles ne sont pas réalisable, au contraire tes solutions sont réalistes et viable en voyage.
    Pourtant avec ce titre comme accroches, ça donne des airs de prêches raeliennes dans un camps de nudiste. :)

    1. Sans marketing, pas de lecteurs Yves. Ce sera donc la première leçon à retenir ici puisque tu as cliqué.

      Vendeur de rêves et pourtant mon article ne vend rien. Je ne fais qu’orienter les futurs entrepreneurs avec mes écrits gratuits.

      Pour arriver à ses fins il faut s’y mettre « dès aujourd’hui », mais si tu souhaites focaliser sur ce mot pour en tirer tes propres conclusions c’est ton choix.

      Croyais-tu que tu allais devenir riche rien qu’en lisant mon article ? Peut-être est-ce simplement ton « toi » crédule qui cherche des billets du genre.

      Mais dans ce cas, je te conseille d’éviter la lecture en diagonale. Car j’explique bien tout le long les difficultés inhérentes à ce mode de vie. Mais peut-être n’ai-je pas su être assez explicite.

      J’espère malgré tout t’avoir donné de bons tuyaux.

      Bon courage à toi pour la suite.

    2. Bonjour Wil,

      Si vous avez vu une (ou plusieurs) faute, je vous serai reconnaissante de me dire lesquelles.
      L’erreur est humaine, soyez généreux et aidez moi un peu :)

  44. Encore un article de belle facture , très clair et inspirant :)

    J’ai téléchargé l’excellent ebook que vous avez rédigé et que offrez aimablement sur votre blog : je m’en suis inspiré pour commencer mon aventure de blogger amateur sur le thème du voyage ^^

    Vous pouvez constater le 1er résultat sur http://www.comment-preparer-son-voyage.fr

    A bientôt !

    1. Bien joué Zenkhan pour ton site que je viens de parcourir. :)

      Mon guide sert et j’en suis bien contente.

      J’écrirai une autre liste d’idées de business à créer en ligne et/ou à l’étranger.

      L’élargir ne serait pas de trop, car il y a encore beaucoup à faire sur la toile.

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