13 Choses que j’ai Foirées avec mon Business en 2015

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Quelle vanité !

Voilà ma première pensée en finissant l’article d’une blogueuse.

S’enlisant dans un torrent de complaisance, elle se « surkiffe » la bougresse :

« Et moi je fais des choses incroyables… »

« Et moi je rencontre des gens formidables… »

« Et moi je vous montre des trucs fabuleux… »

Haydee_Tony_Nous_sommes_des_merdes

Ce n’est pas dit, mais à la lecture c’est implicite.

Et son article n’apporte rien si ce n’est une liste exaspérante de m’as-tu-vu.

À cette pensée, une incertitude m’envahit :

Et si vous ressentiez parfois cela avec moi ?

Nooooon ! Je ne veux pas !

Et je tiens à m’en excuser si ce fut le cas.

Mon seul souci est de vous faire avancer dans votre réussite entrepreneuriale.

Du coup, cette angoisse m’a donné une idée : écrire tout l’inverse en vous montrant comment j’ai foiré.

Et cette année, j’ai un peu morflé.

13 erreurs avec un business en ligne… Oui, oui.

Attention, je ne cherche pas à faire cela par auto dépréciation.

C’est une façon pour moi d’évaluer honnêtement ce que je dois améliorer en 2016. Et de vous apporter des solutions concrètes aux problèmes que vous rencontrerez sûrement avec votre entreprise.

Ces 13 foirades sont classées par ordre décroissant, comme un « Top Ten » sportif.

Gardons le pire pour la fin. ;)

13. Ne pas m’être débranchée plus souvent

À quand l’internet directement connecté au cerveau ?

Ghost_in_the_shell_Clavier_virtuel
Et hop ! Un petit clavier virtuel pour répondre entre deux plats

Ce serait plus pratique pour sortir. Je pourrais consulter mes mails au resto…

Articles, courriels, formations, boulots pour les clients et mise en place de mes business m’ont amené à rester parfois la tête dans le guidon.

Trop de projets en cours, une volonté farouche d’avancer et vous oubliez par moments de faire des choses pour votre compte personnel.

L’intérêt de travailler dans d’autres pays, c’est aussi de visiter autre chose que son bureau.

Ne focalisez pas à outrance sur le boulot, vous éviterez burnout et panne d’inspiration.

Solution :

Continuez à pratiquer vos passions ou des activités annexes.

Imposez-vous des temps de travail limités et des journées « off » pour vos loisirs.

Maintenant, je sors tous les week-ends.

Sans parler de mes sorties régulières pour découvrir mon quartier, profiter des courses pour explorer les marchés asiatiques…

Ravitaillement_en_eau_a_Taiwan
…et me ravitailler en eau à la pompe

12. Mon manque de prévoyance face à notre changement de vie

Le deal – Un an à monter nos business dans les pays de l’Est pour 2 résultats possibles :

1.     La réussite : retour à Paris le temps de lâcher appartement et ancienne vie pour repartir.

2.     L’échec : retour à Paris la queue entre les jambes pour nous renflouer.

Objectif atteint !

Euphoriques, nous voilà partis pour vendre toutes nos possessions et couper les ponts des administrations pour l’expatriation définitive.

Tout ce qui est sur la photo est à vendre… Sauf mon mec.
Tout ce qui est sur la photo est à vendre… Sauf mon mec.

Mais, essayez donc d’effacer une vie entière.

C’est un boulot de titan !

Et les institutions ne vous lâchent pas comme ça… 3 mois de bataille intense à ne plus savoir où donner de la tête.

Et plus de 3 mois sans publier sur le blog faute de planification à l’avance.

Le calme plat là où j’aurais dû maintenir mon audience en alerte avec des publications régulières.

Résultat : Une baisse significative de nos visites sur le site (de 40K à moins de 30K visites par mois) et un engagement décroissant.

Heureusement que j’ai continué à communiquer sur les réseaux sociaux.

Solution :

Prévoyez quelques articles. Surtout quand vous savez que les vacances arrivent (ou votre déménagement…).

Utilisez des outils comme Buffer pour planifier les partages de vos réseaux sur plusieurs jours.

Bref, anticipez en gardant toujours un peu de contenu d’urgence dans votre escarcelle.

11. Pas de webinaires ni de vidéos

Plus le temps passe, plus le rôle de la vidéo est énorme dans la promotion des blogs et des entreprises.

Des chiffres ?

  • 85 % des sites du top 20 des plus visités au monde utilisent la vidéo comme moyen de communication.
  • Une page avec vidéo a 50 fois plus de chance d’apparaître en tête des moteurs de recherches qu’une page sans vidéo.
  • Sur Facebook, 70 % des publications avec vidéo obtiennent de l’engagement pour seulement 30 % des contenus sans vidéo.

Et pourtant cette année, ma production personnelle dans ce domaine est de…zéro.

La vidéo révolutionne l’apprentissage en ligne.

J’ai investi dans deux de ces nouvelles formations en 2015. (Ah… C’est peut-être pour cela que je n’ai pas eu le temps d’en faire moi-même.)

  • Une personne retient 30 % de ce qu’elle voit contre 70 % de ce qu’elle voit ET entend.

Les webinaires, tout le monde en parle ! Ou parle d’en faire… Vous savez, ce sont ces conférences en ligne collaboratives.

Mike Filsaime, figure de proue de « Webinar Jam » en pleine action.
Mike Filsaime, figure de proue de « Webinar Jam » en pleine action.

L’outil à la mode incontournable. Le champion du gain de temps, de l’augmentation de trafic et de la conversion.

Je m’étais promis de m’y mettre également. Résultat…zéro.

Solution :

Bon, là pas de secret : une bonne caméra, un trépied, une idée qui déchire et un script digne de ce nom.

Tout cela est déjà prêt dans mes tiroirs mais d’autres priorités ont monopolisé mon temps cette année. 2016 sera l’opportunité pour les rouvrir.

D’autant plus que nous avons déjà fait quelques incursions sympathiques dans la vidéo et possédons toutes les compétences requises en montage pour les réaliser.

Pensez à vous former sur Adobe Premiere ou Final Cut Pro.

10. Pas assez de communication « intelligente » sur Facebook

J’ai souvent mésestimé Facebook, arguant que ce réseau était réservé à la vieille génération et regroupait un paquet de décérébrés (sauf mes lecteurs bien sûr).

C’est un peu comme le TF1 du Net.

Sauf que Facebook c’est près de 1,5 milliard d’utilisateurs en 2015 !

Et c’est ma deuxième source de trafic après Google Organic. Alors promis, j’arrête de m’en plaindre.

Le problème c’est que je n’y ai jamais fait de promotion digne de ce nom.

Certes, il m’est arrivé de mettre en avant certaines publications moyennant quelques euros. Mais quel intérêt de promouvoir un article inutile qui ne me fera gagner aucune inscription ni faire de conversion ?

Jamais de faux « Like » par contre. Tous justes bons à faire mousser son égo.

Solution :

Il est temps de prendre Facebook plus au sérieux.

Il a assez dormi comme ça
Il a assez dormi comme ça

Et comme je ne peux pas être sur tous les fronts, je compte déléguer mes campagnes de remarketing Facebook à des professionnels (en espérant qu’ils le soient !).

Je détermine mes objectifs avec eux :

  • Collecter des prospects
  • Faire décoller mes ventes
  • Maximiser les profits

Ils analysent mon site, mes audiences et mes concurrents pour déterminer la meilleure stratégie de campagne possible.

9. Pas assez de cohérence au niveau de ma marque

Ceux qui me suivent depuis quelques années ont sûrement remarqué les changements de lignes éditoriales que le blog a subi.

Je suis passée de :

  • Blogging professionnel à…
  • Nomade digital à…
  • Entrepreneur en ligne

J’ai longtemps gardé mon premier livre : « Voyageur et pourquoi pas blogueur » en cadeau d’inscription à ma newsletter.

Pas vraiment ciblé « nomade digital » ni « entrepreneuriat » tout ça.

Puis, je me suis aperçue que nomade numérique était une niche encore bien trop petite. La majorité des français ne veulent pas tout lâcher pour travailler sur la route.

Clochard_Digital

Par contre, ils sont prêts à entreprendre en ligne pour devenir indépendants et regagner une part de liberté.

Bref, tous ces changements radicaux ont amené leur lot d’incohérence autour de la marque Travelplugin.

Solution :

C’est en investissant dans Leadpages courant 2015 que j’ai redonné à ma marque toute sa cohérence. Ainsi, j’ai :

  • Changé le slogan de mon blog et repensé tous mes futurs articles
  • Refait un « À propos » parfaitement adapté à ma ligne éditoriale
  • Réorganisé menu et catégories en les focalisant sur les pages importantes
  • Remplacé le livre par une série de PDF axés entreprise en ligne
PDF_entrepreneur_en_ligne_Travelplugin

Vous voulez rester cohérents avec votre marque ?

Choisissez bien votre niche et calquez fidèlement votre ligne éditoriale dessus.

Ne vous éparpillez surtout pas : si vous nichez jardinage pour ensuite vendre le livre de votre pote axé immobilier, vous aurez tout faux.

8. Ne pas avoir amélioré plus tôt l’optimisation de mon site

Ce n’est pas faute de l’avoir soigné en terme d’ergonomie.

J’ai même WP Touch Pro pour le rendre responsive sur mobile. Malheureusement, il entre en conflit avec mes plugins de sécurité.

J’ai envoyé plusieurs tickets à l’équipe WP Touch, sans résultat. À force, je me dis qu’ils devraient peut-être reconsidérer leur appellation « Pro ».

Les plugins sont d’ailleurs ma première petite erreur d’optimisation : j’en ai trop !

Pas plus de 15 plugins sur ton interface WordPress Haydée.

Mais j’ai du mal à m’en détacher. Il m’en reste 19…

Ma plus grosse boulette reste la vitesse de mon blog.

Travelplugin est hébergée par une petite structure appartenant à un ami allemand qui vit en Bulgarie.

Devant la maison de l’hébergeur de mon blog
Devant la maison de l’hébergeur de mon blog

Son serveur est bon et il a toujours été très compétent. Mais j’ai besoin d’améliorer considérablement ma vitesse.

Car c’est une chose qui ne pardonne pas :

88% des internautes français ne reviennent pas sur un site jugé trop lent.

Au-delà des 3 secondes vous êtes foutu et si vous voulez plaire à Google, vous devrez passer en dessous des 1,5.

Solution :

  • Migrer chez un autre hébergeur. Que pensez-vous de celui-ci ? Car la liste est tellement longue qu’il y a de quoi s’y perdre… Un avis ?
  • Sacrifier quelques plugins sur l’autel de l’optimisation.

Dans tous les cas, ne lésinez pas sur vos efforts pour optimiser votre site. C’est un point crucial de l’augmentation de votre trafic.

7. Avoir fait trop de pays en un an

6 pays et 14 logements différents ! Ce sont :

  • Des recherches d’appart Airbnb avant l’arrivée
  • Des visites avec agences de location et particuliers histoire de moins casquer
  • Une phase d’acclimatation le temps de prendre nos marques
  • Et l’apprentissage des rudiments de la langue pour éviter de nous faire enfler
Pays_habitation_Haydee_sur_un_an

Quelle idée d’avoir déménagé si souvent.

Et je le trouve où le temps pour travailler ?

J’avais pourtant imaginé que ce serait gérable…

Peut-être bien ma poule, mais pas au début de la construction de ton biz !

Et c’est sans compter sur toutes les galères que nous avons rencontrées…

Solution :

Cette année, je suis moins gourmande. 6 mois à Taïwan pour seulement 2 appartements.

Ah oui ! Avec un petit crochet d’une semaine au Japon pour le « visa run ». J’en reviens tout juste !

6. Pas assez de cas concrets

Je vous l’avais pourtant promis au mois de janvier.

Mettre en avant des personnes qui font des choses extraordinaires grâce à leur activité est le moyen le plus cool de vous booster.

Quoi de mieux que la preuve par l’exemple ?

A ce niveau-là en 2015, j’en ai… 1.

Bon, il y a bien ce billet sur ces 42 entrepreneurs en ligne pour vous inspirer.

Mais cela ne vous donne pas l’occasion de vivre le parcours particulier de l’un d’eux le temps d’un article. Condition idéale pour vous identifier et vous donner la fièvre entrepreneuriale.

Solution :

Je me suis bougé les fesses en contactant un max de personnes.

Et j’ai déjà 3 travailleurs en ligne de renom prêts à vous faire part de leur précieuse expérience.

Je distillerai leur histoire sur le blog d’ici les deux mois à venir. Et si vous appréciez, nous maintiendrons ce rythme.

5. Mon choix calamiteux des gens à qui j’ai délégué du boulot

Et sur ce coup-là, j’ai déconné deux fois.

Bourde n°1 :

J’ai embauché un Serbe sur Elance pour créer notre ebook « Fini les business pénibles » aux formats PDF et EPUB.

Il n’était pas cher et m’assurait maîtriser le boulot. D’autant plus que notre maquette était parfaite et ne souffrait d’aucune sorte de création.

Résultat : Une multitude d’allers – retours de révision pour une grosse semaine de perdue.

Il ne comprenait rien à mes directives et la barrière de la langue n’a pas arrangé le tableau.

Excédée, j’ai décidé de me faire rembourser par Elance. Et Tony s’est formé sur Indesign pour recommencer le boulot.

Tony_saoule_de_refaire_le_boulot

Je sais Tony. Tu as plus important à faire que de la technique sur Adobe…

Bourde n°2 :

J’ai donc décidé de déléguer nos PDF et EPUB gratuits à un ami spécialiste d’Indesign afin de nous dégager du temps.

Résultat : Autant d’allers – retours de révision que notre Serbe et une nouvelle semaine de perdue.

Il parlait pourtant bien français lui… Mais il lui manquait l’esprit professionnel capable de nous soulager avec efficacité.

Au lieu de cela, il aura profité de nos nombreux feedbacks détaillés pour se former à la conception des EPUB pendant notre collaboration.

Solution :

Tony s’est résigné à garder ce boulot. L’avantage c’est qu’il fait le PDF et son EPUB en moins d’une heure maintenant.

Choisissez soigneusement ceux à qui vous déléguez.

  • Payez un mec des cacahuètes et vous aurez une chance sur deux d’avoir de la merde.
  • Embauchez un ami sans le tester et vous avez une chance sur deux de perdre votre temps…
    …Voire son amitié s’il n’accepte pas vos critiques.

4. Ne pas avoir investi plus tôt dans des formations solides

Bien sûr, j’ai trouvé de tonnes d’infos utiles en fouinant sur internet ces dernières années.

Ainsi, je me suis formée seule au blogging avec succès pour enchaîner sur le webmarketing.

Mais arrivée à un certain niveau :

  • Les informations se font plus rares
  • Et les méthodes complètes pour gagner de l’argent farouchement gardées.

J’ai persisté à rassembler les bouts de gras balancés gratuitement de-ci de-là par les meilleurs, pensant que mon bon sens et mon expérience feraient le reste.

Grave erreur...
Grave erreur…

Ce fut une perte de temps terrible et des choix stratégiques catastrophiques.

Solution :

Investissez dans des formations ! Autant que vous le pouvez.

Dans notre économie actuelle, il vaut mieux investir sur vous-même pour développer votre compétitivité plutôt que de garder de l’argent sur un Livret A qui ne rapporte plus rien.

Depuis juillet 2015, j’ai investi dans pas moins de 3 formations pour un montant total de 2 700 €.

La qualité coûte cher mais nous ne regrettons rien. Bien au contraire.

3. Le mauvais lancement de mon service Chèvre Chaud

Voilà l’une des conséquences de mon manque de formation.

Fière d’avoir monté mon premier business et pleine d’entrain pour monétiser mes compétences, j’ai très vite déchanté.

Mais où sont les clients ?

Chèvre_etonnee

Nulle part. Et c’est bien normal quand je constate mes erreurs :

  • Une mauvaise stratégie emailing de lancement
  • Une communication inexistante sans aucun article invité
  • Sans parler de la perte de temps considérable à créer le guide Chèvre Chaud

Difficile de faire pire…

Solution :

Apprenez à communiquer sur le net. Et surtout à vous faire connaître.

De nombreuses méthodes existent. Et pour vous en faire profiter, voici notre guide complet pour développer votre business en freelance.

Une mine d’informations accompagnées de cas concrets à ne pas manquer et surtout à mettre en pratique.

2. Avoir monté un business sans jamais le lancer

Je disais : difficile de faire pire ? Faux…

Je vous parle souvent de l’importance de la page « À Propos » de votre site internet.

Et bien, sachez que nous avons préparé tout ce qu’il faut pour en faire un business finalisé.

  • Nom de domaine acheté
  • Contenu du site déjà bouclé
  • Guide gratuit achevé
  • Page de vente opé
  • Trois articles invités
  • Script vidéo préparé
  • Et quelques recommandations

Nous l’avons même annoncé plusieurs fois… sans avoir validé l’idée.

Mais au final, nous ne l’avons jamais lancé. La honte.

Voilà un bête coup de cœur qui nous aura coûté bonbon.

Solution :

Pas de solution cette fois-ci. Ce qui est fait est fait. Notre seule consolation sera de reprendre toute cette matière pour l’utiliser un jour.

L’avantage c’est que nous savons comment faire un lancement digne de ce nom à présent ! (A quel prix)

Sans validation, votre idée de business ne vaut pas tripette. Alors, ne perdez votre temps à le créer avant.

1. Ne pas avoir assez converti mes lecteurs en abonnés plus tôt

J’avoue que cette erreur ne date pas de 2015. Mais je n’y ai remédié qu’en juin. Cela fait pourtant des années que je lis de la part des meilleurs :

Ta liste est la base de ton business.

L’argent est dans ta liste.

Ok messieurs les gourous, j’entends bien.

J’ai même proposé un ebook gratuit de qualité contre l’inscription à ma newsletter. Et ce dès le début de la création de mon blog.

Que vous faut-il de plus ?

Solution :

J’ai multiplié les moyens de convertir mes lecteurs en investissant dans ce fameux logiciel appelé Leadpages.

C’est grâce à lui que je propose des pop-up comme celle-ci :

Screenshot_Pop_up_leadpage

Et des pages de conversion permettant aux lecteurs de passage de récupérer mes PDF gratuits contre leur mail.

Comme la page d’accueil de mon blog : (au passage, cliquez sur l’image pour récupérer le cours)

Encore de l’argent dépensé me direz-vous. Certes, mais ce n’est pas un hasard si aujourd’hui j’ai plus de 5 000 abonnés.

Conclusion

Oui je sais, nous sommes un peu passés pour des cons parfois cette année.

Pas toujours agréable. Mais savez-vous de quoi je me suis rendu compte ?

Que plus je fais d’erreurs avec un business en ligne, plus j’avance et plus je suis capable de déceler les erreurs des autres pour les faire avancer.

Et ça tombe bien car nous sommes en train de former actuellement un groupe d’élèves ultra motivés sur le « pilote » d’un cours en ligne sur « entrepreneuriat en ligne » actuellement en construction.

Ils profitent donc de toute l’expérience de mes dernières années.

Haydée Bouscasse

À propos de l'auteur

Formatrice | J’aide les particuliers à se lancer en indépendant puis à développer leur activité pour en vivre à temps complet -- et les freelances à se positionner, trouver des clients, vendre et décupler leur Chiffre d'Affaires.
Infopreneuse | J’implémente les stratégies inbound marketing aussi bien pour mes propres business que pour mes clients PME et solopreneurs.
Experte IA | Je fais gagner du temps (une tonne !) aux freelances et web-entrepreneurs grâce à ChatGPT et DALL-E.

Accessoirement passionnée par la langue monténégrine et accro à mon vélo.

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  1. Apres avoir analysé vite fait la vitesse de ton site je constate effectivement qu’elle peut être bien optimisé !

    Le serveur peut aider, par exemple en prenant un serveur en France (comme OVH) ou se trouve probablement la majeur partie de ton traffic, ça ameliorera déjà la vitesse

    Mais je pense que le mieux c’est de commencer par optimiser les images, mais aussi ameliorer le cache, le javascript et le CSS, il y a des plugins pour ça (oui plus de plugins, mais qui améliore la vitesse)

    et aussi deux sites de Google qui donne des conseils et un note pour ta vitesse

    https://developers.google.com/speed/pagespeed/insights/
    et https://testmysite.thinkwithgoogle.com/ qui est tout nouveau que Google vient de sortir et qui est assez bien fait !

    Enfin bon, des erreurs on en fait tous, et c’est souvent difficile d’être expert et optimal sur tout les fronts surtout sur internet … mais ça vient petit à petit tant que tu es motivée et que tu continues a faire des supers articles !

    (et puis si tu as besoin de conseils pour le SEO, moi c’est mon domaine d’expertise :p )

    1. Merci pour tous ces bons conseils Neslux.
      Je vais essayer de m’occuper de tout ça rapidement.
      Mais je vais déjà régler un plus gros problème sur mon autre site, car certaines personnes n’y ont pas accès et je n’ai pas encore trouvé la solution.

      PS : Je retiens ta proposition pour le SEO, nous pouvons en parler en privé si tu le souhaites. Ce ne sera pas pour tout de suite car je suis sur d’autres sujets en ce moment, mais je serai éventuellement intéressée.

    2. J’ai testé avec different user-agents et des VPN dans différents pays je peux avoir accès au site dans tout les cas, il faudrait que les gens qui n’ont pas accès disent ce qu’ils ont comme message d’erreur et comment ils essayent d’y avoir acces (navigateur, pays, device, …)

      On peut en discuter plus longuement par mail, envoi moi un message quand tu as le temps ;)

    3. Merci Neslux d’avoir pris la peine de regarder.
      J’ai eu le problème d’accès pendant près de 3 jours…
      Mais mon hébergeur a enfin réparé le problème.
      On se tient au courant pour la suite !

    1. Nous nous sommes installés à Kaohsiung il y a 5 mois maintenant, Bianca.

      Tu travailles également en ligne ?
      Quel est ton activité ? Rédactrice ?

  2. Coucou Haydée !

    Ravie de te revoir (je ne t’avais pas oubliée, t’inquiète :-p) avec ce superbe article !
    Je ne vais pas répéter ceux qui m’ont précédée et qui ont bien raison de t’encenser – lol – et de dire que les échecs nous forment (pas le jeu merci).

    Tous ceux qui ont réussi sont passés par des essais, des chutes, des tentatives nombreuses, mais ils ne le disent pas forcément. Merci de ton témoignage malgré tout, ça pourrait nous permettre d’éviter certaines erreurs, en effet.

    Je crois que LE point qui revient tout le temps pour tous les entrepreneurs montant leur business, c’est : comment faire venir les clients ?
    Comment faire venir les clients ?
    Ohé, y’a quelqu’un ? Pas un péquin qui s’intéresse à mon super produit de la mort qui tue ?
    J’ai pourtant essayé plusieurs choses : la bouteille à la mer, le sifflet à ultrasons, le haut-parleur, et même la sirène des pompiers, rien n’y a fait !

    Petite précision au passage pour te dire là où j’en suis : je bosse beaucoup, pour très peu de retour financier pour l’instant. Je reste axée sur les services en écriture, notamment pour les récits de vie. Étrangement, ça commence un peu à bouger par le bouche-à-oreille ou grâce au site national sur lequel je suis enregistrée. Mais je ne fais pas de pub, une vraie larve !

    Très important ce que tu dis sur le fait de valider son marché avant de lancer quoi que ce soit (ici ou sur ton dernier article d’aujourd’hui, je ne sais plus). J’y songerai au moment de mettre en pratique quelques idées que j’ai. C’est vrai, il ne faut pas mélanger les niches, pas évident.

    Leadpages, j’en entends pas mal parler depuis un ou deux ans, c’est vrai que ça en jette sur ton blog ! Ça a un certain coût, en effet.

    Merci pour tous ces super PDF très utiles :)
    Ravie de découvrir bientôt ce que vous nous avez concocté !

    1. Hey Marjorie ! Ravie de te revoir par ici et de constater que la mayonnaise prend pour tes services d’écriture (même tout doucement).
      La culture de l’échec est en effet primordiale pour un entrepreneur. Il faut savoir l’affronter plutôt que de vouloir l’éviter à tout prix car c’est lui qui nous fait avancer le plus. Voilà pourquoi je n’ai aucune gêne à parler des miens.

      Pour les clients, il s’agit davantage d’aller vers eux que de les faire venir. Tout est une question de méthode. Du coup, te confronter au marché pour valider ton idée dans un premier temps et pour démarcher ensuite les contacts que tu as pu y trouver prend tout son sens.

      Bon, sinon tu peux toujours essayer un lap dance sur un son de David Bowie pour attirer ces clients, je suis certaine que ça fera son effet… ;)

  3. Bonjour Haydee,

    Ton article est encore une fois extrêmement instructif ! Je me rends compte tous les jours comment ton point numero 13 est important pour ne pas s’user trop vite ! Pour les autres points, c’est incroyable quelle energie et temps on peut mettre dans des actions qu’on laisse finalement tomber, ne suit pas ou mal.
    Mais sinon, tu as bien raison, on apprend de ces erreurs et on s’améliore. Perso, je pense que c’est pour cela qu’on est aussi entrepreneur. On prend le risque de se tromper ou faire des erreurs. D’autres personnes ne font peut-être pas d’erreur, mais ils n’avancent pas non plus, ils ne prennent pas de risque dans leur vie quotidienne.
    Merci de partager tes « erreurs » avec nous. Je suis toujours aussi contente de te lire. J’ai hâte de voir tes prochains articles et nouveautés pour 2016 !
    Bonne année.
    Martina

    1. Salut Martina,

      J’étais très occupée le mois dernier et je vois que j’ai même oublié de te répondre.

      Pour ce qui est de l’énergie dépensée « inutilement », on va dire que c’est le métier qui rentre !

      Et rien de tel que de prendre des risques pour se sentir vivant pour finalement être fier de notre avancement… malgré les taules :)

      J’en profite pour te souhaiter une bonne année !
      Ainsi qu’à tous ceux qui sont dans le fil de discussion.

      Puisque tu me disais avoir hâte, bonne nouvelle, le prochain article sort demain avec plein de nouveautés.

  4. Merci pour ta longue réponse Haydée !

    Mon site c’est http://www.lacourdespetits.com : un blog pour les parents, nounous, instit’ et toute personne voulant occuper des enfants de manière un peu créative.
    Je me suis mal exprimée sur mes chiffres : c’est 150k/mois en ce moment (depuis octobre) car la période est propice à ce domaine d’activités. Et 50k/mois en moyenne sur l’année 2015.

    C’est clair que mon attention et ma force de travail sont trop divisées : mon blog, mon activité freelance sur 2 thèmes, un job salarié à temps partiel et des enfants en bas âge ! ;) Pour 2016 je fais des choix… allez je garde les enfants déjà lol.

    Côté freelance, j’ai déjà ton guide, merci !
    Mais j’ai du mal à me positionner parce que je m’ennuie vite à me cantonner à une seule activité (et après quelques mois de rédac web et plein d’articles lus sur le webmarketing et le SEO, je suis déjà en train de partir sur autre chose). Je sais qu’il faut un positionnement clair : une spécialité et même un type de clients. Mais ça ne me correspond pas. Ou alors c’est que je n’ai pas trouvé ma voie… (cela dit blogueuse ça me plait bien parce que je fais tout : du « webdesign », du code, de la rédac, du référencement on-page, les réseaux sociaux et, surtout, je n’ai de compte à rendre à personne !!).

    2016 sera l’année des choix (ça par contre c’est pas ma spécialité !) :)

  5. Salut Haydée,
    Ton Article est génial ! En réalité, c’est un Enseignement que tu donnes à tout Entrepreneur en Ligne; il nous tient en haleine jusqu’à la fin.
    Merci encore.

    1. C’est gentil José.
      Un enseignement que j’aurais aimé lire de mon côté il y a quelques années. D’où l’idée de faire cet article. Alors, tant mieux si le but est atteint. :)

  6. Bonjour Haydée,

    Merci pour ce bel article sincère, authentique, sans fioritures et sans faux-semblants.
    Il est vrai que nous sommes en train de faire l’expérience d’un nouveau paradigme.
    Nous sommes à mon avis, de plus en plus à privilégier ce qui représente davantage de valeur
    durable, en terme d’échanges humains, d’humanisme et de volonté de partage.

    Il y a certes encore des résistances mais pour combien de temps ?
    Les nouvelles technologies et leurs outils peuvent nous permettre un mieux vivre au quotidien si nous savons les utiliser
    avec sagesse et discernement.

    Bonne continuation et joyeuses fêtes de fin d’année.

    1. Merci Patrick.
      Il y a de grandes chances pour que la formation perpétuelle et plus spécifiquement en ligne supplante progressivement toute autre forme d’apprentissage avec les années.
      Le monde change vite, à nous de savoir en profiter.

  7. Très très intéressant ! Et oui, savoir garder les pieds sur terre et cesser de vendre du rêve aux gens qui, pour moi, est le seul moyen de les désillusionner. TOut demande du travail, de la remise en question et comme beaucoup dans tes commentaires l’ont dit : c’est en se plantant qu’on apprend MEME si on fait des formations avec de bons conseils (plus ou moins ;-)) chacun doit vivre son expérience ! Je me retrouve dans pas mal de bourdes et en ce moment je suis en train « d’aligner » ma ligne éditoriale et ce n’est pas une chose facile à faire car on a des années d’expérience dans un domaine, on se retrouve avec beaucoup de cordes à son arc : faire le ciblage demande de lâcher des parties de notre expérience qu’on adore !!!

    1. En fait, c’est à force de me planter que j’ai décidé de me lancer dans des formations solides Taty Chantal. Mais tu as raison de stipuler « formations de bons conseils » car il est important de bien choisir ce que l’on veut apprendre et qui va nous l’enseigner. :)

      Très bonne initiative de nicher davantage ta ligne éditoriale ! Et ton expérience met en avant une remarque très pertinente : faire un ciblage demande de laisser de côté certaines choses que l’on adore.
      Difficile quand on a plusieurs cordes à son arc et que l’on souhaite partager tout son savoir.
      Mais à force de vouloir tout proposer, on finit par ne plus intéresser personne. On passe pour un généraliste (et spécialiste de rien) qui ne fait que survoler divers domaines sans les approfondir vraiment.

      La solution : monter un site par spécialité. Mais c’est alors ton temps d’investissement qui est divisé par autant de domaines que tu souhaites aborder.

  8. Merci pour ton honnêteté Haydée !
    Ca fait du bien de voir qu’on n’est pas la seule à se planter et puis apprendre des erreurs des autres c’est toujours utiles.
    Ici j’ai fait 2 grosses erreurs :
    – avoir trop de projets en même temps et croire que je pourrais tout porter à bout de bras (j’ai surtout l’impression d’avoir la tête sous l’eau en permanence)
    – ne pas savoir me fixer des objectifs et me jeter à l’eau en les gardant en ligne de mire… J’ai un blog, plein de visiteurs (du genre 150k / mois en ce moment, 50k en moyenne sur l’année), plein d’abonnés (+ de 14000) et pas de produit à vendre…
    Ne trouvant pas l’idée de ce qui pourrait se vendre dans ma niche (à part un ebook à pas cher), je me suis lancée dans l’entreprenariat pour mettre mes compétences en rédac/SEO/community management au service des autres… Sauf que je ne sais pas trouver des clients (enfin peu à un tarif convenable) et que j’ai envie de faire tellement d’autres choses que je m’éparpille trop.

    Résultat : beaucoup d’investissement perso et pas la moindre idée de comment le « rentabiliser » !
    Qui dit mieux ? lol

    Sinon, par curiosité : quelles sont les formations que tu as suivies et qui t’ont été vraiment utiles ? (j’en vois passer tellement qui se veulent toutes « LA » formation pour réussir !)

    1. Témoignage intéressant Cécile.

      Pour ta première erreur, il est clair que vouloir monter plusieurs projets à la fois divise ton attention et ta force de travail. Peut-être qu’en ne gardant que le plus prometteur pour t’y investir à 100 % te sera plus bénéfique.
      C’est un peu comme quand tu montes ton business : il faut commencer petit puis développer au fur et à mesure pour être sûr d’obtenir de bons résultats.

      Sinon, quel est le nom et le lien de ton blog ? Et quelle est ta niche ? Ces infos pourraient donner plus de détails au lecteur qui aurait envie de te donner un petit conseil ou de te trouver une bonne idée. Car il serait dommage de ne pas pouvoir exploiter davantage ton travail sur ce blog avec d’aussi bons résultats. (Par contre, tu as dû faire une coquille avec tes chiffres : 150K / mois pour 50K / an, ça ne colle pas.)

      Enfin, te lancer dans l’entrepreneuriat est une bonne chose. Mais toi qui sembles connaitre le sens du mot « niche » devrais faire attention de ne pas tout proposer à la fois : Rédac, SEO et CM sont des domaines très larges et assez différents même s’ils se recoupent parfois. Il est donc impératif de cibler davantage.

      Une fois ta niche affinée, télécharge donc : Le guide ultime pour développer son business en freelance. Il t’aidera à appréhender plus de manières de trouver des clients.

      Pour les formations, il n’y a aucune « formation parfaite » pour réussir. Tout dépend de ce que tu veux apprendre et dans quel domaine tu souhaites t’améliorer.
      Pour ma part, je n’investis que dans des formations anglo-saxonnes, bien plus en avance et efficiences que celles du marché français. Pour exemple, la dernière en date pour laquelle j’ai payé 2 000 dollars est celle de Danny Iny. Elle m’a enseigné comment créer des cours en ligne.

  9. La meilleure façon d’apprendre est d’apprendre de ses erreurs ! Bravo car peu de personnes daignent se remettre en question … C’est ce qu’on appelle l’humilité ! Et c’est une des grandes qualités de l’entrepreneur !
    Etant moi-même freelance (en parallèle de mes voyages ;) ), je sais à quel point c’est une lutte au quotidien de faire les bons choix stratégiques – même si on a lu qu’il fallait faire comme ci ou comme ça – et de s’appuyer sur les bonnes personnes. Du temps perdu … a priori, oui. Mais a postériori, c’est de l’expérience gagnée !
    Le tout est de savoir se ressaisir, se relever, et quand on est à deux, comme vous, c’est un gros point positif ! Entraide et partage constituent une force rare de nos jours …
    Belle continuation !

    1. Comme c’est bien dit Linda. Ça sent l’expérience à plein nez. :)

      Effectivement, le fait d’être deux dans la même dynamique est une chance immense que nous mesurons tous les jours. D’autant plus que nous avons des compétences complémentaires presque inespérées.

      En ce moment je travaille beaucoup avec les élèves de mon cours (monter un business en ligne en parallèle de son boulot), je communique avec eux, peaufine les cours théoriques et les conseille sur la pratique. Tony s’occupe de structurer l’ensemble tout en critiquant et remettant en cause le fond des articles du blog.
      Cela augure beaucoup de discussions entre nous… mais aussi parfois quelques prises de bec assez marrantes pour notre entourage. :)

  10. Chère Haydee,
    Personnellement j’y vois une tonne de réussite dans ton article ! et sincèrment, pour moi, la meilleure manière de « réussir » (et encore ce mot est bien quelque chose qui peut être interprété de différente façon) est de se planter. Je me retrouve dans à peu près tous les points !

    Quand aux personnes qui montrent tout ce qu’elle ont « fait de bien » comme tu mentionnes en début d’article, je pense qu’il faut savoir dissocier la vie « facebook et virtuelle vs la vraie vie »; c’est d’ailleurs pour cela que j’en ai fait un sketch dans mon spectacle ! Démontrer à quel point non la vie d’entrepreneur en ligne ou de nomade n’est pas la vie de rêve est aussi important je trouve. Et l’essentiel est juste de se créer un style de vie qui nous convient, peu importe lequel d’après moi.

    Et après je ne vois pas de mal à être fier de ses projets réalisés si l’authenticité est là et si cela peut inspirer les autres à suivre leur rêve et leurs intuitions. Derrière chaque super projet, il y a des difficultés, de la sueur et de la transpiration… et parfois bien de la souffrance, donc être fier du résultat est aussi important pour continuer à avancer en étant motivé ! et sincèrement je trouve que vous pouvez être drôlement fiers de vous parce que votre blog, la solidité de vos fondations et vos inspirations sont constantes et inspirantes.

    Et aussi : même quand les moments sont difficiles ou qu’on fait des erreurs, en fait tout est toujours parfait et ces moments difficiles sont partie intégrante de la vie.

    Encore un article riche d’enseignement et surtout félicitations pour le succès de votre blog ! Vous avez travaillé comme des dingues, vous partagez généreusement et votre authenticité paie. Continuez !

    1. C’est très gentil à toi Sarah.

      Tout le monde doit être fier de ses réalisations, même la « blogueuse vaniteuse » du début d’article. Mais la culture française n’aime pas trop les gens qui réussissent (surtout s’ils gagnent de l’argent). Certains trouveront toujours quelque chose à redire de l’avancement des autres.
      D’ailleurs, pour preuve, l’intro du billet qui ne visait personne à part mon propre « moi vaniteux » a réussi à générer ce genre de réaction : « Tu tapes sur les autres pour dire « j’ai fait mieux » ». Marrant.

      L’authenticité doit être une composante majeure du business. Cela permet d’apporter cette part de réel dans un monde virtuel poli par la convenance et le m’as-tu-vu.
      Tout le monde préfère l’objectivité plutôt qu’un truc parfait qui ne résonne avec personne. Car nous sommes justement tous imparfaits.

      Cette authenticité est un ingrédient important de notre style de vie avec Tony. Du coup même si je le voulais, je ne pourrais pas faire autrement que de la partager. Et c’est sûrement parce que les lecteurs ressentent le spectre intégral de nos émotions que ça paie.

      Et c’est aussi pour les mêmes raisons que le sketch de ton spectacle a dû toucher les gens, j’en suis persuadée. ;)

  11. Salut Haydée,
    Question rapide cette fois. Au début tu recommandais optinskin pour les inscriptions etc, je vois que tu recommandes à présent Leadpages? Une raison particulière? A bientôt!
    Murvin

    1. Les choses évoluent très vite en 2-3 ans Murvin. Surtout sur le Web. ;)

      Si tu remarques bien, j’utilise encore OptinSkin pour mes bas de page et je le considère toujours comme un outil profitable.

      Mais Leadpages est une usine à gaz comparé à OptinSkin. C’est un logiciel en ligne qui te permet de créer des pages entières, des box, des inscriptions en un clic via ta newsletter ou avec un simple code sur smartphone.
      Leadpages est un outil révolutionnaire pour convertir tes lecteurs en abonnés. Base solide de ta clientèle potentielle.

      C’est un peu comme si tu sortais de l’école élémentaire pour entrer dans la cour des grands. Mais bien sûr, cela demande un peu d’investissement.

  12. Merci pour ce super article, je n’ai jamais trouvé ton contenu vain ou prétentieux mais je pense que cet article me sera bien utile dans le lancement de mon activité. C’est vraiment bien de partager les choses qui n’ont pas joués, merci.

    1. Tu me rassures Sarah.
      À force d’écrire des tartines sur le blog, je me dis parfois que certains mots peuvent être mal interprétés. Et vu que je ne cherche pas à me faire mousser, un article comme celui-ci m’a paru être une occasion idéale pour remettre les pendules à l’heure ainsi qu’aider les lecteurs à éviter de se planter avec le genre d’erreurs que j’ai pu faire ces derniers mois.
      Mais bon, je vais essayer d’en faire moins en 2016 quand même hein… :P

    1. Ok, c’est bien ce que j’avais supposé Zorro, mais je préférais être sûre.
      J’ai effectivement briefé ces personnes au maximum, base de toute embauche digne de ce nom.
      Mais il faut croire que même avec les meilleures explications possibles certains n’entravent rien à ce qu’on leur demande.

  13. Pour le point 5, il est indispensable de rédiger un briser complet et structuré afin d essayer d éviter les galères apparemment rencontrées…

    Bravo et merci pour l’honnêteté de ton témoignage.

    1. Je ne suis pas sûre de saisir la signification du mot « briser » Zorro. Parles-tu d’un mode opératoire détaillé à donner à tout futur employé ?

      En tout cas merci pour ton petit retour sympa.

  14. Félicitations : enfin quelqu’un qui ose parler de ses boulettes. Car des boulettes et des casseroles, on en traîne tous ! Mais la majorité les cache.

    Les miennes? Avoir voulu mixer mes 2 passions: le marketing et le développement personnel.

    Les 2 ensemble, ça coule. Les 2 séparément, ça cartonne !

    Va comprendre pourquoi?!!!

    Ben je crois que le métier d’entrepreneur, c’est juste un réajustement permanent parce que le monde change, les attentes des clients aussi, les lois changent, la technologie galope plus vite que la lumière.

    Bonne fin d’année Haydée et ne change surtout pas ton style unique.

    1. Exactement Stéphanie ! Avec tes années d’expérience entrepreneuriale, tu as bien compris que vouloir tout offrir à tout le monde ne fonctionnait pas. Ton exemple avec le marketing et le développement personnel en est une preuve flagrante.
      Plus tu niches ta ligne éditoriale et l’offre qui va avec, plus tu as de chance de cartonner. Et ça, beaucoup d’entrepreneurs l’ont appris à leurs dépens (moi comme les autres). Dur de restreindre son audience cible en se disant que c’est profitable et pourtant…

      Oui ! Le métier d’entrepreneur est une remise en question permanente qui doit suivre l’évolution des pratiques du moment et pour cela, pas de secret, toujours être sur la brèche et se former constamment.

      T’inquiète, je ne changerai rien ! Rien que pour le plaisir d’un commentaire comme le tien. ;)

  15. Eh bien, quel témoignage détonnant !

    Quelle franchise, c’est courageux et libératoire de nous confier tous ces « ratages » :-)
    En tout cas, c’est très instructif pour nouzôtres et je suis heureux de faire partie des 5000 abonnés !

    Bon courage et à bientôt !

    Olivier

    1. Heureuse que tu sois aussi des nôtres aussi Olivier. Car ce sont de vrais entrepreneurs comme toi qui m’ont donné la foi et qui me prouvent tous les jours que je n’ai pas fait le mauvais choix malgré les ratés et les galères. Un délicieux parcours du combattant que je ne regrette pas une seule seconde.
      C’est sûrement pour cela que parler de ces « foirades » est aussi facile. Et puis je sais que je m’adresse à des personnes qui se heurtent sensiblement aux mêmes obstacles que moi. C’est ça qui fait du bien. :)

  16. Chère Haydée. cher Tony,

    je ne peux que confirmer ce que vous annoncez dans ce billet: les lecteurs « profitent » de vos erreurs de parcours, grâce à votre capacité à reconnaître ces couacs comme des opportunités d’apprendre, et de s’améliorer. Si seulement on commençait à envisager l’école sous cet angle…

    Je l’ai dit, je le redis, et j’espère de tout cœur pouvoir continuer à le clamer haut et fort: j’apprécie nos échanges, et je me réjouis de la suite!

    1. Tu ne crois pas si bien dire Franie ! (Ou peut-être que si) ;)

      L’enseignement classique que nous connaissons n’est pas toujours la meilleure école. Certes, nous y apprenons à lire, écrire et compter ainsi qu’un peu d’esprit de synthèse, mais quelle rigidité dans ses programmes et la façon dont les académies tiennent à ce qu’ils soient dispensés. À croire qu’il n’y a qu’une méthode pour tout le monde…

      Et que de lacunes quand il s’agit d’orienter sa vie professionnelle en fonction du savoir qui nous est inculqué, quand celui-ci nous dit bien la vérité.
      Les écoles alternatives et la vie me paraissent bien plus profitables au final.

      Compte sur moi pour faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que nos échanges soient toujours aussi bénéfiques.

  17. Salut Haydée,

    Je n’y vois que des expériences, et les leçons que vous avez su en tirer (C’est pas parce que l’on est des homo numericus que l’on a pas le droit de se déconnecter de Facebook) .
    C’est vrai qu’un échec est frustrant, mais comment apprendre sans se tromper…Réussir du premier coup, c’est beau sur le papier (et comme titre d’E-book) mais ça manque cruellement d’intérêt.
    J’ai revue passer une citation de Becket sur les réseaux sociaux : « Déjà essayé, déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Echoue encore, echoue mieux. »
    Faut pas non plus tomber dans la spirale de l’échec :)
    Au final, cette année a été 13 enrichissements sans compter les destinations visitées. Vous voilà avec plus de bouteille et un article en sus pour le blog !
    Bonne continuation dans vos aventures et bon courage,

    Romain

    1. Ahah ! Le terme Homo Numericus me plait beaucoup.

      Enfin, j’imagine qu’il est plus facile d’enlever sa « perfusion réseaux sociaux » dans mon cas ou comme tu l’as fait en vadrouillant de pays en pays pendant un an. Surtout si les restrictions Facebook sont en vigueur dans l’endroit visité.

      Tu as tout dit en parlant d’expérience plutôt que d’échec. Je sais pourquoi je t’ai cité dans mon article ventant 42 entrepreneurs inspirants, tes sages paroles me le prouvent encore. ;)
      Et la citation de Becket est parfaite. Je vais sûrement la répéter aux élèves de mon cours celle-ci.
      Merci pour tout Romain et ne change rien !

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