Mettons les choses au clair : Vous êtes un accroc au voyage depuis bientôt une décennie et vous avez même renoncé à votre carrière d’ingénieur pour bourlinguer sur les routes ! Mais il y a des jours où vous raccrocheriez bien votre sac à dos.
Dur de se l’avouer mais certaines raisons nous amènent parfois à détester le voyage.
1. Les vols retardés et les correspondances manquées
Ne vous est-il jamais arrivé d’attendre encore et encore, sans que l’on vous donne la moindre info ? Et au bout de 4h, la compagnie vous apprend que votre vol est annulé…

Ce fut mon cas en février, lors de mon séjour en Asie. L’avion annulé a pourri les vacances de la moitié des passagers et occasionné quelques remous dans l’aéroport ! Heureusement que je partais plus de 2 mois sans problème de connexion par la suite.
Il y a de quoi vous plomber un début de voyage, planifié ou pas. Imaginez les frais supplémentaires.
N’hésitez pas à porter réclamation en cas de litige. Par flemme ou par manque de connaissances juridiques, peu de personnes le font.
2. Le jetlag (comment dit-on en français déjà!?)
Vous arrivez enfin à destination, un charmant petit village typique que vous vous empressez de visiter et Bam ! Vous êtes soudainement touché par une vague de somnolence en plein après-midi.
Et vous ne restez que quelques jours, misère… A peine le temps de vous adapter que vous voilà déjà reparti.
3. Les racoleurs en veux-tu en voilà
« Good price for you my friend » ! A Bangkok, le Caire ou Marrakech, combien de fois l’aurez vous entendu ? En restant à proximité des marchés et des attractions touristiques, vous n’y échapperez pas ! Vous pourrez passer devant eux 10 fois, ils vous serviront toujours le même refrain.
4. Trop de voyageurs et c’est de pire en pire !

Vous ne pensiez tout de même pas être le premier à vous déplacer à l’étranger? Difficile d’accepter de faire parti du troupeau. Vous ne vous sentez plus unique.
Prenez Rome et ses hordes de touristes armés jusqu’aux dents de caméras et d’appareils photos. Ou Kaoh San Road à Bangkok rempli de jeunes à la mode « pantalon Thaï spécial touriste » façon hippies.
En 2012, le site Veille infotourisme assurait que les touristes avaient dépassé le milliard. Ils envahissent le monde !
Voilà sûrement ce qui me fera choisir des destinations insolites. Privilégions Myanmar au Vietnam, l’Albanie à l’Italie, ou encore l’Arménie à la Pologne.
5. Les demandes de visa, c’est long, c’est cher, c’est lourd…
Et nous y passons tous ! L’article de Corinne nous décrit bien le bordel administratif que l’on peut vivre en tant que nomade. Les démarches d’obtention d’un visa, le prix et les délais d’attente peuvent en démotiver plus d’un.
J’ai dû batailler ferme un mois durant pour récupérer un nouveau passeport Irlandais ! Ce fut tout une histoire et l’Irlande m’a fait ressentir à quel point le manque d’ambassades est particulièrement problématique dans certains pays.
6. Vous vous sentez sale ?

Aaaah ! La liberté d’un trajet Paris-Alsace en vélo ! J’avais fait le choix de faire du camping sauvage. Imaginez 80 km par jour sous le cagnard d’août sans point d’eau et surtout dans ma sueur. Heureusement sur les 7 jours à l’aller je me suis octroyée un camping municipal.
Dans l’Atlas au Maroc, lorsqu’on treck dans les montagnes, il n’y a pas de douche, il y a des points d’eau… glacée ! Je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas été courageuse sur ce coup là. J’ai préféré rester crade ! Mea culpa
Partir à l’aventure sous-entend poussière, crasse et pays pauvres alors il faudra bien vous y habituer un peu.
7. Vous faites un accident, aïe !
Dur de se faire rapatrier, ou au mieux de regarder les autres danser sur la plage depuis votre fauteuil roulant.
Et vous n’êtes pas assuré ? La flemme des démarches, de payer ou vous dire tout simplement : « Tout va bien se passer » vont vous coûter très cher !
Payer toute votre vie pour économiser sur votre santé n’est-ce pas une belle raison de détester votre voyage ?
8. Les dortoirs, on aime jusqu’à un certain point
Vous avez rencontré des nouveaux voyageurs, échangé, fait la cuisine, rigolé et même fait la fête avec eux ; ces moments étaient plus que cool ! Mais avec le temps on se lasse et certains inconvénients deviennent pesant. Je me souviens d’un dortoir de 10 personnes en Argentine à Buenos Aires.

Entre un ronfleur éléphantesque, un vantard grande gueule et les allées et venues permanentes des autres colocs, la vie était presque impossible ! Sans compter que mon lit à moitié cassé promettait un confort digne d’une meule de foin.
Et puis, j’ai beau profiter à fond de la compagnie des autres, certains moments sont réservés à mon intimité et mon confort. Vous vous voyez faire l’amour dans le dortoir vous ?
9. Des nuits dans les aéroports
Rester bloqué des heures dans l’aérogare est encore une chose que nous vivons tous. Si vous devez y passer la nuit, vous savez que les sièges seront parfois rares.
Pire ! Le design des fauteuils est fait par des sadiques ! Ils ont délibérément ajouté des séparations entre chaque siège afin qu’aucune personne ne puisse s’y allonger. Vous savez alors que vous finirez par terre.
A l’inverse, les fauteuils de Sao Paolo étaient tellement confortables que je me suis endormie en attendant ma correspondance… Je l’ai chopée mais seulement dans mes rêves :(
10. Les guides sont la voix de dieu… des moutons, pardon

Vous avez déjà suivi un Lonely Planet à la lettre ? Quand tout le monde suit le même guide tel une Bible, où est donc le plaisir de découvrir ?
Vous sentez cette petite culpabilité qui vous titille lorsque vous rencontrez les mêmes personnes tout au long de votre périple ? Vous vous dites bonjour d’un air gêné en vous disant intérieurement :
« Ah, toi aussi tu as lu le même guide que moi ? »
11. Et les toilettes publiques, ça existe ici ?
Vous avez déjà remarqué que c’est dans les pires situations qu’un sévère mal de ventre vous prend ? Les produits exotiques font leur effet et pas de WC en vue pour vous soulager.
L’expérience fait que vous trimbalerez toujours un rouleau de PQ dans votre sac, prêt à faire un sprint pour vous cacher dans la nature. D’ailleurs, avec le temps je préfère largement pisser dehors que dans des toilettes publiques, c’est plus hygiénique.
12. On vous a volé votre sac

Au revoir petit appareil photo, adieu beaux clichés de voyage. Il y a de quoi enrager ! Mais quand on vous agresse avec une arme, vous avez tendance à refiler toutes vos affaires sans réfléchir.
Enfin, ça dépend pour qui…
Vous vous repassez le film en imaginant comment vous auriez pu sauver vos biens et ça vous tient longtemps après le voyage. Espérons que ce ne soit pas votre carte bancaire ou votre liasse de billets « trouvée » par une femme de ménage…
Mais c’est grâce à toutes ces difficultés que l’on peu apprécier les bonnes raisons de voyager à leur juste valeur. Et c’est une fois rentré, quand la routine s’installe, qu’on se remémore tous ces moments, bons comme mauvais, avec plaisir…
A vos commentaires pour la 13ème galère ! Je suis sûre que vous avez d’autres exemples qui peuvent nous faire détester le voyage à me soumettre.
Haydée Bouscasse
Voici les bons principes à respecter pour éviter les désagréments.
– Jamais dans un pays du Tiers monde ou en guerre (non mais faut vraiment être débile).
– Toujours au moins un des participants qui parle la langue.
– Hôtel cinq étoiles (du campquoi? du camping non mais sérieux là)
– Si tu veux faire du sport, il y a la natation, les arts martiaux mais le vélo sérieux la crasse et la sueur, ce sont des vacances ça?
Un séjour en tête à tête avec sa chérie dans un Palace à Venise c’est pas un peux mieux ?
Et enfin: si c’est pour être dans la galère bas autant rester chez soi surtout si tu as une piscine, habites au bords de la mer et si tu as de la place pour les soirées entre amis, les fiestas….
Pour avoir autant besoin de dépaysement vos vies doivent être pourries, franchement je vous pleins.
c’est pas completement faux.
Tu soulève un point important pour éviter que le voyage ne devienne un cauchemar, bien choisir sa destination en fonction de ses envies …
Si on envie de vacance far niente (après tout pourquoi pas) on privilégiera des destinations un peu plus « facile », la cote Thaïlandaise, la Turquie, les Antilles française ou on est pas obliger de se faire comprendre pour commander sa pina colada, et ou il y a tjs qqu’un pour subir nos petits caprices (par ce que quand mme au prix qu’on paye, on peut râler Moooonsieur ! …).
Une plage de sable blanc, un bungalow (ca fais aventurier pour les copains) climatiser ,un pti dej orientale et le papier cul dans les toilettes privée.
Car le voyage c’est pas des vacances, c’est beaucoup de désagrément, ça demande de l’adaptation, de l’ouverture d’esprit, du calme (beaucoup de calme), savoir passé outre ses petites exigences, une grosse faculté d’adaptation et savoir laissé de coté son petit confort et son petit train train du quotidien mais surtout avoir une grosse faim de découverte.
Ainsi on claque nos thunes pour avoir le plaisir masochiste de passer des heures et des heures dans un bus a regarder par la fenêtre, admirant les paysages, se délectant du film de la vie, n’étant qu’un petit point qui se déplace sur une carte.
mon chère Leman Russ je te le dit, mec les galères sont mes meilleurs souvenirs, alors ne me pleins pas je suis ravie de ma vie !
Tu te trompes en confondant dépaysement et découverte, tu confonds vacances et voyage !
Par contre tu as raison a 100% sur un point, reste chez toi, ne voyage pas ça nous évitera de la mauvaise pub sur place, et tu sera heureux au bord de ta piscine avec ta femme, ton confort, tes amies .
aaaah, le bonheur des dortoirs. Je me souviens encore être devenue folle et avoir insulté tout mon dortoir à Chiang Mai, en Thailande. Il était 4 heures du matin, et une fêtarde venait de vomir dans la poubelle du dortoir, ce qui avait déja réveillé tout le monde. Mais le vase a débordé quand ses amis ont décidé de continuer la soirée…dans le dortoir et ont commencé à parler et rire!… Je me suis levée hors de moi, leur ai donné exactement 2 minutes pour se la fermer (le temps d’un aller retour aux WC), et suis retournée me coucher… dans un calme des plus complets. L’amie avec qui je voyageais en rigole encore!
Sinon, le poids du sac est aussi un point important ! C’est toujours compliqué de limiter ce qu’on emporte, surtout quand on part longtemps, mais porter plus de 15 kilos sur son dos plusieurs heures d’affilée, ça TUE toute envie de bouger de la chambre d’hôtel… (Et ça donne des torticolis…)
Un article très fun, en tout cas !
Salut Maya,
Là tu es allée fort, mais je crois qu’ils le méritaient tous ! ;)
Si cela m’arrivait, je pense que je n’arriverai plus à dormir après malgré le silence tant attendu.
Comme tu dis, on adore reparler des souvenirs les plus pourris !
Même après plusieurs voyages, j’ai encore pris trop d’affaires en Amérique latine, à tel point que j’ai laissé la moitié, eh oui je dis bien la moitié dans l’appart d’un ami Argentin pour continuer mon voyage dans les autres pays, Colombie, Pérou, etc.
Merci pour le compliment.
Tiens un troll qui s’est perdu….
– Pays en guerre ça peut aller de soit, pays du tiers monde… et bien reste dans ton monde si ça peut te faire plaisir.
– donc en gros t’as des amis bouche-trous si t’as besoin d’une certaine langue (« et tiens machin, tu parles telle langue c’est ca ? Allez viens je t’emmène ! »)
– Hotel 5 étoiles ? tant mieux pour toi si tu peut te l’offrir mais oh qu’entends, tu t’indignerais que certains « osent » voyager alors qu’ils ont moins de moyens ?
– Tu es un monsieur je sais j’ai raison manifestement, si le vélo c’est pas ton truc (comme le camping) ça peut l’être pour d’autre et oui ça peut être des vacances plaisante (le vélo comme le camping)
Si ta vision idyllique c’est des vacances en Italie avec ta chérie, ma foi pourquoi pas mais ce n’est que ta vision des choses, pour toi un palace te convient soit et pourquoi est-ce si difficile de concevoir que de partir à l’aventure quitte à faire face à des moment certes moins plaisant est ce que nous autres voyageurs nous intéressent ?
Vu ta conclusion moi je dirais plutôt vu ton commentaire que tu dois être sérieusement frustré de la vie… jaloux ou je ne sais quoi mais bon j’en doute un peu, allez petit troll retourne dans ta forêt j’ai assez joué.
la santé en voyage. LE point crucial
Il ya un truc que je ne comprends pas c est ton histoire des dortoirs.
Franchement partout ou je suis alle que ce soit l asie l amerique du sud ou l afrique si tu prends une guesthouse de locaux tu paye 15 fois moins cher qu un dortoirs de backpacker
Merci pour l’info François,
C’est génial ton histoire de payer 15 fois moins cher ! A raison de 8€ par nuit (si mes souvenirs sont bons) combien as-tu payé alors ? C’est un plan en or, fait croquer, on veut en savoir plus.
Il suffit juste de se demerder.
Je suis vraiment contre tout les sites ou tout est explique c est a dire comment faire sa valise quoi prendre dans son sac ou aller dormir a 15000kms de chez soit etc…
on se fout de la gueule des gens dans les club med mais a y regarder de plus pres les backpackers c est exactement la meme chose, ils sont tous au meme endroit dans les memes guesthouses dans les memes restos etc…
Tu as raison, je suis d’accord avec toi, on retrouve les mêmes spécimens dans les mêmes endroits. Ils ont tous lu le même lonely planet.
Bon par contre tu ne m’as toujours pas donné ton plan. Tu couches pour obtenir de tels prix :D ?
Je rajouterai : les touristes sans aucun respect pour le pays et la culture locale !
Ils se croient les maîtres du monde, et c’est regrettable…
A mon avis, on peut encore en rajouter une bonne douzaine, mais celle-ci avait toute sa place ! J’ai beaucoup de mal avec ça…
Mais bon un touriste par définition n’est pas ce qu’il y a de plus respectueux pour la faune locale :)
Justement non ! Par définition un touriste = Voyageur, personne qui voyage pour son agrément, le mot est devenu péjoratif parce que lorsque notre vision du voyage devient différente de la façon dont nous avons envie de parcourir le monde on a cherché à se détacher de la « masse » en s’inventant des nouveaux mots, backpackers, baroudeurs et j’en passe, mais qu’on le veuille ou non nous restons des visiteurs, donc des touristes !
Alors j’aurai peut-être du dire « tourisme », car même si celui-ci rapporte du fric, il est souvent préjudiciable pour les populations locales, comme au Pérou près du Machu Picchu, les populations ont été appauvries, au Mexique à Cancun où les populations ont été délocalisées et appauvries également, bref. Je ne parlais absolument pas de cette image péjorative, je suis loin de ces clichés Romain.
Que touriste soit égal à voyageur ne change rien pour moi. Un touriste reste un pollueur et pas seulement en carbone ! J’ai écrit un article à ce sujet sur le Pérou, je t’invite à le lire, cela m’évitera de te faire une dissertation.
L’industrie du tourisme au Pérou : alerte au désastre !
http://www.voyageurs-du-net.com/industrie-tourisme-perou-desastre
Et ça je confirme, c’est une des choses que je déteste dans le voyage.
Je ne comprendrai jamais ce résonnement … cette petite fierté d’avoir payé moins cher que les autres (l’autre ce méchant touriste qui nous gâche notre paysage et à cause de qui nos photos font moins « roots » à nous voyageur aventurier que nous croyons être), c’est tellement déplacé cette gueguere du cheap, c’est une des raisons qui me fais bosser en voyage, plutôt que de perdre du temps a négocier 4$ je préfère payer un coup a boire.
Voyager Cheap ne veut pas dire Voyager bien ! et s’en vanter est bien la preuve que tous ces voyages n’ont décidément servie a rien
l’aventure c’est la petite accélération que tu ressens dans ta poitrine quand tu vie une expérience qui te sort de ton ordinaire, n’écoute pas tous ces « grands voyageurs qui ont tout vue tout fait » et vie ta propre expérience.
La rencontre c’est cette humain H avec qui tu va échanger à cette instant T, l’important n’est pas sa race, ou son origine, qu’il soit « local » ou pas mais ce que vous allez vous apporter mutuellement .
Pour peu qu’on s’ouvre et que l’on arrête de maudire son voisin confrère de voyage, qui doit surement faire la mme chose a votre sujet, le voyage peut commencer.
Les rencontres, L’aventure, L’ouverture !! bordel !!
Salut Peko,
Ah bah si c’est tellement mieux de vivre et dormir dehors avec son sac de couchage. Là au moins tu ne payes rien, et puis tu rencontres pleins de monde : D’autres clochards, et puis des tas d’emmerdeurs, d’autant plus si t’es une fille.
Bref je déconne…
Tu as raison, à chacun son voyage, peu importe l’argent dépensé. Ce qui est important c’est cette rencontre que ce soit avec les locaux, ou PAS !
J’avoue que je me fais tout de même un plaisir de négocier, surtout quand le jeu fait parti de la vente. Au Maroc, par exemple, quelqu’un qui ne négocie pas passe un peu pour un con aux yeux des locaux.
Un article vraiment amusant, Haydée, c’est incroyable ce que tu racontes à propos des dortoirs (et cette photo là!, je ne pourrais arrêter de rire! Merci pour partager ton histoire, toute une aventure!
En plus, je m’ai surprené beaucoup quand j’ai lu que tu parlais de skymediator, le service pour faire des réclamations aériens. Je dois dire que j’ai eu une très mauvaise experience avec eux, suite à une réclamation qu’ils m’ont géré il y a quelque temps. Ils ont essayé d’être payé sans m’avoir obtenu mon indemnisation. Finalement, je n’obtenu rien avec eux et j’ai perdu trop de temps… Heureusement, j’ai trouvé un autre service appelé refund.me (www.refund.me/fr) qui m’ont obtenu 250€ d’indemnisation pur un retard de 5 heures environs. Je vous recommende totalement ce service.
Merci à nouveaux pour raconter ton histoire, je me suis amusé beaucoup :)
Tiens c’est marrant Annais, mais à l’époque j’ai hésité entre les deux entreprises. Je connais donc refund.me.
2 raisons pour lesquelles je travaille avec Skymédiator :
1. parce qu’ils m’ont remboursé mon billet,
2. parce que je trouve leur système d’affiliation efficace contrairement à certains de leurs concurrents. Voici le lien que les lecteurs utilisent pour faire leur réclamation de retard ou de vol annulé : http://fr.skymediator.com/?tracking_aff_id=1051&source=popunder
On m’avait recommandé refund.me mais malheureusement lorsque je les avais contacté, ils ne m’ont répondu que 3 semaines plus tard. J’ai donc laissé tomber.
Mais bonne nouvelle si tu as pu obtenir ce montant rapidement. Je n’ai pas de doute en revanche sur leur honnêteté.
Merci pour tes remarques sympas concernant l’article, cette photo est bien marrante ! :) :)